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Jacques Villon, pseudonyme de Gaston Émile Duchamp, né le à Damville (Eure) et mort le à Puteaux (Hauts-de-Seine), est un peintre, dessinateur et graveur français.

Jacques Villon
Les trois frères Duchamp (de gauche à droite) : Marcel Duchamp, Jacques Villon (Gaston Duchamp) et Raymond Duchamp-Villon.
Naissance

Damville
Décès
(à 87 ans)
Puteaux
Sépulture
Cimetière monumental de Rouen
Période d'activité
-
Pseudonyme
Gaston Duchamp
Nationalité
Française
Activités
Peintre, illustrateur, graveur, dessinateur de presse, sculpteur
Formation
Académie Julian
Lycée Corneille
Représenté par
Artists Rights Society
Père
Justin-Isidore Duchamp (d)
Fratrie
Distinctions
Liste détaillée
Commandeur des Arts et des Lettres‎ ()
Grand officier de la Légion d'honneur‎ ()
Croix de guerre 1914-1918
Commandeur des Palmes académiques
Archives conservées par
Bibliothèque Kandinsky (VIL)[1]

Biographie



Famille


Jacques Villon.
Jacques Villon.

Gaston Émile Duchamp est le deuxième fils d’Eugène et de Lucie Duchamp, une famille aisée au tempérament artistique. Quatre de leurs six enfants vont devenir des artistes accomplis. Jean-Paul Crespelle raconte qu'« à l'âge de douze ans, Gaston (futur Jacques Villon) pille la batterie de cuisine maternelle pour graver ses premières eaux-fortes sur les fonds de casseroles. Sa mère finit par lui offrir les plaques de cuivre nécessaires »[2]. Alors qu'à partir de 1891 le garçon effectue au lycée Corneille de Rouen des études secondaires qui le mèneront au baccalauréat[3], son grand-père maternel, Émile Frédéric Nicolle, homme d’affaires arrivé et artiste, enseigne l’art à ses petits-enfants[4]. Regarder travailler son grand-père, dit encore Jean-Pierre Crespelle à propos de Jacques Villon, « enracina en lui ce goût qui allait faire de lui, avec André Dunoyer de Segonzac, le maître de la gravure contemporaine »[2].

Le futur Jacques Villon est le frère aîné[5],[6] du sculpteur Raymond Duchamp-Villon (1876-1918), du peintre, sculpteur et auteur Marcel Duchamp (1887-1968) et de l'artiste-peintre Suzanne Duchamp (1889-1963).


Jeunesse


En 1894, Gaston Duchamp part s’installer avec son frère Raymond à Paris, successivement dans la rue des Écoles puis au 71 rue Caulaincourt (à partir de 1897) dans le quartier parisien de Montmartre et il fait son droit à l’université de Paris. Son père l'autorisant à étudier l’art à condition de poursuivre le droit, il est élève de Philippe Zacharie à l'École des beaux-arts de Rouen en même temps qu'il est, fort brièvement de par son choix de vocation artistique, clerc de notaire[7]. Pour se distinguer de ses frères, Gaston Duchamp adopte en 1895 le pseudonyme de Jack Villon par lequel, en référence au poète du Moyen Âge et au roman Jack d'Alphonse Daudet, il signe ses premiers dessins humoristiques pour la presse rouennaise avant de modifier rapidement son prénom en Jacques[2].

Collection des cent, pochette série Trèfle rose
Collection des cent, pochette série Trèfle rose

