En 1952, il obtient le premier prix de Rome[3], et réside à Rome à la villa Médicis de 1953 à 1956[4]. À son retour de Rome, il exposera dans le monde entier.
S'intéressant à toutes les techniques, il va, en 1953, s'initier à la gravure et à la lithographie dans l'atelier de Maurice Mourlot. En 1960, il illustre les œuvres de Guillaume Apollinaire et d'Ernest Hemingway, puis va s'orienter vers la mosaïque. Il a été membre de la Société des peintres-graveurs français[1].
Paul Guiramand meurt le dans le 14ème arrondissement de Paris[5].
La Tronche, faculté de médecine de Grenoble, domaine de la Merci: mosaïques, 1969.
Musée des beaux-arts de Brest: Port de Horn (Hollande), huile sur toile, 54,2 x 73,2 cm[7].
Expositions et Salons
Paul Guiramand expose durant quarante années au Salon Comparaisons
Biennale de Paris de 1961
Notes et références
Les Peintres graveurs français. 80e anniversaire, Paris (6e), 1969.
Sous le no8527, entre ceux de Jean Brand'honneur et Maurice Boitel, qui l'invitera chaque année pendant quarante ans à exposer dans son groupe au Salon Comparaisons.
Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes: [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80p.
Voir aussi
Bibliographie
Pierre Cabanne, Catalogue raisonné de Paul Guiramand, Séguier-Archimbaud/Birr.
Pierre Cabanne, Guiramand, éditions Ides et Calendes, Neuchâtel, 1973.
(en) Pierre Cabanne, Paul Guiramand, Paris, Cercle d'art, , 221p. (ISBN2-7022-0578-X).
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