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František Kupka, dit François Kupka, né à Opočno (royaume de Bohême) le et mort à Puteaux (Hauts-de-Seine), le , est un peintre tchèque comptant parmi les pionniers de l'abstraction avec Vassily Kandinsky, Gino Severini, Piet Mondrian, Kasimir Malevitch, Auguste Herbin et Robert Delaunay[1],[2].

František Kupka
Naissance

Opočno
Décès
(à 85 ans)
Puteaux
Sépulture
Columbarium du Père-Lachaise
Pseudonymes
Josef Dálný, Paul Regnard
Nationalité
Tchécoslovaque
Activités
Czechoslovak legionary (à partir du ), illustrateur, artiste graphique, enseignant, dessinateur, graphiste, professeur d'université, peintre
Formation
Académies de Prague et de Vienne
Représenté par
Artists Rights Society
Lieu de travail
Paris ()
Mouvements
Orphisme, symbolisme, abstraction
Mécènes
Jindřich Waldes (en)
Distinctions
Ordre national de la Légion d'honneur
Prix Tilleul d'or (d)
Œuvres principales
  • Plans par couleurs
  • Le Premier pas
  • Nocturne
  • Amorpha, fugue à deux couleurs
  • Autour d'un point
Le Salon d'Automne au Grand Palais du 1er octobre au 8 Novembre 1912 avec Amorpha, Fugue en deux couleurs de Kupka et des sculptures d'Amedeo Modigliani, Groupe de femmes de Joseph Csaky, La Source de Francis Picabia, Danseuse au café (en) de Jean Metzinger et Les Montagnards attaqués par des ours de Henri Le Fauconnier.
Le Salon d'Automne au Grand Palais du 1er octobre au 8 Novembre 1912 avec Amorpha, Fugue en deux couleurs de Kupka et des sculptures d'Amedeo Modigliani, Groupe de femmes de Joseph Csaky, La Source de Francis Picabia, Danseuse au café (en) de Jean Metzinger et Les Montagnards attaqués par des ours de Henri Le Fauconnier.

Durant ses quatre-vingt-cinq années de vie, il a vu de nombreux bouleversements de l'art, du symbolisme au pop art, en passant par l'impressionnisme, le cubisme, et bien sûr l'art abstrait, mais a toujours gardé son indépendance, sa liberté par rapport à tous les grands « -ismes » de l'art. Pionnier de l'abstraction, il refusa pourtant toujours l'appellation d'« artiste abstrait » et s'en expliqua ainsi : « Ma peinture, abstraite ? Pourquoi ? La peinture est concrète : couleur, formes, dynamiques. Ce qui compte, c'est l'invention. On doit inventer et puis construire[2]. ».


Biographie



Enfance et formation artistique


Premier de cinq enfants d'une famille modeste, fils d'un notaire et officier dans la petite ville d'Opočno, en Bohême, František Kupka a quinze ans quand il invente un alphabet mélangeant les écritures grecque, cyrillique et latine dont il se sert pour rédiger son journal. Il apprend le métier de sellier. Il s'intéresse assez vite à la peinture et apprend en autodidacte jusqu'à ses dix-sept ans, où il reçoit un enseignement à l'école de métiers de Jaroměř, avec un professeur féru de spiritisme (très à la mode en cette fin de siècle), pour le préparer au concours de l'Académie des beaux-arts de Prague. Il réussit le concours en 1889 et s'inscrit dans la section Peinture sacrée et historique. Il est diplômé de l'Académie de Prague dans l'atelier du professeur František Sequens.

Il rejoint en 1892 l'Académie de Vienne, qui jouit d'un grand renom. La ville est alors en pleine effervescence : Gustav Mahler y compose ses symphonies, Gustav Klimt commence à peindre, Hugo von Hofmannsthal publie ses poèmes en prose, Karl Kraus philosophe et Sigmund Freud fait son apparition. C'est l'atmosphère de la ville qui le stimule, plus que les cours de l'Académie, relativement semblables à ceux qu'il avait déjà reçus à Prague[3].


