Guillaume Bottazzi est un peintre et sculpteur français né le à Lyon.
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En 1988, Guillaume Bottazzi décide de devenir artiste et d'en faire son unique activité. Il commence par étudier la peinture en Italie, à Florence. De retour en France, lauréat d’un concours, il s’installe dans un atelier attribué par la Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC).
À partir de 1992, il réalise des œuvres in situ dans des lieux spécifiques.
Il s'installe à New York dans les années 2000, ses œuvres sont exposées notamment à la galerie Goldstrom et à l'Annex Gallery, annexe du White Cube. L’artiste réalise des expositions en Russie pour le musée national d'Art de Novossibirsk et pour le Centre national d'art contemporain de Moscou.
En 2004, Guillaume Bottazzi va au Japon, ce qui est pour lui un choc culturel, une nouvelle source d’inspiration. En 2010, sous l’initiative du Gouvernement de la Métropole de Tokyo, de la Fondation Tokyo Métropolitan d'Histoire et de Culture, du National Art Center, du musée d’Art Suntory, et du musée d'Art Mori, il crée une œuvre abstraite monumentale de 100 m2, au cœur de Tokyo, dans le quartier de Roppongi. C'est à Sapporo, sur l’île d'Hokkaido, que peut être vue une peinture réalisée en 2011 sur toutes les façades du musée d'Art Miyanomori[1],[2]; une œuvre de 900 m2, la plus grande peinture du Japon[3],[4]. Une exposition personnelle des œuvres de l’artiste fut organisée par ce musée et a contribué à soutenir les victimes du tremblement de terre et du tsunami de [5]. Des œuvres de Guillaume Bottazzi sont conservées dans les collections permanentes du musée.
En 2012, le Mori building, suivant la sélection du musée d'Art Mori, lui a passé commande de plusieurs œuvres. Elles prennent place dans le nouveau gratte-ciel Ark Hills Sengokuyama: au cœur du nouveau quartier de Toranomon au centre de Tokyo.
L’artiste est représenté à Tokyo par la Gallery Itsutsuji[6],[7].
Ses œuvres sont aussi présentées par la galerie Artiscope[8] à Bruxelles[9].
En 2016, Guillaume Bottazzi est l'invité de l'événement Le French May, organisé annuellement par le consulat général de France de Hong Kong et Macao. Cette exposition de 565 m2 qui s'est tenue à la Hong Kong Central Library a présenté 26 œuvres récentes[10],[11],[12],[13].
Pionnier du courant neuro-esthétique[14], Guillaume Bottazzi a signé en 2021 plus de cent œuvres dans l'espace public[15] qui relèvent d’une réflexion globale, intégrant différents paramètres contextuels, comme dans une œuvre de plus de 200 m2 réalisée en 2014 à La Défense[16],[17]. Des artistes plus connus comme Alexander Calder, Richard Serra, Joan Miró ou César ont marqué le quartier d’affaires[18]. En France, il a reçu des commandes de plusieurs ministères, dont le ministère de la Culture[19]. Entre 2016 et 2017, il réalise un tableau d'une hauteur de 16 mètres, place Jourdan, au cœur du quartier européen à Bruxelles, projet soutenu par la Commission européenne[20],[21],[22],[23],[24],[25],[26].
Œuvres
Dans les travaux de Guillaume Bottazzi, la lumière diffuse renvoie à d'autres espaces, au-delà du champs de l'œuvre. Des parties disparaissent dans le support, partie intégrante de l'œuvre, et donnent une impression d'infini formant des éléments impalpables et des formes éthérées.
La lumière se retrouve au sein d'un espace incertain, impression renforcée par la nature abstraite de ses œuvres. Ses tableaux poétiques donnent une impression d'étrangeté. Ses œuvres environnementales, souvent monumentales, ont notamment pour vocation d'immerger le spectateur afin de le rendre acteur, l'induisent à évoluer avec elles. Elles ont pour vocation de favoriser le développement cognitif en imposant une élaboration créative chez l'observateur. Les œuvres de l'artiste peuvent être classées dans l'abstraction «sur-moderne», ainsi nommée par le critique d'art Hans Belting. L'approche psychologique de l'artiste, fondée sur des données scientifiques comme Eric Kandel, António Damásio, Helmut Leder[27], le conduit à porter son attention sur le spectateur.
Paris La Défense, Parcours artistique de La Défense [40]
2014
216 m2
43° 11′ 45″ N, 5° 37′ 03″ E
Tableau de 36 m2 réalisé dans le contexte de "Marseille Provence 2013, Capitale Européenne de la Culture" [41],[42]
2013
50 m2
48° 50′ 57″ N, 2° 18′ 10″ E
Paris - Huile sur toile de lin brut, à découvrir à l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine [43]
2012
3 m2
Tokyo[44] - Organisé par: Tokyo Metropolitan Government, Tokyo Metropolitan Foundation of History and Culture, the National Art Center, Tokyo, Suntory Museum of Art, Tokyo Midtown, Mori Building and Mori Art Museum.
(en) Guillaume Bottazzi, Helmut Leder et Marcos Nadal, «Curved art in the real world: A psychological look at the art of Guillaume Bottazzi», University of Vienna, (lire en ligne, consulté le ).
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