Paul Trajman, né en 1960, est un artiste peintre belge s’inscrivant dans la tradition de l’expressionnisme abstrait et du mouvement Cobra.
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Petit fils spirituel de Pierre Alechinsky, il compte parmi les représentants de l’art brut en Belgique[1].
La critique salue ses « figures à l’arraché entre écriture et peinture », tracées « sans couleurs ni toile », à l’encre de chine sur papier grand format, « dans une sorte de rythmique gesticulatoire ». Maniant le pinceau « comme une plume d’écolier en le faisant grincer sur le support » (Danièle Gillemon, Le Soir, 24/11/1990[2]).
Son œuvre se caractérise par une écriture semi automatique et une calligraphie corporelle[réf. nécessaire].
Revendiquant l’influence de Jackson Pollock, d’Henri Michaux ou de Jérôme Bosch, Paul Trajman nourrit sa création picturale de ses connaissances d’historien de l’art. Comme le souligne Bernard Noël, « il n’y a pas d’exécution, pas de repentir dans la peinture de Paul Trajman, il n’y a que de l’action, l’action immédiate de peindre. Le langage pictural du plasticien est composé d’impulsions, de pulsations, qui invitent moins au déchiffrement qu’au partage de leur flux »[3].
C’est dans ce cadre que furent présentés les films Comme un torrent d'André Goldberg (1997)[4], Encre sur Encre de Sarah Blum (2009 - Nana Films)[5], et le livre de Bernard Noël, Paul Trajman ou la main qui pense (2010 - éd. Ypsilon)[6],[7],[3], où l’écrivain se livre à une expérience inédite, nous racontant l’art de Trajman.
Paul Trajman expose dans des expositions internationales (Bruxelles, Gand, Anvers, New York)[8],[9],[10] et figure dans la collection du roi Baudoin[11].
Paul était un ami du peintre Stéphane Mandelbaum[12].
Il apparaît dans son propre rôle dans le documentaire de Romy Trajman et Anaïs Straumann-Lévy, Le divorce de mes Marrants (2022)[13].
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