Arrivée à Paris et premières grandes œuvres


En 1896, Kupka s'installe à Paris, à Montmartre, où se concentre la bohème de l'époque, artistes et poètes. Il vit d'abord très pauvrement, puis, en 1898, loue un atelier et commence à gagner sa vie comme illustrateur pour des revues ou créateur d'affiches pour des cabarets, tout en continuant ses tableaux en parallèle. Il illustre également des nouvelles d'Edgar Allan Poe, avec en particulier l'aquatinte en couleur, L'Idole noire, où une statue colossale se dresse à contre-jour dans la pénombre d'un paysage désolé[4].

À partir de 1901, et jusqu'en 1907, après avoir participé à des périodiques humoristiques et littéraires comme Le Rire et Cocorico, il se met à collaborer intensément à L'Assiette au beurre, hebdomadaire satirique à tendance anarchisante, à laquelle participèrent notamment Juan Gris, Félix Vallotton et Jacques Villon. Kupka prend une orientation anticléricale et antimonarchiste, qui l'éloigne de la théosophie et du spiritisme de ses jeunes années. Il réalise trois numéros spéciaux : L'Argent (11 janvier 1902), Religions (7 mai 1904) et La Paix (). Il y est dur et offensif envers ceux qu'il dénonce comme les profiteurs et les oppresseurs : les marchands cupides, le Kaiser, le Tsar. Ses dessins sont beaucoup plus élaborés que ceux des autres peintres qui ont participé à la revue. Kupka souhaite qu'on ne sous-estime pas son œuvre d'illustrateur. Dans La Création dans les arts plastiques, il affirme que l'illustration est « un genre qui peut fort bien figurer dans les plus hautes sphères de l'art. Le livre est un véritable ami de l'Homme. Lorsque les proportions chantent, que les équilibre sont heureux, que le blanc des gravures fait entendre un soprano, soutenu par l'alto ou la basse des noires typographies, l'illustration ainsi comprise n'est pas indigne d'un grand artiste. Mais combien le comprennent ? Quel champ magnifique laissé en friche[5] ! »

Sa vie se stabilise en 1904, date à laquelle il s'installe définitivement avec Eugénie Straub à Puteaux, à côté de chez son ami Villon. En 1905, il suit des cours de physiologie à la Sorbonne. Il travaille également au laboratoire de biologie et s'intéresse à des problèmes d'optique et de mécanique, en plus de son étude de l'histoire et de l'archéologie. Il pense que ces études vont l'aider dans son art, dont il n'est pas satisfait depuis quelque temps[6].

En 1905, il réalise des planches pour illustrer l'ouvrage de Jean de Bonnefon, qui adapte à la scène le Cantique des Cantiques. Il poursuit jusqu'en 1909 cette œuvre, qui comprend 134 dessins publiés en 1931 par l'industriel et mécène tchèque Waldès. Fortement influencées par la Sécession viennoise, ces illustrations du livre biblique ont été exposées à Paris en 2005 au musée d'Art et d'Histoire du judaïsme. Au cours de la même période, il illustre L'Homme et la Terre, d'Élisée Reclus, édité en 6 volumes (1905-1908). Il livre aussi des illustrations à Je sais tout, dont les Sept merveilles du monde, en novembre 1909.


Passage à l'art non-figuratif


En 1910 survient la première rupture stylistique : Kupka s'oriente vers l'art non figuratif. En 1912, le Salon d'automne accepte d'exposer des œuvres non figuratives. Kupka est alors le premier à présenter au public parisien des toiles abstraites (Amorpha, fugue à deux couleurs, Prague, Narodni Galerie et Amorpha, chromatique chaude, Malá Strana, musée Kampa). Au Salon des indépendants, Kupka est exposé avec les peintres cubistes, mouvement qui l'intéresse beaucoup, mais il refuse d'y être assimilé. À cette époque, il se regroupe chez son ami Villon avec de nombreux artistes, tels Marcel Duchamp, Jean Metzinger, Francis Picabia et Albert Gleizes, dans un groupe qui fut appelé le groupe de Puteaux, ou le groupe de la Section d'or. On y discute d'art, de sciences, de mathématiques et de divers concepts à la mode, tout en présentant ses peintures et ses théories aux autres artistes. Le groupe s'intéresse de très près aux travaux cubistes : Metzinger et Gleizes les défendent, tandis que Duchamp, Picabia et Kupka sont plutôt sceptiques. Kupka écrit d'ailleurs dans La Création dans les arts plastiques : « Les expériences réalisées par Picasso et Braque sont intéressantes comme tentatives pour approcher la nature autrement que n'avaient fait les peintres du passé. Mais elles n'aboutissent qu'à une interprétation de plus. »

Les membres produisent un unique numéro d'une revue appelée La Section d'or, le 9 octobre 1912, auquel collaborent Guillaume Apollinaire, Max Jacob, Pierre Reverdy, André Salmon, Roger Allard et Maurice Princet[7].

En 1913, il publie La Création dans les arts plastiques, un recueil de textes écrits directement en français depuis 1910 :

« On peut qualifier “d'atelier spirituel” le domaine subjectif où se projettent les images de la vie intérieure, miroir magique d'une réalité recréée, peuplée de visions dont l'origine semble voilée d'un secret insondable. Le secret de ce monde intérieur, c'est l'énigme des processus psychiques, énigme qui souvent demeure irrésolue aussi bien pour le protagoniste — l'artiste — que pour son entourage[8]. »

« Adieu, pauvres peintres, obligés de voler des costumes dans les loges des comédiens pour parsemer vos toiles de quelques taches de couleurs osées ! Adieu, artistes-décorateurs, appliqués à l'instar des tapissiers et des modistes, à harmoniser matières et objets colorés ! Vous avez oublié que le sens des couleurs se trouve en vous-mêmes. C'est là qu'il faut aller le chercher[9]. »


La guerre


Dès la déclaration de guerre d'août 1914, bien qu'il fréquente les milieux anarchistes parisiens et soit antimilitariste, Kupka s'engage comme volontaire et se retrouve sur le front dans la Somme, dans la même compagnie que le poète Blaise Cendrars qui l'évoque dans La Main coupée[10]. En 1915, il tombe gravement malade et est évacué à Paris, où il active la résistance tchèque anti-allemande. Il devient même président de la Colonie tchèque de France, qui fédère les associations d'immigrants en France et qui se donne comme but d'enrôler des volontaires tchèques dans la Légion étrangère[11], et surtout les légions tchécoslovaques. En 1918, il est à nouveau mobilisé, et sert sous les ordres du maréchal Foch. Il termine la guerre avec le grade de capitaine et reçoit la Légion d'honneur.


Retour à l'art


Plaque au cimetière du Père-Lachaise.
Plaque au cimetière du Père-Lachaise.

Après la guerre, il reprend plusieurs toiles laissées inachevées, poursuit ses recherches sur la lumière et le mouvement et réoriente son style vers une peinture plus figurative. En 1921, sa première exposition monographique est organisée à la galerie Povolozky, à Paris. En 1923, il est nommé professeur aux Beaux-Arts de Prague, mais reste cependant à Paris avec la charge de s'occuper des boursiers tchèques. Il rencontre un industriel tchèque, Jindrich Waldes, qui devient son mécène.

En 1931, il participe à la fondation du mouvement Abstraction-Création, créé par Auguste Herbin, en opposition à la peinture de la Nouvelle objectivité allemande et au surréalisme. Alors qu'il l'a depuis longtemps délaissé, Kupka réintroduit le noir dans sa palette[12]. Il quitte le groupe en 1934.

En 1936, il participe à l'exposition « Cubism and Abstract Art » au Museum of Modern Art de New York. De 1939 à 1945, il est réfugié à Beaugency avec sa femme, Eugénie Straub. En 1946, il participe au premier Salon des réalités nouvelles. En 1958, le musée d'Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective posthume, un an après sa mort.

Ses cendres sont inhumées au cimetière du Père-Lachaise (87e division, case 22696).


Style artistique



Romantisme et symbolisme


Kupka, comme de nombreux artistes, a commencé par suivre les styles appris à l'Académie, notamment le romantisme, tardif mais toujours en vogue dans les académies de Prague et de Vienne. En témoigne son tableau Vue de Dobruska (1889), peint dans la plus grande tradition classique.

Dès son arrivée à Paris, il s'oriente cependant vers des thèmes symbolistes, sans pour autant faire exclusivement des peintures symbolistes. De cette période datent les nombreuses illustrations pour L'Assiette au beurre, notamment la couverture de L'Argent, dans lequel l'Argent est un personnage au ventre-coffre-fort et au nombril-serrure, qui tient dans sa main un ouvrier le poing levé. De même, les dessins à l'intérieur de la revue sont parfaitement symbolistes : un curé prêche devant une immense foule avec un Jésus sur une croix en bas de laquelle se trouvent des sacs d'or ; l'Argent courtise une Marianne naïve et, alors qu'au loin la foule hurle : « Vive la liberté ! Vive la Commune ! Vive l'anarchie ! », il dit simplement : « Moi, je m'en fous ! » ; dans un autre dessin, l'Argent écrase la foule et force un homme à écrire « Au nom du peuple » sur une table de loi[13].


Le passage à l'abstraction


Kupka arrive à l'abstraction après un long travail de recherche. À partir de 1908, ses illustrations dans sa revue Prométhée traduisent une grande recherche artistique : Kupka s'interroge longuement sur la perspective, faisant de nombreux essais, dans ses illustrations mais aussi dans ses tableaux, Les Touches de piano (1909) ou Grand Nu (1909). Il étudie également le mouvement à travers le tableau Femme cueillant des fleurs (1909-1910). Ses personnages deviennent peu à peu flous, comme dans une photographie « bougée ». Le mouvement et le temps sont travaillés par les ombres et par les changements de couleur de la gauche vers la droite du tableau. Il produit ensuite une toile intitulée Madame Kupka parmi les verticales (1910-1911), sur laquelle le visage de sa femme est enfermé entre des traits verticaux. Dès lors, les formes géométriques s'imposent à lui, et il passe dans l'abstraction.


Œuvres


Les dates des œuvres sont celles retenues par les musées qui les conservent, mais certaines peuvent être regroupées par séries à partir de 1907.


Impressionnisme et symbolisme



Fauvisme



Entre 1908 et 1910 : transition vers l'abstraction


Utilisation d'un bâton de Jacob moins perfectionné que celui acquis par Tycho Brahe en 1564, pour un usage astronomique sur un globe céleste à striures rayonnantes, gravure extraite de l'Introductio geographica de Petrus Apianus, 1532.
Utilisation d'un bâton de Jacob moins perfectionné que celui acquis par Tycho Brahe en 1564, pour un usage astronomique sur un globe céleste à striures rayonnantes, gravure extraite de l'Introductio geographica de Petrus Apianus, 1532.

Après 1910 : abstraction


La Lune avec les projections rayonnantes d'impact autour du cratère lunaire Tycho en bas à gauche surtout, et Copernic un peu en haut du centre.
La Lune avec les projections rayonnantes d'impact autour du cratère lunaire Tycho en bas à gauche surtout, et Copernic un peu en haut du centre.

Ouvrage théorique



Notes et références


  1. Ludmila Vachtova, « Kupka : ondes de choc », dans Beaux Arts Magazine, no 74, décembre 1989, p. 85.
  2. Serge Fauchereau, Kupka, Albin Michel, coll. « Les grands maîtres de l'art contemporain », Paris, 1988, p. 7.
  3. Serge Fauchereau, Kupka, p. 8.
  4. Serge Fauchereau, Kupka, p. 9.
  5. Serge Fauchereau, Kupka, p. 10.
  6. Serge Fauchereau, Kupka, p. 12.
  7. Serge Fauchereau, Kupka, p. 17.
  8. L. Vachtova, op. cit., p. 93.
  9. Ce recueil ne paraîtra en Tchécoslovaquie qu'en 1923. L. Vachtova, op. cit., p. 93.
  10. Serge Fauchereau, Kupka, p. 18.
  11. Jean-Philippe Namont, La Colonie tchécoslovaque. Une histoire de l'immigration tchèque et slovaque en France (1914-1940), Paris, Institut d'études slaves, 2011, p. 81-84.
  12. L. Vachtova, op. cit., p. 96.
  13. Serge Fauchereau, Kupka, p. 11, 35 et 36.
  14. Sélection de peintures de Kupka dans la collection de la Narodni Galerie, site sbirky.ngprague.cz.
  15. Le Bibliomane, 1897, Château de Prague, Prague.
  16. L'Argent, 1899, Narodni Galerie, Prague, site pbase.com.
  17. Les Nénuphars, 1900, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  18. Odilon Redon, Fleur de sang, 1895, pastel (30 × 43 cm), Musée d'Orsay, Paris.
  19. Odilon redon, Le sommeil de Caliban, entre 1895 et 1900, huile sur bois (48,2 × 38,5 cm), Musée d'Orsay, Paris.
  20. L'Entêtement (ou l'Idole noire), 1900-1903, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  21. Epona ballade, Les Joies, 1901, Narodni Galerie, Prague, site pbase.com.
  22. Anthropoïdes, 1902, Galerie Zdenek Sklenar, Prague.
  23. La Vague, 1902, Narodni Galerie, Prague, site pbase.com.
  24. Deux danseuses, 1905, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  25. Portrait de Madame Kupka, 1905, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  26. Portrait de Madame Kupka, site pbase.com.
  27. Soleil d'automne, 1905-1906, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  28. L’Eau, La Baigneuse, 1906-1909, MNAM, Paris, site pbase.com.
  29. La Gamme jaune, 1907, Musée des Beaux-Arts de Houston, Houston.
  30. La Gamme jaune, 1907 et sa note En savoir plus, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  31. Piet Mondrian, Moulin sous le soleil, 1908, Kunstmuseum, La Haye, site kunstmuseum.nl.
  32. Le Rouge à lèvres, 1908, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  33. Œuvres de Kupka au Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg, site navigart.fr.
  34. Le Rouge à lèvres n°II, 1908, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  35. Les Boutiques, Couleurs comme adjectifs, 1908-1910, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  36. Gigolette en rouge, 1909, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  37. Le Mec (ou Le confident), 1910, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  38. L'Archaïque, 1910, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  39. Kees van Dongen, Nini, danseuse aux Folies-Bergères, vers 1909, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  40. Bart van der Leck, Composition n°3, 1916, MNAM, Paris, site collection.centrepompidou.fr.
  41. Piet Mondrian, Composition avec rouge, bleu, noir, jaune et gris, 1921, Kunstmuseum, La Haye, site kunstmuseum.nl.
  42. Francis Picabia, Caoutchouc, 1909 et sa note d'analyse, MNAM, Paris, site collection.centrepompidou.fr.
  43. La Petite fille au ballon, 1908 et sa note d'analyse, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  44. Le Rêve, 1909, Kunstmuseum, Bochum, site kunstmuseumbochum.de.
  45. La vérité nue de la peinture. Autour du Rêve de František Kupka, Pascal Rousseau, 2 février 2018, Festival de l'histoire de l'art 2018, Fontainebleau, site festivaldelhistoiredelart.com.
  46. Francis Picabia, Salicis, 1929, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  47. Les Touches de piano, le Lac, 1909, Narodni Galerie, Prague, site pbase.com.
  48. Œuvres de Kupka au Musée d'Art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, site navigart.fr.
  49. Ruban bleu, 1910, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  50. Portrait de famille, 1910, Narodni Galerie, Prague, site pbase.com.
  51. Piet Mondrian, Dune IV, 1909, Kunstmuseum, La Haye, site kunstmuseum.nl.
  52. Piet Mondrian, Été, dune en Zélande, 1910, Kunstmuseum, La Haye, site kunstmuseum.nl.
  53. Étude pour Plans par couleurs. Grand Nu, 1909-1910, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  54. Étude pour Plans par couleurs. Grand Nu, 1909-1910 et sa note d'analyse, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  55. Étude pour Plans par couleurs. Grand Nu, 1909-1910et sa note d'analyse, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  56. Plans par couleurs. Grand nu, 1909-1910, Solomon R. Guggenheim Museum, New York .
  57. Le miroir ovale, pastel, vente Hôtel Drouot, 20 mars 2020.
  58. Le miroir ovale, 1910-1911, collection particulière, Suisse, site pbase.com.
  59. Plan par couleur, 1910-1911 et sa note d'analyse, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  60. Étude pour Le miroir ovale, 1910, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  61. Femme cueillant des fleurs, 1909-1910, pastel, site centrepompidou.fr.
  62. Femme cueillant des fleurs, 1909, site centrepompidou.fr.
  63. États d'esprit III : ceux qui restent, Umberto Boccioni, 1911, site moma.org.
  64. Femme cueillant des fleurs, 1910-1911, site centrepompidou.fr.
  65. Femme cueillant des fleurs, 1910-1911, pastel, aquarelle et mine graphite, site centrepompidou.fr.
  66. Femme cueillant des fleurs, 1910-1911, pastel, site centrepompidou.fr.
  67. Étude pour Plans par couleurs, 1909-1910, pastel, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  68. Plans par couleurs, 1910-1911, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  69. Femme dans les triangles, 1910-1911, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  70. Le musicien Follot, daté 1910 (1911 ?), MoMA, New York.
  71. La Crise d'une vieille palette, 1910-1911, site centrepompidou.fr.
  72. Étude pour Madame Kupka dans les verticales, 1910-1911, dessin, site centrepompidou.fr.
  73. Madame Kupka dans les verticales, 1910-1911, MoMA, New York.
  74. Questions à Denis Savoie de Universcience, dossier pédagogique de l'exposition « Kupka. Pionnier de l'abstraction » du 21 mars au 30 juillet 2018, p. 22, site grandpalais.fr.
  75. Le Premier pas, daté 1909 (1910-1911 ?), MoMA, New York.
  76. Étude, 1909-1910, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  77. Chute, 1910-1913, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  78. Vassily Kandinsky, Composition V, 1911, collection particulière, site wassily-kandinsky.org.
  79. Piet Mondrian, Pommier en fleur (Bloeiende appelboom), 1912, Kunstmuseum, La Haye, site kunstmuseum.nl.
  80. Étude pour Nocturne, 1910-1911, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  81. Kupka : pionnier de l’abstraction, Matthieu Schwander, 26/03/2018, site radioclassique.fr.
  82. Nocturne, 1910-1911, MUMOK, Vienne, site mumok.at.
  83. Étude pour Printemps cosmique, 1911-1912 (1910 ?), MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  84. Étude pour Ordonnance sur verticales, 1911-1913, dessin, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  85. Étude pour Ordonnance sur verticales, 1911-1913, dessin, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  86. Ordonnance sur verticales, 1911-1913, dessin, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  87. Ordonnance sur verticales, 1911-1920, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  88. Étude pour Le langage des verticales, 1911, Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid, site museothyssen.org.
  89. Ordonnance sur verticales en jaune, 1913 site centrepompidou.fr.
  90. Œuvres de Kupka au Musée de Grenoble, site navigart.fr.
  91. La Primitive, 1911-1913, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  92. Disques de Newton. Étude pour Fugue à deux couleurs, daté 1911-1912, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  93. Formes circulaires, Soleil n° 2, Robert Delaunay, 1912-1913, peinture à la colle sur toile, (100 × 68,5 cm), MNAM, Paris.
  94. Paysage au disque, Robert Delaunay, 1906, huile sur toile, (54 × 46 cm), MNAM, Paris.
  95. Études pour Disques de Newton, 1911-1912, Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
  96. Étude pour Disques de Newton. Étude pour Fugue à deux couleurs, 1911-1912, dessin, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  97. Disques de Newton, 1912, Philadelphia Museum of Art, Philadelphie, site philamuseum.org.
  98. Disques rouges et bleus, daté 1911-1912 (1911 ?), MoMA, New York.
  99. Amorpha, fugue à deux couleurs II, 1910-1911, Cleveland Museum of Art, Cleveland, site clevelandart.org.
  100. Étude pour Amorpha, fugue à deux couleurs et pour Amorpha, chromatique chaude, 1911-1912, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  101. Études liées à Amorpha, chromatique chaude et Amorpha, fugue à deux couleurs, 1911-1912, Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
  102. Études pour Amorpha, chromatique chaude et Amorpha, fugue à deux couleurs, 1910-1911, Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
  103. Études pour Printemps cosmique et Amorpha, fugue à deux couleurs, 1911-1912, Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
