Albert-Antoine Lambert vit dans le quartier de Montmartre[4] et est sociétaire du Salon des artistes français à partir de 1883[3]. Gérald Schurr entrevoit en lui un tempérament académique qui cependant «osa s'aventurer, à pas feutrés et timides, sur les sentiers de l'impressionnisme»[5].
Salon des artistes français à partir de 1883, mention honorable en 1884, médaille de 3e classe en 1889, de 2e classe en 1890[3].
Exposition universelle de 1900, médaille de bronze[3].
Galerie L'Estampe moderne, Paris, dirigée par Octave Bernard (1922).
Récompenses
Prix de Rome: 3e prix en 1880, 2e second grand prix en 1883[7],[8].
Œuvres dans les collections publiques
Portrait de l'acteur Léon Marais dans « Thermidor » de Victorien Sardou (1891), huile sur toile, Paris, musée Carnavalet.
Allemagne
Berlin, ambassade de France: Portrait de Richelieu, huile sur toile, 220 × 155 cm, dépôt du Fonds national d'art contemporain.
France
Dole, musée des Beaux-Arts: Portrait de M. Bourgeois, 1899, huile sur toile, 73 × 60 cm[9].
Limoges, hôtel de préfecture de la Haute-Vienne: Allégorie des métiers régionaux et du Limousin recommandant la ville de Limoges à la République, entre 1905 et 1913, plafond ovale de l'ancienne salle des délibérations du conseil général de la Haute-Vienne. «La province a pris le visage d'une femme coiffée d'un barbichet. La ville de Limoges, sous les traits d'une femme, est portée dans les airs par des putti au son de la trompette de la renommée. Les activités rurales, artisanales et industrielles sont figurées respectivement par une bergère, un feuillardier et un ouvrier porcelainier»[10].
Paris:
École nationale supérieure des beaux-arts: fonds de dessins scolaires[11].
musée Carnavalet: Portrait de l'acteur Léon Marais (1853-1891) dans le rôle de Martial dans « Thermidor » de Victorien Sardou à la Comédie-Française, 1891, huile sur toile[12].
Saint-Malo, musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin: En Seine-et-Oise, huile sur toile. Don d'Alphonse de Rothschild. Œuvre détruite dans l'incendie de l'hôtel de ville en , au cours des combats de la Libération[13].
Eugène Véron, « Le Prix de Rome: jugement du 27 juillet 1883 », Courrier de l'art - Chronique hebdomadaire des ateliers, des musées, des expositions, des ventes publiques, des concours, des théâtres, 2 août 1883.
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