Vincent Corpet a vingt ans, en mars 1978, lorsqu'il «décide de devenir artiste» et concrétise cette décision en entrant aux Beaux-Arts de Paris (ENSBA) en 1979. Pressé, il obtient le diplôme supérieur d'arts plastiques (DSAP) et quitte l'école après seulement deux années d'études, en 1981.
Corpet indique avoir peint et signé son premier tableau, intitulé Pour le renouveau du bien être, le . Il précise qu'il s'agit du seul tableau à avoir un nom et à porter sa signature[4].
Expositions individuelles et collectives (sélection)
Années 1980
1982: Vincent Corpet, galerie Mesdames-Messieurs Montpellier
1983:
Figures imposées, collective, ELAC, centre d'échange de Perrache, Lyon
Exercices de Styles, collective, commissaire Jérôme Sans, galerie Trans/form, Paris
Vincent Corpet, exposition itinérante au Liban, Beyrouth, Beiteddine, Tripoli, Sidon, Zahlé
Bataille: Georges Bataille une autre histoire de l'œil, commissaire Didier Ottinger, musée Sainte-Croix des Sables-d'Olonne[7]
Mouvement 1, galeries contemporaines, Centre Georges-Pompidou, Paris
1992:
Singularités, exposition collective, galerie Marwan Hoss, Paris
Les Pictographes, exposition collective, musée Sainte-Croix des Sables-d'Olonne
Vincent Corpet - Analogies, l’Autre Musée, Bruxelles
Vincent Corpet - Analogies, hall du palais des congrès de Paris
1993: Vincent Corpet, galerie Lambert-Rouland, Paris
1994: Vincent Corpet, 602 dessins d’après les 602 passions des « Cent-vingt journées de Sodome » de DAF de Sade, École nationale supérieure des beaux-arts, Paris
Les Sonnets luxurieux: l'Arétin (Trad. Paul Larivaille, Présentation Didier Ottinger, dessins de Vincent Corpet), Paris, Deyrolle, , 117p. (BNF36203544).
Sous la dir. artistique de Philippe Ducat, Sade–Corpet: 602 dessins d’après les 602 passions racontées par les 4 historiennes des 120 journées de Sodome de D.A.F. de Sade, Paris, éditions Le Massacre des Innocents, 1995 (ISBN2-9509080-0-4)
Jeu de tarot - Cartes de Vincent Corpet, Jeu de tarot de 78 cartes dessinées par Vincent Corpet d'après une série de peintures réalisées en 2010[17].
Article
«Jacques Perry: écrivain préservé par l'oubli», Art Press, no424, , p.72-75 (présentation en ligne).
Notes et références
Dans le catalogue de l'exposition au centre Pompidou en 1987, le commissaire de l'exposition Fabrice Hergott indique comme année de naissance 1954. Le «20 mars 1958» est celle donnée sur le blog personnel de l'artiste.
Blog personnel de Vincent Corpet, « CV Corpet » lire en ligne (consulté le 28 mai 2010).
Site moreeuw, Biographie Vincent Corpet, citation de V. Corpet: lire en ligne (consulté le 28 mai 2010).
Site artclair.com, Fabrice Hergott, «(...) il dirige pendant deux ans la Maison de la culture de Saint-Étienne. En 1985, il y présente les peintures de Markus Lüpertz, puis, la même année, trois peintres français, Vincent Corpet, Marc Desgrandchamps et Pierre Moignard. Une répétition pour l’exposition controversée qu’il organise à Beaubourg en 1987, deux ans après son arrivée.»lire en ligne (consulté le 28 mai 2010).
Site ville de Saint-Étienne, archives: histoire de la maison de la culture lire en ligne (consulté le 28 mai 2010).
Site galerie Metropolis, Vincent Corpet, Marc Desgranchamps, Stéphane Pencréac’h, Djamel Tatah, avril - mai 2003 «lire en ligne»(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire?) (consulté le 29 mai 2010).
Site acentmetresducentredumonde.com: « Fuck Maîtres », juin à septembre 2012 lire (consulté le 21 juillet 2012).
Site lesitecatalan.com: « Corpet arpente le musée Rigaud », par Thomas Brétinien lire (consulté le 2 juillet 2013).
Site lindependant.fr: « Un petit air d'impertinence au musée Hyacinthe-Rigaud », par J.M.C., article dans L'Indépendant, 9 avril 2013 lire (consulté le 2 juillet 2013).
Site musees-midi-pyrenees.fr, exposition: « Vincent Corpet, Vit au long d'Ingres », du 6 juillet au 3 novembre 2013 lire (consulté le 2 juillet 2013).
Site slash-paris.com: Picasso Mania 7 octobre 2015 → 29 février 2016 «les œuvres des dernières années de Picasso sont redevenues sources d’inspiration. Son éclectisme stylistique, son «cannibalisme» des maîtres anciens, la libre facture des peintures tardives ont inspiré la génération d’artistes révélée au début des années 80 (Georg Baselitz, Jean-Michel Basquiat, George Condo, Julian Schnabel, Vincent Corpet…) » (consulté le 30 septembre 2015)
Clémence Simon, «Art contemporain: Les Sables-d’Olonne. Vincent Corpet, artiste punk à découvrir au Musée d’art moderne et contemporain», Ouest-Frane, (lire en ligne, consulté le ).
Vincent Corpet: enfantillages, texte de Catherine Millet, crédit photographique André Morain, traduction (en) Charles Penwarden, catalogue édité à l'occasion de l'exposition à la galerie Daniel Templon, Paris, du au , 12 p.
Vincent Corpet: analogies, collectif, conception graphique Philippe Ducat, trad. anglaise (en) par Vivian Rehberg, coédition musée d'art moderne de Saint-Étienne et Somogy éditions d'art, (ISBN2-85056-530-X). (Ce catalogue présente un « dialogue à plusieurs voix » entre l'auteur et Jacques Beauffet, Philippe Dagen, Philippe Ducat, Jacques Henric, Richard Leydier, Jean Mairet, Catherine Millet, Jean-François Mozziconnacci, Francis Picabia, Amélie Pironneau et Michel Poivert; commentaire, présentation éditeur.)
Vincent Corpet: vit au long d'Ingres, textes de Florence Viguier-Dutheil et Amélie Pironneau, catalogue édité à l'occasion de l'exposition au musée Ingres de Montauban, du à fin , éditions Lienart, 2013 (ISBN2359060988), 96 p.
vincent CORPET – Une polygraphie de l’austère jouissance, 2020,
Vincent Corpet (textes) et Philippe Ducat (conception graphique), Vincent Corpet DesMesures, édition française, , 124 (120 ill.), 21 x 23 cm (broché) (ISBN978-2-913981-76-8, lire en ligne).
Philippe Dagen, «Vincent Corpet, l'obsession du regard», Le Monde, 1 et 2 septembre 1991.
Philippe Dagen, « Analogies », dans Le Monde,
Jean Clair, « Deux, trois choses autour des peintures de Vincent Corpet », dans art press, no194, 1994
Éric Sucher, « Vincent Corpet, portrait », dans Beaux Arts magazine, no127, 1994
Philippe Dagen, « Six cents dessins pour Sade », dans Le Monde,
Philippe Sollers, « Le Sade de Corpet », dans Le Monde,
Jean-Louis Pinte, « Ma peinture est aveugle », dans Le Figaroscope, 10-
Philippe Carteron, « Précis de Décomposition », dans Le Nouvel Observateur, 25-
Anne Bertrand, « Choc opératoire », dans Les Inrockuptibles, 10-
Dominique Blanc, « Position d'exposition: Vincent Corpet », dans Connaissance des arts, , p.66-67
Vincent Corpet, « Le XXIesiècle c'est moi, vieux! », dans Le Monde, , p.26-27
Philippe Dagen, « Vincent Corpet », dans Le Monde, 5-
Bruno Foucart, «Corpet Vincent: L'encyclopédiste du regard», Connaissance des arts, no532 hors série «Fiac: édition 96 - Nara: le temple du Kôfukuji - Jean Steen», , p.94-99
En couverture, 4 portraits 24 × 32 par Vincent Corpet; l'article est une interview.
.
Richard Leydier, «Vincent Corpet», Art Press, no249, , p.73.
Philippe Lançon, « À rebrousse-toiles: les reproductions irrévérencieuses de Vincent Corpet », cahier été, Libération, 21 et pp.
Adrien Goetz, «Vincent Corpet - Vit au long d’Ingres», Le Figaro, , p.I-III.
Philippe Ducat, «Vincent Corpet les formes de l'univers», Artpress, no490, , p.62-67.
Amélie Adamo, «Vincent Corpet au Kaléidoscope», L’oeil, no760, , p.60 à 64.
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