  104. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  105. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  106. Étude pour Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1911-1912, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  107. Études pour Amorpha, fugue à deux couleurs, 1911-1912, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  108. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  109. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  110. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  111. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  112. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  113. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  114. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  115. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  116. (Étude pour) Amorpha, Fugue à deux couleurs, 1912, MoMA, New York, site moma.org.
  117. Œuvres de Kupka au MoMA, New York, dont vingt-sept études pour Amorpha, fugue à deux couleurs, site moma.org.
  118. Sélection de peintures de Kupka dans la collection du Musée Kampa de Malá Strana, site museumkampa.cz.
  119. Traits noirs enroulés, 1911-1912, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  120. Sons des cloches, 1912, gravure, vente Mutual Art, site mutualart.com
  121. Son des cloches, gravure de František Kupka, 1912, site catalogue.bnf.fr.
  122. Localisation de motifs graphiques I, 1912-1913, Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid, site museothyssen.org.
  123. Localisation de motifs graphiques II, 1912-1913, National Gallery of Art, Washington.
  124. Plans verticaux, 1911-1912, site pbase.com.
  125. Étude pour Plans verticaux (I), 1911-1913, dessin, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  126. Plans verticaux I, 1912, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  127. Étude pour Plans verticaux (III), 1911-1913, dessin, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  128. Plans verticaux III, 1912-1913, Narodni Galerie, Prague, site pbase.com.
  129. Plans verticaux (II ?), 1912-1913, MNAM, Paris, site centrepompidou.fr.
  130. Odilon Redon, Barbizon en automne, entre 1840 et 1916, huile sur papier sur carton (33 × 24,4 cm), Musée d'Orsay, Paris.
  131. Étude pour Plans verticaux et pour Plans verticaux et diagonaux, 1912-1913, dessin, MNAM, Paris.
  132. Étude en verticales (la cathédrale), 1912, MoMA, New York.
  133. En forme de bulbe, 1911-1912, MNAM, Paris.
  134. Étude, 1911-1914 (1912 ?), MNAM, Paris.
  135. Complexe, 1912, collection particulière, site pbase.com.
  136. Compliment, 1912 et sa note En savoir plus, MNAM, Paris.
  137. Broderie, 1913-1914, Musée national d'histoire et d'art, Luxembourg, site pbase.com.
  138. Printemps cosmique II, 1911-1920, Narodni Galerie, Prague,site pbase.com.
  139. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 103, juillet-août 1992, p. 50.
  140. Conte de pistils et d'étamines n°1, 1919-1923 et sa note d'analyse, MNAM, Paris.
  141. Motif hindou, Dégradés rouges, 1919, MNAM, Paris.
  142. Autour d'un point, 1911-1912, MNAM, Paris.
  143. Étude pour Autour d'un point, vers 1925, Art institute of Chicago, Chicago.
  144. Étude pour Autour d'un point, 1920-1925, MNAM, Paris.
  145. Étude pour Autour d'un point, 1920-1925, MNAM, Paris.
  146. Étude pour Autour d'un point, 1920-1925, MNAM, Paris.
  147. Étude pour Autour d'un point, 1920-1930, MNAM, Paris.
  148. Autour d'un point, 1920-1930 et sa note d'anlyse, MNAM, Paris.
  149. La Foire, Contredanse, 1921-1922, musée Kampa, Prague, site pbase.com.
  150. Violet et jaune, réminiscence, 1921-1924, MNAM, Paris.
  151. Espaces animés, 1922, MNAM, Paris.
  152. Idole, 1923, MNAM, Paris.
  153. Œuvres de Kupka au Musée des Beaux-Arts de Rennes, site navigart.fr.
  154. Bleus mouvants, 1923, MNAM, Paris.
  155. La Forme de l'orangé, 1923, MNAM, Paris.
  156. La Forme du vermillon, 1923, MNAM, Paris.
  157. La Forme du bleu (B I), après 1924, Solomon R. Guggenheim Museum, New York.
  158. Trait austère, 1925, Musée d'Art moderne de Paris, Paris.
  159. Fleur, Fleurs en broderie, 1925, MNAM, Paris.
  160. Ovale noir, 1925-1926, MNAM, Paris.
  161. Machinisme, 1926-1933, MNAM, Paris.
  162. Traits, plans, espace III, 1921-1927, MNAM, Paris.
  163. Plans verticaux, MNAM, Paris.
  164. L'acier boit n°II, 1927-1928, Musée Cantini, Marseille.
  165. Machine comique, 1927-1928, MNAM, Paris.
  166. L'acier travaille, 1927-1928, MNAM, Paris.
  167. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 74, décembre 1989, p. 95.
  168. Bock syncopé n°I, 1928, MNAM, Paris.
  169. Sourire noir, Sourire n°II, 1928-1930, MNAM, Paris.
  170. Musique, 1930-1932, MNAM, Paris.
  171. Trois bleus et trois rouges, 1913-1934, MNAM, Paris.
  172. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 74, décembre 1989, p. 82.
  173. Série Contrastes X, 1935-1946, MNAM, Paris.
  174. Évènement intime, 1951-1952, MNAM, Paris.
  175. Cité dans Beaux Arts Magazine, no 74, décembre 1989, p. 95.
  176. Le texte original a disparu dans les archives de la Gestapo. L. Vachtova, op. cit., p. 93.

