Bernard Buffet, né le à Paris et mort le à Tourtour (Var), est un peintre français expressionniste, composant aussi bien des personnages que des figures, animaux, nus, paysages, intérieurs, natures mortes, fleurs.
Aquarelliste, c'est également un peintre de décors et un illustrateur.
Biographie
Famille et enfance
Bernard Buffet naît le 10 juillet 1928 dans le 9e arrondissement de Paris[1].
Fils de Charles Buffet, directeur de l'entreprise de miroiterie Guenne[Note 1], et de Blanche, née Colombe, son épouse, il est issu d'un milieu cultivé de la petite bourgeoisie, allant à rebours de la légende selon laquelle il vivait dans une extrême pauvreté. Ses deux grands-pères sont militaires. L'un d'eux est passionné de dessin[2].
Il est élevé avec son frère Claude, de cinq ans son aîné, dans le 17earrondissement de Paris au no29 de la rue des Batignolles où il commence à peindre et dessiner dès l'âge de dix ans. Renvoyé du lycée Carnot en 1939, il suit en 1942 les cours du soir de la ville de Paris place des Vosges, où M. Darfeuille l'initie au dessin.
Formation et débuts
En décembre 1943, à l'âge de quinze ans, Bernard Buffet passe avec succès le concours à l'entrée de l'École des beaux-arts de Paris et y intègre l'atelier du peintre Eugène Narbonne. Il s'y lie avec ses camarades Maurice Boitel et Louis Vuillermoz.
En 1945, il part travailler seul dans la chambre de bonne de l’appartement familial. En vacances à Saint-Cast-le-Guildo (Bretagne), il peint des tableaux de plage. À l'été 1945, sa mère éprouve des maux de tête et meurt deux mois plus tard d'une tumeur au cerveau. Bernard Buffet, comme elle de tendance depressive, ne s'en remettra jamais[2].
En 1946, il débute au «Salon des moins de trente ans» à la Galerie des beaux-arts avec un autoportrait. L'année suivante il expose L'Homme accoudé au Salon des indépendants.
En décembre de cette année le critique d'art Guy Weelen et Michel Brient organisent sa première exposition particulière, présentée par Pierre Descargues, à la Librairie des impressions d'art. L'État, par l'intermédiaire de Raymond Cogniat, lui fait son premier achat pour le Musée national d'art moderne de Paris, la peinture Nature morte au poulet.
Malgré son succès, Bernard Buffet, mondain, flirte avec l'alcool et les amphétamines.
En avril 1948, Le Buveur[3] présenté au prix de la jeune peinture organisé par la galerie Drouant-David, 52, rue du Faubourg-Saint-Honoré n'est pas primé, mais le collectionneur d'art contemporain Maurice Girardin qui se rendra acquéreur de dix-sept œuvres de Buffet dans les années 1948 à 1953, défend sa peinture avec une si grande virulence qu'il attire l'attention du marchand d'art Emmanuel David sur le jeune peintre[4].
Quelques jours plus tard, Emmanuel David se rend chez Bernard Buffet, 29, rue des Batignolles[Note 2] et lui propose un contrat d'exclusivité avec sa galerie. David partagera ce contrat avec Maurice Garnier en 1957[5].
Succès
En juin 1948, Buffet concourt avec Deux hommes dans une chambre pour le Prix de la critique (première édition), récemment fondé par Augustin Rumeau et son épouse, propriétaires de la galerie Saint-Placide. Il en sort lauréat ex-aequo avec Bernard Lorjou, de vingt ans son aîné. Le succès est immense[6].
En 1949 Pierre Descargues publie Bernard Buffet aux Presses littéraires de France. Un amateur d'art met un pavillon à Garches à sa disposition. Comme loyer, Bernard Buffet lui donne un tableau par trimestre.
La même année, Bernard Buffet épouse Agnès Nanquette (1923-1976), une camarade des Beaux-Arts, dont il divorce l'année suivante. Car en 1950, Bernard Buffet rencontre l'homme d'affaires et mécène français, Pierre Bergé (1930-2017), «dans un café de la rue de la Seine, aujourd'hui disparu [sic], chez Constant[8],[9].» Pierre Bergé devient son compagnon et gère sa carrière jusqu'à leur rupture en 1958.
