Cette section ne cite pas suffisamment ses sources(décembre 2016).
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
Paul-Benoît-Édouard Baille est né à Besançon le . Il fait des études à l’école de dessin où il se fait vite remarquer par son talent par Charles-Antoine Flajoulot. Il obtient un premier prix avec Agar dans le désert en 1834. La ville de Besançon lui offrit une bourse pour poursuivre ses études, à l’École des beaux-arts de Paris où il fut élève de François-Édouard Picot. Il exposa aux Salons de 1837, 1838, 1839, 1842, 1846 et 1847. Il eut ensuite un atelier où il forma des artistes comme Félix-Henri Giacomotti ou Jules Machard, et devient membre de l’Académie de Besançon.
Grâce à ses nombreuses peintures dans le domaine de l’art religieux (toiles pour les chapelles des hôpitaux de Besançon et Ornans, pour l’église Notre-Dame à Besançon, la chapelle du collège Saint-François Xavier, la chapelle des Capucins à Besançon, une fresque pour l’abbaye de Favernay) il est nommé chevalier de l’ordre pontifical de Saint-Grégoire-le-Grand. Il peint en particulier huit tableaux sur toile pour la chapelle du Sacré-Cœur de la cathédrale Saint-Jean de Besançon[1]: ce sont des copies réalisées d'après d'anciennes fresques datant du XVesiècle qui ornaient les tombeaux du «cimetière des comtes», situé primitivement dans l'ancienne cathédrale Saint-Étienne; ces tableaux sont classés monument historique depuis 1992[1].
Édouard Baille a peint également des portraits de personnalités comtoises (toiles non signées).
Il meurt le à Besançon, dont une rue honore sa mémoire.
Collections publiques
Cette section ne cite pas suffisamment ses sources(décembre 2016).
Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
Portrait de Just Muiron, journaliste politique, Besançon, Musée du Temps
Portrait du général Simon Bernard, Besançon, Musée du Temps[2].
Charles Baille, Les débuts du peintre Édouard Baille, Besançon, Jacquin, , 14p. (lire en ligne)
Louis François Étienne Bergeret, Le peintre Édouard Baille: étude psychologique et médicale, Besançon, Jacquin, , 19p.
Alfred Ducat, «Edouard Baille: le peintre et son œuvre», Académie des sciences, belles lettres et arts de Besançon, , p.245-275 (lire en ligne, consulté le ).
Paul Brune, Dictionnaire des artistes et ouvriers d'art de la Franche-Comté, Paris, Bibliothèque d'art et d'archéologie, 1912, p. 11.
Jacques Rittaud-Hutinet et Chantal Leclerc, Encyclopédie des arts en Franche-Comté, Châtillon-sur-Chalaronne, La Taillanderie, , 384p. (ISBN2-87629-297-1), p.31.
(en) «BAILLE, Edouard», extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit, sur Oxford Art Online, (ISBN9780199773787)
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии