Marie-Geneviève Bouliard née à Paris en 1763[1],[2] et morte à Vindecy le [3] est une artiste peintre française.
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Fille unique d'un couturier originaire de Baugé en Anjou, Marie-Geneviève Bouliard révèle tôt une vocation pour l'art. Elle fréquente les ateliers de Joseph-Benoît Suvée[réf. nécessaire], Joseph Siffrein Duplessis[4],[5], Jean-Baptiste Greuze[réf. nécessaire], et est fidèle jusqu'à son dernier souffle à Jean-Joseph Taillasson[réf. nécessaire]. Sa production est intense pendant la période révolutionnaire, ce dont témoignent les catalogues des Salons de 1791 à 1817. Elle reçoit le prix d'encouragement du Salon de 1791.
Elle meurt au château d'Arcy à Vindecy le .
Elle fit partie de « l'élite des portraitistes », selon Jules Renouvier, auteur d'Histoire de l'art pendant la Révolution : « Les peintres accrédités pour le portrait étaient alors Laneuville, la citoyenne Auzou, élève de Regnault, et la citoyenne Bouliard, élève de Duplessis. Ils se partagèrent, avec Ducreux et Colson, les personnages de l'époque. […] Où trouver maintenant les portraits de Ducreux, de Dumont, de Colson, de Laneuville, de Mlle Bouliard et de Mme Auzou[2] ? ».
Son tableau Portrait présumé de Mademoiselle Bélier est inclus dans l'ouvrage de 1905 Women Painters of the World[6].
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