Bibliographie


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[de] František Kupka

František Kupka (* 23. September 1871 in Opočno, Böhmen; † 21. Juni oder 24. Juni 1957 in Puteaux bei Paris) war ein tschechischer Maler.

[en] František Kupka

František Kupka (23 September 1871 – 24 June 1957), also known as Frank Kupka or François Kupka,[1] was a Czech painter and graphic artist. He was a pioneer and co-founder of the early phases of the abstract art movement and Orphic Cubism (Orphism).[2] Kupka's abstract works arose from a base of realism, but later evolved into pure abstract art.[3][4]

[es] František Kupka

František Kupka (Opočno, 23 de septiembre de 1871 - Puteaux, 24 de junio de 1957) fue un pintor y artista gráfico checo considerado como uno de los pioneros y cofundador de las primeras etapas del arte abstracto y cubismo órfico (orfismo). Las obras abstractas de Kupka surgieron de una base de realismo, pero más tarde evolucionaron hasta el arte abstracto puro.
- [fr] František Kupka

[it] František Kupka

František Kupka (Opočno, 23 settembre 1871 – Puteaux, 24 giugno 1957) è stato un pittore ceco, fra i maggiori esponenti della pittura astratta e dell'orfismo. Le opere astratte di Kupka nascono dal realismo, poi evoluto in pura arte astratta.

[ru] Купка, Франтишек

Фра́нтишек Ку́пка (чеш. František Kupka; 23 сентября 1871, Опочно, Богемия — 21 июня 1957, Пюто, О-де-Сен) — чешский художник, бо́льшую часть жизни прожил во Франции. Один из первых представителей абстрактной живописи, представитель орфизма. Творческий стиль Купки эволюционировал от реализма к абстрактному искусству.



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