François Auguste Bonheur né le à Bordeaux et mort le à Meudon[1] est un peintre français.
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Naissance | Bordeaux (Gironde) ![]() |
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Décès | |
Nom de naissance |
François Auguste Bonheur |
Nationalité |
française |
Formation |
École nationale supérieure des beaux-arts |
Activité |
Peintre |
Père | |
Fratrie | |
Enfant | |
Parentèle |
Ferdinand Bonheur (cousin) ![]() |
Mouvement |
Réalisme |
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Maître | |
Partenaire | |
Élève | |
Distinctions |
Médaille de troisième classe au Salon en 1852 Chevalier de la Légion d'honneur |
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Auguste Bonheur est le frère cadet de Rosa Bonheur (1822-1899) et premier fils de Raymond Bonheur (1796-1849), artiste peintre, et de son épouse Sophie Marquis, qui meurt trois ans après la naissance de son quatrième enfant, Juliette, en 1830[2]. La famille Bonheur habite à Magny-les-Hameaux dans l'actuel département des Yvelines.
Auguste Bonheur est admis à l'École des beaux-arts de Paris en 1848 dans l'atelier de Paul Delaroche[3]. Comme sa sœur, Rosa, il se spécialise dans la peinture animalière.
Il débute au Salon de 1845. En 1852, il obtient une médaille de troisième classe pour ses paysages Les Côtes de Brageac (Cantal) et Les Environs de Mauriac (Cantal), et une médaille de première classe en 1861. Dans les années 1860 il voyage en Écosse. Marié, il a un fils prénommé Raymond qui deviendra compositeur de musique, familier d'André Gide et confident de Claude Debussy.
Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1867[4].
Partisan de la Commune de Paris, il combat dans la Garde nationale et est fait prisonnier par les Versaillais[5].
Auguste Bonheur meurt le à Meudon, dans le quartier de Bellevue.
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