En 1952, la Ville de Paris lui décerne le prix Antral doté de cent mille francs.
La montagne Sainte-Victoire vue depuis Fuveau, lieu de résidence de Bernard Buffet de 1956 à 1964.
Rétrospective à la galerie Charpentier
En 1955, il obtient la première place au référendum organisé par la revue Connaissance des arts désignant les dix meilleurs peintres de l'après-guerre. Il peint les maquettes des décors et des costumes pour La Chambre argument de Georges Simenon (1903-1989) qui devient son ami.
Il achète la propriété de Manimes à Domont, près de Paris, mais la quittera l'année suivante.
En 1956, il fait l'acquisition du domaine « Château-l'Arc» à Fuveau près d'Aix-en-Provence, qui sera sa résidence principale jusqu’en 1964. La propriété comprend outre l'imposante habitation principale flanquée de tours d'angle, «intermédiaire entre le manoir et la bastide[10]», datant de la première moitié du XVIIesiècle, une chapelle (XVIIesiècle), des communs et un vaste parc avec des pièces d'eau d'où la vue s'étend jusqu'à la montagne Sainte-Victoire.
En 1958 a lieu la première rétrospective de son œuvre à la Galerie Charpentier à Paris. Pierre Bergé publie “Bernard Buffet”.
Bernard Buffet, Pierre Bergé et Annabel Schwob
En mai 1958, le photographe Luc Fournol lui présente la comedienne et chanteuse Annabel Schwob (1928-2005) à Saint-Tropez. C'est le coup de foudre. Commence alors une liaison amoureuse entre Annabel Schwob et Bernard Buffet, qui vient juste de se séparer de Pierre Bergé. Le 12 décembre 1958, Bernard Buffet épouse Annabel Schwob à Ramatuelle. Il a pour témoin son ami, le peintre Jean-Pierre Capron (1921-1997). Le couple adopte trois enfants[11]: Virginie (1962-2012), Danielle (* 1963) et Nicolas (* 1973).
Bernard Buffet peint inlassablement, obsessionnellement, Annabel Schwob; en 1961, l'une de ses expositions s'intitule «Trente fois Annabel Schwob». A partir de 1959, Annabel commence a publier des livres avec succès.
Le guitariste gitan Manitas de Plata, en 1968, jouant sur une guitare ornée par Bernard Buffet.
Années 1960
En 1961, il peint un ensemble de tableaux représentant la vie du Christ destinés à décorer la chapelle du Château l'Arc, sur la commune de Fuveau[12], au Sud-Est d'Aix-en-Provence. Dix ans plus tard, à la demande de monseigneur Pasquale Macchi, secrétaire du pape Paul VI, Bernard Buffet offrira ces tableaux au musée du Vatican où ils sont exposés dans une salle particulière.
En 1964, Maurice Druon (1919-2009) lui consacre une biographie intitulée "Bernard Buffet", publiée chez Hachette. Buffet en écrit lui-même la préface, les images sont de Luc Fournol et les légendes de son épouse. Admirateur prémonitoire, il écrit du peintre: «À y bien regarder, Buffet est un classique, presque un académique, le seul académique important de notre époque, qui a poursuivi d’un pas personnel la route tracée par Monsieur Ingres et par Monsieur Courbet».
La même année, Bernard Buffet achète en Bretagne la villa «La Vallée» à Saint-Cast-le-Guildo où il travaillera jusqu'en 1970.
Élu à l’Académie des beaux-arts le 13 mars 1974 au fauteuil de Paul Jouve, Bernard Buffet devient le plus jeune académicien[4] jamais élu jusque là. Cependant, lui qui a si vite connu le succès auprès du public, n'est pas aimé par l’élite de son époque. La noirceur de son trait et ses séries à répetition ont séduit les amateurs, mais déplaisent aux intellectuels. La reconnaissance de ses pairs de l’Académie des Beaux-Arts lui apportera enfin celle de l’intelligentsia française.
Bernard Buffet dans son atelier à Tourtour (1989) Photo: Danielle Buffet
Années 1980 et suivantes
En 1986, Annabel publie D’amour et d’eau fraîche; la même année sort le livre de Yann Le PichonBernard Buffet en deux tomes qui obtient le prix Élie-Faure.