L’essor de la communauté artistique de Montmartre où s'installe alors Jacques Villon achève de lui ôter tout intérêt pour la poursuite d’une carrière juridique. Il fréquente en 1895 l'atelier de Fernand Cormon à l'École nationale supérieure des beaux-arts[8], rencontre alors Henri de Toulouse-Lautrec[9] et, pendant les dix années suivantes, il travaille dans les arts graphiques, fournissant, outre six affiches pour le tout jeune cinéma qu'il signe Montcorbier en 1899[10], des dessins et des illustrations aux journaux parisiens comme d'abord Le Rire qui, le 24 avril 1897, « publie sur une pleine page son premier dessin, une scène de café intitulée Souvent femme varie - honneur insigne : il voisine sur la première page avec Henri de Toulouse-Lautrec sur la couverture ; Lautrec au recto, lui au verso »[2]. Suivent ses dessins pour Le Courrier français, La Libre Parole illustrée, la Collection des cent (série n°3, Trèfle rose, carte n°23), Cocorico, L'Assiette au beurre (intégralité du n°46 du 15 février 1902 intitulé La Vie facile), Gil Blas[11] – collaboration journalistique à laquelle il met fin en 1910, soit peu après le décès de Jules Roques, directeur du Courrier français[12] – ou dessinant des affiches en chromolithographiées — cette autre activité qu'il poursuit dans les années 1920 (L'Oréal, teinture inoffensive pour cheveux). Bernard Dorival observe que ces différents travaux, que Jacques Villon considéraient lui-même comme secondaires, affirmèrent en lui « une rare virtuosité dans le maniement de ses instruments, un goût du dessin qui le rapprocha de tous les cubistes et un sens de la figure humaine qui fondent son indépendance »[13].

En 1903, il aide à organiser la section dessin du premier Salon d'automne à Paris. En 1904 et 1905, il étudie l’art à l’Académie Julian[8]. Sa carrière de dessinateur de presse marquera les débuts de son jeune frère, Marcel, qui profitera de ses contacts dans le milieu des caricaturistes.

Très influencé par Edgar Degas et Toulouse-Lautrec à ses débuts[14] - ses dessins sont « pleins de verve, dans un style proche de celui de Toulouse-Lautrec, mais où l'on distingue déjà un souci de simplification des lignes » analyse Jean-Paul Crespelle[15] - Villon adhère en 1907 au Groupe des XXX installé à Rouen puis participe plus tard aux mouvements fauviste et cubiste.


La gravure


Comédie de société (1903), eau-forte et aquatinte, Honolulu Museum of Art.
Comédie de société (1903), eau-forte et aquatinte, Honolulu Museum of Art.
Edmond Sagot
Edmond Sagot

En 1906, Montmartre étant devenue une communauté très active, il déménage pour le quartier plus tranquille de la rue Lemaître Puteaux, où il consacre la majeure partie de son temps à travailler à la pointe sèche, la gravure en creux (intaglio), une technique qui crée des lignes foncées et veloutées qui ressortent en contraste avec la blancheur du papier. On recense 175 gravures - silhouettes de petites femmes et personnages typés de la faune montmartroise - éditées par Edmond Sagot, frère de Clovis Sagot, marchand de Pablo Picasso et des Fauves, entre 1899 et 1910[16],[15].

Son isolement de la bourdonnante communauté artistique de Montmartre, ainsi que sa nature modeste, ont fait que sa production est restée obscure pendant un certain nombre d'années.

De divina proportione, Venise, 1509
De divina proportione, Venise, 1509

À partir de 1911, il organise chez lui, avec ses frères Raymond et Marcel, un groupe de discussion qui se rencontre régulièrement avec des artistes comme Francis Picabia, Robert Delaunay, Fernand Léger, Albert Gleizes, Jean Metzinger, Juan Gris, Roger de La Fresnaye, François Kupka, des poètes comme Guillaume Apollinaire ou Paul Fort et d’autres auxquels on donnera bientôt le nom de groupe de Puteaux[14],[17]. Jacques Villon a joué un rôle majeur dans l’exposition du groupe sous le nom qu'il a choisi lui-même de « Section d'or »[18], inspiré par sa lecture du Trattato della pittura de Léonard de Vinci dans la traduction de Joséphin Péladan[10], et découlant donc du nombre d'or des mathématiques classiques[19]. Plus largement encore, Jacques-Sylvain Klein restitue que ce terme de « Section d'or » se veut être également une référence à De divina proportione, ouvrage du moine Luca Pacioli qui, publié à Venise en 1509 avec des illustrations de Léonard de Vinci. « fait découler l'harmonie de toute œuvre d'art plastique du respect des grandeurs mathématiques »[20], ce que Guillaume Apollinaire reprend sous l'appellation de L'ancienne Mesure de Beauté dans la Manifeste de cette première exposition qui regroupe plus de 200 œuvres par 31 artistes, à la galerie la Boétie à Paris en . Jacques Villon lui-même y présente la Jeune femme, aujourd'hui dans la collection Arensberg du Philadelphia Museum of Art[7].


Le cubisme et la notion de mouvement


Armory Show, New York, 1913
Armory Show, New York, 1913

« Ce qui m'a séduit dans le cubisme, dira Jacques Villon, c'est la recherche de la création, la discipline qui conduit au tableau volontaire, ordonnancé, où il n'y a plus place pour la hasard »[21]. De fait, explique Jean-Paul Crespelle, le groupe de la Section d'or « était attiré par le cubisme de Georges Braque et de Pablo Picasso, mais ses membres en contestaient toutefois le côté trop statique. Ils voulaient, en partant du cubisme, arriver à traduire plastiquement le mouvement car ils pensaient que, plus que le sujet, c'est le rythme, la décomposition de la surface en plans colorés qui donnent la vie, comme au cinéma la répétition des images »[15]. Ainsi, « véritable chef-d'œuvre de cette période cruciale de 1912-1913, les Soldats en marche de Jacques Villon (toile conservée au Musée national d'art moderne de Paris) actent sa volonté d'aller même au-delà du cubisme ». Pour ce faire, argumentent Jacques-Sylvain Klein et Philippe Piguet, « Villon s'appuie sur des traités scientifiques et des précis d'optique, notamment les travaux chronophotographiques d'Étienne-Jules Marey et d'Eadweard Muybridge sur la synthèse du mouvement. Il se passionne pour l'étude de la structure de la matière, la théorie de la relativité et le mouvement brownien. Comme jadis les impressionnistes par rapport à la théorie de Michel-Eugène Chevreul, le Normand qu'il est ne peut rester insensible aux progrès de la science de son temps »[21].

Ogden Nicholas Rood, Théorie scientifique des couleurs…
Ogden Nicholas Rood, Théorie scientifique des couleurs…
Sépulture de la famille Duchamp, cimetière monumental de Rouen.
Sépulture de la famille Duchamp, cimetière monumental de Rouen.

En 1913, année où il épouse Gabrielle Bœuf dite « Gaby »[10], Villon crée ses autres chefs-d’œuvre cubistes, sept grandes pointes sèches où les formes se cassent en plans pyramidaux obscurcis. La même année, il expose 9 toiles au célèbre Armory Show de New York - son frère Marcel Duchamp y expose son historique Nu descendant un escalier - qui contribue à introduire l'art moderne aux États-Unis, non sans difficultés puisque la prolongation de l'exposition à Chicago fait un véritable scandale[15]. Daniel Robbins situe en 1922 le moment où il se plonge dans les traités scientifiques sur la couleur[22], notamment ceux d'Ogden Nicholas Rood, paru en 1881[23] et d'Auguste Rosenstiehl (de), paru en 1884[24], dont, restitue pour sa part Germain Viatte, « il ne devait plus cesser d'utiliser les chartes et cercles chromatiques »[25]. Mobilisé au sein du 21e régiment d'infanterie territoriale en 1914[15], Jacques Villon combat sur les fronts de la Champagne et de l'Artois, puis intègre le service du camouflage en 1916[26]. « Le traumatisme de la Grande guerre encourage ses spéculations sur l'analyse du volume » comprend Germain Viatte[27]. Sa notoriété grandit et dès les années 1930, il est mieux connu aux États-Unis qu’en Europe. Si les nécessités alimentaires le conduisent cependant, entre 1922 et 1928, à produire en parallèle pour la Galerie Bernheim-Jeune des gravures d'après les maîtres modernes (Henri Matisse, Pablo Picasso, Édouard Manet, Raoul Dufy, Georges Braque…), il adhère au groupe Abstraction-Création en 1932[10].

En 1940, Jacques Villon part se réfugier successivement chez André Mare à Bernay (Eure), puis à La Brunié (Tarn) où il peint des paysages, et est de retour à Puteaux en 1942[10]. Il n'accède vraiment à la célébrité qu'en 1944, lorsque la galerie Louis Carré, qui fait l'acquisition de l'intégralité de son atelier et organise une exposition de son œuvre à Paris avec un catalogue préfacé par René-Jean, à la suite de quoi il reçoit des récompenses dans plusieurs expositions internationales. En 1950, il reçoit le Prix Carnegie et, en 1954, il est nommé commandeur de la Légion d'honneur[28]. L'année suivante, il reçoit la commande des vitraux de la cathédrale à Metz, La France. En 1956, le grand prix de la Biennale de Venise lui est décerné à l’exposition[28].

Les plus grandes réalisations de Villon en gravure sont sa création d’une langue purement graphique pour le cubisme, une réalisation dont aucun autre graveur, y compris ses camarades inventeurs du cubisme, Picasso ou Braque, ne pourrait se vanter : « organisant sa toile à partir de deux diagonales nettement indiquées qui vont d'un angle du tableau à l'autre, Villon, qui énonçait ce procédé de composition au sein du groupe et qui en marquera tout son œuvre, le définissait ainsi : "l'ensemble de la toile se décomposait en pyramides colorées marquant les différents points du sujet, points assez rapprochés, afin que les pyramides puissent s'imbriquer l'une dans l'autre pour reconstituer le sujet… Un objet et les différentes parties d'un objet venant à nous en pyramides, dont la pointe est dans notre œil, la base dans l'objet". »[7]

En 1967, son frère Marcel a contribué à monter à Rouen une exposition intitulée « Les Duchamp : Jacques Villon, Raymond Duchamp-Villon, Marcel Duchamp, Suzanne Duchamp ». Une partie de cette exposition familiale a ensuite été présentée au musée national d'Art moderne à Paris[28].

Jacques villon, dont Jean Bazaine, André Beaudin, Maurice Estève, Léon Gischia ou encore Alfred Manessier ont revendiqué l'influence[10], meurt en son atelier de Puteaux le 9 juin 1963 et, lors de ses funérailles officielles - la population a été invitée par voie d'affiche à y participer - le 12 juin suivant à Puteaux, hommage lui est rendu dans des prises de parole de Jean Cassou qui souligne « le rôle capital de l'artiste dans la naissance du cubisme », de Gaëtan Picon, directeur général des Arts et des Lettres, de l'abbé Maurice Morel qui évoque la « faculté d'émerveillement de Jacques Villon » et du sénateur-maire Georges Dardel avant que l'artiste parte reposer au cimetière monumental de Rouen[10],[27]. Ainsi que le résume Denis Martin, conservateur du Musée national des Beaux-Arts du Québec, Jacques Villon aura « su, dès le tournant du siècle, traverser toutes les périodes de l'art moderne en en subissant l'influence, mais en restant toutefois lui-même »[29].


Œuvre



Contributions bibliophiliques



Les vitraux de la cathédrale de Metz[30]


Vue extérieure de la cathédrale Saint-Étienne de Metz.
Vue extérieure de la cathédrale Saint-Étienne de Metz.
Les vitraux de Jacques Villon, vue intérieure.
Les vitraux de Jacques Villon, vue intérieure.

En 1957, Jacques Villon réalise cinq baies vitrées pour la chapelle du Saint-Sacrement de la cathédrale Saint-Étienne de Metz[31],[32],[33]. Dernière grande réalisation d'une carrière déjà bien remplie, cet artiste va étonner encore les amateurs d'art par la puissance colorée des verrières, ainsi que par le mouvement engendré par la mise en scène de multiples formes géométriques. C'est le thème de la Crucifixion dans le vitrail axial qui va révéler toute l'originalité du travail de Jacques Villon. Il s'est inspiré de l'évangile de saint Jean relatant l'événement de la lance portée par un soldat romain qui va percer le côté de Jésus d'où « il sortit aussitôt du sang et de l'eau » (Jn.19, 31-37). Avec cette lance, l'artiste va créer un axe déictique en réalisant une perspective qui traverse le Christ, mais également le spectateur lui-même. C'est un vecteur qui relie le point de vue au point de fuite[34].

De même, à la manière d'un Piero della Francesca pour ses fresques d'Arezzo, il va faire de la croix le symbole de tous les croisements. « Le présent et le passé, la séquence et le symbole, l'objet dans l'espace et la position du spectateur par rapport à cet objet[35]. »

Malgré leur indéniable qualité, les vitraux de Jacques Villon restent encore dans l'ombre de ceux réalisés par Marc Chagall dans la même cathédrale de Metz : certains touristes les attribuent parfois au grand maître d'origine russe[36]. « Il n'est pas étonnant en analysant l'œuvre de Jacques Villon réalisée à Metz, observe pour sa part Christian Schmitt, que certains amateurs d'art aient pu le considérer, à juste titre, comme la plus intéressante, voire la plus exceptionnelle, jusqu'à attribuer à cet artiste de Puteaux la première place, surpassant tous les autres peintres vitriers de la cathédrale de Metz, y compris Chagall. Cela semblerait bien mérité vu les nombreuses trouvailles dues à ce peintre adepte du nombre d'or. Cette vision pyramidale et triangulaire, que l'on retrouve en particulier dans la lance et la chaîne syntagmatique de la croix notamment, lui a permis de mettre le cubisme au service d'une dimension proprement théologique. On a effectivement l'impression qu'il a transformé ses vitraux de Metz à la manière d'un hymne pascal. Comme une manière originale d'affronter le désenchantement du monde en proposant une œuvre proprement musicale. D'où, comme résultat, cette vision féerique mais aussi hallucinante d'une réalité profonde, transcendante et immanente à la fois, "numineuse" selon les termes de Rudolf Otto, qui conduit à révéler des sortes de théophanies ou d'incantations »[37].


Distinctions et hommages



Prix et distinctions



Décorations



Hommages


rue Jacques-Villon, Rouen
rue Jacques-Villon, Rouen

Expositions



Expositions personnelles



Expositions collectives


La Section d'Or, numéro unique, 9 octobre 1912
La Section d'Or, numéro unique, 9 octobre 1912

Citations



Dits de Jacques Villon



Réception critique


Maurice Raynal par Juan Gris
Maurice Raynal par Juan Gris
Bernard Dorival
Bernard Dorival
Jacques Busse
Jacques Busse

Collections publiques



Australie



Belgique



Canada



Danemark



États-Unis


Minne and cats drink, gravure, 1907, Cincinnati Art Museum
Minne and cats drink, gravure, 1907, Cincinnati Art Museum
Chevaux sur les Champs-Élysées, gavure, 1912, Honolulu Museum of Art
Chevaux sur les Champs-Élysées, gavure, 1912, Honolulu Museum of Art
Les Vingt ans sauvages, pointe-sèche, 1930-1931, Honolulu Museum of Art
Les Vingt ans sauvages, pointe-sèche, 1930-1931, Honolulu Museum of Art

France



Italie



Nouvelle-Zélande



Suède



Suisse



Uruguay



Notes et références


  1. « http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000102 »
  2. Jean-Paul Crespelle, « Villon - Le paradis à l'ombre du Sacré-Cœur », Montmartre vivant, Hachette,1964, pp. 8-35.
  3. Musée d'art moderne André-Malraux, Jacques Villon dans les collections
  4. Association Duchamp-Villon-Crotti, Jacques Villon
  5. « Jacques Villon, l'aîné des Duchamp à la cathédrale de Metz », sur http://lenouveaucenacle.fr, .
  6. Espace Trévisse, « Jacques Villon, l'aîné des Duchamp », (consulté le ).
  7. Les Muses - Encyclopédie des arts, Grange Batelière, 1974, vol.15, pp. 4855-4859.
  8. Matthew Drutt, Jacques Villon dans les collections du Musée Salomon R. Guggenheim
  9. « Jacques Villon », Encyclopédie de la peinture, Larousse
  10. Musée des Beaux-Arts d'Angers, Jacques Villon né Gaston Duchamp (1975-1963), dossier de presse, 2011
  11. Jérôme Mellquist, Les caricatures de Jacques Villon, Pierre Cailler, Genève, 1960.
  12. Les Atamanes, Jacques Villon
  13. Bernard Dorival, Jacques Villon, collection « Les grands peintres », Éditions René Kister, Genève, 1957.
  14. François Lespinasse, La Normandie vue par les peintres, Edita S.A., 1988, pp. 102-103.
  15. Jean-Paul Crespelle, Jacques Villon, collection « Bibliothèque aldine des arts », vol.39, Fernand Hazan, Paris, 1958.
  16. Pierre-Yves Corbel, Jacques Villon graveur, Centre national des arts plastiques
  17. Sylvain Amic, « La Section d'or, fortune du cubisme », La Rencontre - Revue des Amis du musée Fabre, Montpellier, décembre 2000
  18. Encyclopédie Larousse, Les frères Duchamp
  19. Germain Viatte, « Jacques Villon », France Archives, 1963
  20. Jacques-Sylvain Klein, « Peinture : l'effervescence rouennaise au siècle naissant », Études normandes, n°38-4, 1989, pp. 55-61
  21. Jacques-Sylvain Klein et Philippe Piguet, Les peintres de la Normandie, éditions Ouest-France, 2019, voir « Jacques Villon » p. 270 et suivantes.
  22. Daniel Robbins, Jacques Villon, Fogg Art Museum, 1976.
  23. Ogden Nicholas Rood, Théorie scientifique des couleurs et leurs applications à l'art et à l'industrie, G. Baillère et Cie, Paris, 1881
  24. Auguste Rosenstiehl, Les premiers éléments de la science de la couleur, Imprimerie Veuve Bader et Cie, Mulhouse, 1884
  25. Germain Viatte, Jacques Villon né Gaston Duchamp (1875-1963, Expressions contemporaines, Paris, 2011.
  26. Galerie Michelle Champetier, Cannes, Jacques Villon, biographie
  27. Germain Viatte, « Jacques Villon », France-Archives, 1963
  28. Paris-Art, Jacques Villon
  29. Yves et Nathalie Laberge, « Le mystère Jacques Villon - Un don au musée du Québec », Vie des arts, vol.37, n°148, automne 1992
  30. « Jacques Villon, peintre arpenteur du visible, ses vitraux à la cathédrale de Metz, conférence de Christian Schmitt, 9 octobre 2018, Université de Rouen-Normandie », sur http://espacetrevisse.com, .
  31. « Jacques Villon, l'artiste discret de la cathédrale de Metz », sur http://espacetrevisse.e-monsite.com, .
  32. « vidéo de présentation », sur https://www.youtube.com, .
  33. Christian Schmitt, « Jacques Villon, l'aîné des Duchamp à la cathédrale de Metz », Le Nouveau cénacle, octobre 2013
  34. « La crucifixion selon Jacques Villon », sur Le Nouveau Cénacle (consulté le ).
  35. Rosalind Krauss, “La Matrice de LeWitt” dans Sol LeWitt, Metz, Centre Pompidou de Metz, , 59 p. (ISBN 978 2 359 83 0170).
  36. « Les vitraux de Jacques Villon dans la cathédrale Saint Etienne », sur http://metz.fr, .
  37. Christian Schmitt, « Des vitraux de Jacques Villon à la cathédrale de Metz », Le Lorraine, décembre 2019
  38. Jacques Busse, Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.14, pp. 254-257.
  39. Château Mouton-Rothschild, Jacques Villon, millésime 1960
  40. L'œuvre de Ladislas Kijno, Hommage à Jacques Villon, 1960
  41. « Les expositions : Jacques Villon, 55 ans de dessin », Connaissance des arts, n°50, 15 avril 1956, p. 80.
  42. André Chastel, « L'œuvre de Jacques Villon ou le bienfait de la subtilité », Le Monde, 6 février 1951
  43. Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001, pp. 1303-1304.
  44. Roger Vieillard, « Les gravures de Jacques Villon », Jardin des arts, n°55, mai 1959.
  45. George Besson, « Jacques Villon, maquisard de la peinture », Les Lettres françaises, n°873, 27 avril 1961.
  46. Georges Charensol, « Beaux-Arts : Jacques Villon à la Galerie Charpentier », Revue des Deux Mondes, mai 1961
  47. Jean Guichard-Meili, « Jacques Villon à la Galerie Charpentier », Témoignage chrétien. 19 mai 1961.
  48. Roland Pressat, Jacques Villon - L'œuvre gravé - Exposition autour d'une collection, éditions du Musée du dessin et de l'estampe originale de Gravelines, 1989.
  49. « Un autre versant du cubisme : Jacques Villon », L'Express, 14 janvier 1993
  50. Pierre de Sélène, « Villon, l'autre Duchamp », Art Ajourd'hui Info, 12 mai 2004
  51. « Jacques Villon, la peinture, un absolu », L'Œil, novembre 2004
  52. « Carcassonne : Villon, cet autre maître du cubisme », La Dépêche, 25 juin 2009
  53. Musée de Millau et des Grands Causses, Jacques Villon, d'une guerre à l'autre, affiche de l'exposition
  54. Nicole Salez, « Jacques Villon né Gaston Duchamp (1875-1963) au musée d'Angers », Tout pour les femmes, novembre 2011
  55. Georges Raillard, « Jacques Villon né Gaston Duchamp », La Quinzaine littéraire, n°1049, 16 novembre 2011
  56. Guillaume Morel, « Jacques Villon ou l'art de la discrétion », Connaissance des arts, 2 mars 2012
  57. Shanez Richert, « Zoom sur Jacques Villon, maître du post-abstrait », Le Podcast Journal, 9 août 2013
  58. « Musée Zervos : hommage à Jacques Villon », Le Bien public, 6 septembre 2013
  59. Isabelle Pham, « Jacques Villon, l'inconnu du grand public, au musée d'Angers », France-TV-Info, 6 décembre 2016
  60. Maurice Raynal, « Jacques Villon », L'Intransigeant, 22 juin 1922.
  61. Raymond Nacenta, School of Paris - The painters and the artistic climate of Paris since 1910, Oldbourne Press, 1960.
  62. Sous la direction de Michel Hoog, Donation Pierre Lévy, Éditions de la Réunion des musées nationaux, 1978, pp. 204-206.
  63. Jean Bouret, « Jacques Villon », Les peintres témoins de leur temps, vol.VI, Achille Weber / Hachette, Paris, 1957, pp. 254-255.
  64. Pierre Cabanne, « Jacques Villon », Les peintres témoins de leur temps, vol.X, Achille Weber / Hachette, Paris, 1961, pp. 248-249.
  65. Emmanuel Pernoud, « Le trait gravé des cubistes », Histoire de l'art, n°29-30, 1995, pp. 79-87
  66. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz - Estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992, p. 419.
  67. Chris L., « La ville de Puteaux expose ses trésors », Sortir à Paris, 6 septembre 2010
  68. Jacques Villon, cité par Dora Vallier, Jacques Villon, œuvres de 1897 à 1956, Cahiers d'art, Paris, 1957, p. 66.
  69. Jacques Villon, cité par René Huyghe de l'Académie française, L'Art et l'homme, Librairie Larousse, 1961, vol.III, pp. 422-423.
  70. Maison de Camille - Artothèque de Puteaux, Jacques Villon dans les collections
  71. Louis Marcoussis, « Sur la gravure à l'eau-forte », Les artistes à Paris, Éditions Arts, Sciences, Lettres, Paris, 1937, p. 72.
  72. Jean Cassou, Jacques Villon, éditions du Musée national d'art moderne, Paris, 1951.
  73. Guy Habasque, « Le cubisme », Histoire de l'art, Grange Batelière, Paris / Salvat Editores, Barcelone, 1975, vol.9, p. 133.
  74. Hans L.C. Jaffé, « Les dix-neuvième et vingtième siècle », dans, sous la direction de Hans L.C. Jaffén Le monde de la peinture des origines à nos jours, V.N.U. Books International, 1980, p. 320.
  75. Patrick-F. Barrer, L'Histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992, p. 54.
  76. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, pp.943-944.
  77. Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Jacques Villon dans les collections
  78. Musée des beaux-arts du Canada, Jacques Villon dans les collections
  79. Musée national des beaux-arts du Québec, Jacques Villon dans les collections
  80. The Art Story, Jacques Villon, painter, illustrator and printmaker
  81. Detroit Institute of Arts, Jacques Villon dans les collections
  82. Musée d'art Nelson Atkins, Jacques Villon dans les collections
  83. Russell Panczenko, Handbook of the collection, Elvehjem Museum of Art, 1990, fig.104
  84. Walker Art Center, Jacques villon dans les collections
  85. Metropolitan Museum of Art, Jacques Villon dans les collections
  86. Museum of Modern Art, Jacques Villon dans les collections
  87. Museum of Modern Art, "Danse" dans les collections
  88. National Gallery of Art, Jacques Villon dans les collections
  89. The Phillips Collection, Jacques Villon dans les collections
  90. GAC Artothèque, Jacques Villon dans la collection
  91. « Jacques Villon suspendu dans l'atrium », Université Paris-Saclay, 21 octobre 2021
  92. Musée des Ursulines de Mâcon, Jacques Villon dans les collections
  93. Jean-Luc Bohl (préface), La collection d'art moderne, SilvanaEditoriale / Musée de la Cour d'Or - Metz Métropole, 2014, p. 191.
  94. Pierre-Yves Corbel, Jacques Villon, Centre national des arts plastiques
  95. Musée national d'art moderne, Jacques Villon dans les collections
  96. Musée de la Section d'Or, présentation des artistes conservés
  97. Centre Georges-Pompidou, "Amro" dans les collections
  98. Collection Peggy Guggenheim, Jacques Villon dans la collection
  99. Musée d'Art d'Auckland, Jacques Villon dans les collections
  100. Musée de Nouvelle-Zélande Te Papa Tongarawa, Jacques Villon dans les collections
  101. Musée d'Art et d'Histoire de Genève, Jacques Villon dans les collections

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[de] Jacques Villon

Jacques Villon (* 31. Juli 1875 in Damville; † 9. Juni 1963 in Puteaux bei Paris), eigentlich Gaston Émile Duchamp, war ein französischer Maler und Grafiker. Sein Pseudonym nahm er 1894 nach dem Roman Jack zu Ehren des französischen Dichters Alphonse Daudet, den Nachnamen zu Ehren von François Villon an, jedoch in eigener Aussprache als Vilon [.mw-parser-output .IPA a{text-decoration:none}viˈlɔn].[1]

[en] Jacques Villon

Jacques Villon (July 31, 1875 – June 9, 1963), also known as Gaston Duchamp, was a French Cubist and abstract painter and printmaker.

[es] Jacques Villon

Jacques Villon (nombre por el que es más conocido Gaston Emile Duchamp 31 de julio de 1875 - 9 de junio de 1963) fue un pintor francés influido por el cubismo.
- [fr] Jacques Villon

[it] Jacques Villon

Jacques Villon (Blainville-Crevon, 1875 – 1963) è stato un pittore francese.

[ru] Вийон, Жак

Жак Вийон (фр. Jacques Villon, наст. имя Гастон Эмиль Дюшан (Gaston Émile Duchamp); 31 июля 1875 (1875-07-31), Дамвиль, Эр — 9 июня 1963, Пюто) — французский живописец и график.



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