En 1989, Alin Avila publie Bernard Buffet.
Fin de vie
Vers la fin de sa vie, il estompe peu à peu les couleurs dans ses oeuvre, il revient à la noirceur de ses débuts. Le diagnostic tombe en 1998: Il est attteint de la maladie de Parkinson.
Sentant la maladie irremediablement progresser, Bernard Buffet, qui ne vivait que pour peindre, au moins 8 heures par jour, 7 jours sur 7, ne supporte pas la perspective du déclin. Il s'isole dans sa propriété, le Domaine de la Baume près de Tourtour dans le Var, avec son épouse. Il s'y enferme 6 mois dans son atelier et peint de manière compulsive une série de 25 tableaux sur le thème de la mort, des personnages entre écorchés vifs et squelettes en habits Renaissance, grandeur nature, nés d'un coup de pinceau que l'on sent sec, nerveux, peint dans l'urgence. Ce testament graphique terminé, il se met sur la tête un sac en plastique noir sur lequel il avait fait imprimer son nom avec la calligraphie si particulière de son écriture[4] et s'asphyxie, le 4 octobre 1999.
Ses cendres sont dispersées dans le parc du Musée Bernard Buffet à Higashino-Hachibudaira, ville de Nagaizumi au Japon.
Le 20 juin 2007, Vladimir Veličković, qui lui a succédé à l'Académie des beaux-arts, prononce son éloge sous la Coupole.
Décorations
27 avril 1959: Chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres[13].
23 décembre 1970: Chevalier dans l'ordre national de la Légion d’honneur[14].
10 août 1973: Officier dans l'ordre des Arts et des Lettres[15].
29 mars 1993: Officier dans l'ordre national de la Légion d’honneur[16].
Héritage
Le grand domaine provençal, comprenant un mas du XVIIIesiècle, des cascades et des rivières naturelles, est devenu un hôtel de luxe appartenant au groupe Sibuet (Vogue, août 2014).
En novembre 2007 paraît le 3e et dernier volume de la monographie de Yann Le Pichon, Bernard Buffet, couvrant la période de 1982 à 1999.
Œuvre
Bernard Buffet se revendiquait de peintres tels que David, Géricault ou Courbet[17]. Il a marqué a contrario un dédain, parfois mordant, pour la peinture abstraite[18] et rejette l'impressionnisme[17]. Seuls quelques peintres font exception comme Manet qu'il qualifiera comme ne faisant pas vraiment partie du mouvement impressionniste.
«Je n'ai rien contre la peinture abstraite, mais je me demande pourquoi ceux qui l'aiment tant ne la font pas eux-mêmes. Ce serait aussi bien et leur coûterait moins cher.»
—Bernard Buffet, cité par Michel Droit dans Les Feux du crépuscule.
Salons et autres manifestations collectives
1946: participation au Salon des moins de trente ans, Paris, Galerie des beaux-arts, avec un autoportrait
1947: participation au Salon des indépendants, Paris, avec L'Homme accoudé
1948: participation au Salon d'automne, Paris, avec La Ravaudeuse de filet
1952: participation à la Biennale de Venise
1956: participation à la Biennale de Venise (une salle dédiée au pavillon français)
1961: participation à la Biennale de Paris
Expositions particulières annuelles à Paris
Dès 1949, des expositions annuelles sont organisées chaque mois de février à la galerie Drouant-David, devenue galerie David et Garnier en 1957 puis galerie Maurice Garnier en 1968, au 6, avenue Matignon à Paris (8e arrondissement). À partir de 1952, ces expositions auront les thèmes suivants:
Musée Bernard Buffet (Japon).Entrée du musée Bernard Buffet (Japon).Plaque apposée sur le musée Bernard Buffet (Japon).
Le 25 novembre 1973 est inauguré le musée Bernard Buffet, fondé par Kiichiro Okano (1917-1995), à Higashino, commune de Nagaizumi, préfecture de Shizuoka au Japon. En 1988, l’extension du musée est inaugurée.
Les cendres du peintre ont été dispersées dans le jardin de ce musée[28].
La Chambre, de Georges Simenon pour les Ballets de Roland Petit, 1955
Le Rendez-Vous manqué, de Françoise Sagan, 1958
Patron, de Marcel Aymé, 1959
Carmen, de Georges Bizet pour l'Opéra de Marseille, 1962
Le Grand Cirque d'Aram Khatchatourian et Istar de Vincent d'Indy, chorégraphie par Serge Lifar, Opéra de Paris, 1967
La Valse, de Maurice Ravel pour l'Opéra-Comique, 1970
Timbres-poste
En 1978, un timbre de trois francs, l'Institut et le Pont des Arts, a été émis par l'Administration des Postes d'après une maquette dessinée par Bemard Buffet.
En 1986, timbre yougoslave de 100 dinars à l'effigie du tableau Femme avec un chapeau rose (1967) par Bernard Buffet.
En 1991, un timbre de 25,70 francs, Piste de la Terre Adélie, a été émis par l’administration des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) d'après une maquette dessinée par Bernard Buffet.
Sculptures
Sculpture dans les jardins du musée Bernard Buffet (Japon).
Bernard Buffet a réalisé quatre sculptures en bronze de plus de trois mètres d'envergure. Deux d'entre elles représentent un scarabée, les deux autres un papillon. Deux sculptures sont exposées dans le parc du musée Bernard-Buffet de Surugadaira (Japon), les deux autres, initialement dans le square Bernard et Annabel Buffet de Tourtour (Var), ont été installées sur la place de l'hôtel de ville, en témoignage de leur présence dans ce village de 1986 à 1999[29].
Hommages
À Paris (17earrondissement), depuis octobre 2013, une rue porte son nom, de même qu'à Domont (Val-d'Oise) (depuis 2014), Lorleau (Eure), Saint-Vrain (Essonne), Saint-Avé (Morbihan), L'Isle-d'Abeau (Isère), Thuré (Vienne), Craon (Mayenne)… Il existe également des "allées Bernard Buffet" dans diverses villes françaises telles Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (Var) ou Bourg-de-Péage (Drôme).
Bernard Buffet est évoqué dans le 220e des 480 souvenirs cités par Georges Perec, dans son texte Je me souviens.
Notes et références
Notes
La maison Guenne était située 18, quai de la Loire (Cf. Hélène Minaux, p.36.)
Bernard Buffet habite encore l'appartement familial de la rue des Batignolles avec son frère, Claude, qui travaille avec leur père à la miroiterie Guenne et deviendra ultérieurement libraire en livres anciens. Simone, la fiancée et future épouse de Claude Buffet, venue vivre avec eux en 1947, y habitait encore en 2012 (Cf. Buffet, Lamy, Fournol, Secrêts d'atelier, p.204).)
L'exposition au Musée d'art moderne de la Ville de Paris (2012) présente la totalité des œuvres de Buffet réunies par le Dr Girardin.
L'exposition au musée Yves Brayer (du au ) rassemble trois séries de gravures: La Voix humaine, L'Enfer de Dante et Les Jeux de Dames.
La rétrospective 2016/2017 au musée d'art moderne de la Ville de Paris se déroule du au .
L'exposition du musée Estrine (du au ) réunit une vingtaine d'oeuvres peintes de divers genres: portrait, nature morte, paysage...
Références
(en) «Bernard Buffet», extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit, sur Oxford Art Online, (ISBN9780199773787).
Dominique Gagneux (commissaire de l'exposition «Bernard Buffet. Rétrospective» au musée d'Art moderne de Paris du 14 octobre 2016 au 26 février 2017), interviewé par Anne-Cécile Beaudoin, «Bernard Buffet, l'incompris», supplément de quatre pages au no3517 de Paris Match, semaine du 13 au 19 octobre 2016.
Le Buveur assis, 1948, peinture à l'huile, Paris, Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, sur le site Les Musées de la Ville de Paris parismuseescollections.paris.fr.
Michel Droit, Les feux du crépuscule: journal 1968-1969-1970, Paris, Plon, , 255p. (ISBN2-259-00257-9), p.175
Rétrospective organisée à l'occasion de la réalisation, pour l'administration des postes, de la maquette pour un timbre de trois francs intitulé L'Institut et le Pont des arts.
Bernard Buffet, In attesa di Godot, p.29, Corriere della Sera, 17 maggio 2009
«Bernard Buffet: Return of the 'poser'», The Independent, (lire en ligne, consulté le )
Buffet, Alexis Jakubowicz, Libération, 14 mars 2009
Lydia Harambourg, Bernard Buffet, Fonds de dotation Bernard Buffet, Plomelin, Editions Palatines, 2013
Dictionnaires
Dictionnaire Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, vol.2, éditions Gründ, , 13440p. (ISBN2-7000-3012-5), p.934-936
Pierre Bergé, Bernard Buffet, Genève, Pierre Caillet, 1958 , réédition revue et augmenté 1964.
Alin Avila, Bernard Buffet, Paris, Nouvelles Editions françaises Casterman, (ISBN978-2-7079-0021-0)
Pierre Descargues, Bernard Buffet, éd. P.L.F., Paris, 1949, réédition 1952
Pierre Descargues, Bernard Buffet, éd. Universitaires, Paris, 1959
Jean Giono, Bernard Buffet, Fernand Hazan, 1956
Jean-Claude Lamy, Bernard Buffet: Le samouraï, Paris, Albin Michel, , 361p. (ISBN978-2-226-18080-3)
Stéphane Laurent, Bernard Buffet, le peintre crucifié, Paris, Michalon, (ISBN978-2-84186-139-2)
Yann Le Pichon, Bernard Buffet, vol.1 1943-1961, vol.2 1962-1981, monographie illustrée, Paris, Maurice Garnier, 1986; récompensé par le prix Élie-Faure
Yann Le Pichon, Bernard Buffet, vol.3 1982-1999, monographie illustrée, Paris, Maurice Garnier, 2007
John Sillevis, Bernard Buffet, éd. Palantines, 2008, (ISBN978-2911434976)
Catalogues
Bernard Buffet, Georges Simenon (préfacier), Fernand Mourlot, Bernard Buffet: Œuvre gravé, catalogue de lithographies (1952-1966) établi par Fernand Moulot, Paris, Mazo, 1967
Henry Périer, Bernard Buffet, catalogue de la rétrospective au Centre de la Vieille Charité à Marseille, éd. Indigène, mars 2009 (ISBN2-911939-66-2)
Henry Périer, Bernard Buffet, post 1958: une symphonie de couleur en plus, catalogue du musée du Touquet-Paris-Plage, novembre 2014 (ISBN978-2-9531212-2-3)
Maurice Rheims, Bernard Buffet, graveur 1948-1980, Nice, Editions d'Art de Francony; Paris Editions M. Garnier, 1983
Claude Roger-Marx, Cent tableaux de 1944 à 1958 par Bernard Buffet, catalogue de l'exposition de la Galerie Charpentier, Paris, Galerie Charpentier, 1958
Charles Sorlier, Bernard Buffet lithographe, Paris, Draeger/Trinckvel, 1980
Ouvrages thématiques
Jean-Claude Lamy et Annabel Buffet, Bernard Buffet: Secrets d'atelier, Flammarion, (ISBN978-2-08-011298-9)
Henry Périer, Bernard Buffet et la Provence, Plomelin, Editions Palatines, , 141p. (ISBN978-2-911434-75-4)
Lydia Harambourg, Bernard Buffet et la Bretagne, Plomelin, Editions Palatines, 2006
Presse
Nicole Cournot, «Chez Annabel et Bernard Buffet le délire de l'objet» dans Maison et Jardin, no278, juillet-août 1981, p.48 à 53.
Nicole Cournot, «Bernard et Annabel Buffet à Saint-Tropez» dans Maison et Jardin, no285, juillet-août 1982, p.86 à 89.
François de Valence, «Place belle aux collections: Chez Annabel et Bernard Buffet», dans Maison et Jardin no335 / juillet-août 1987, p.72 à 77, photos Jacques Bachmann.
«The Rise and Fall and Rise of Bernard Buffet», dans Vanity Fair on Art, novembre 2013.
Filmographie
Bernard Buffet, le grand dérangeur, documentaire, 2016, 53 min Portrait intime de l'artiste par Stéphane Ghez (première diffusion sur Arte le dimanche 6 novembre 2016) [lire en ligne].
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии