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Jean-Pierre Vielfaure est un artiste peintre, graveur et lithographe français de l'École de Paris, également cinéaste, né à Alger le [2], mort à Ivry-sur-Seine le .

Jean-Pierre Vielfaure
Naissance

Alger
Décès
(à 84 ans)
Ivry-sur-Seine
Nationalité
Française
Activité
peintre, graveur, lithographe, cinéaste
Mouvement
Phases, École de Paris
Influencé par
Carl Buchheister, Le Surréalisme, l'art abstrait
Archives conservées par
Bibliothèque Kandinsky (VIE)[1]

Biographie



Jeunesse


Bab El Oued
Bab El Oued

Jean-Pierre Vielfaure est natif du quartier algérois de Bab El Oued. Son père, Robert Vielfaure (Alger 1904 - Rodez 1948) et sa mère née Marie-Antoinette Alsac (Mauriac 1909 - Versailles 1957) possèdent une maison de papeterie, librairie et éditions de livres et de cartes postales[3] (notamment d'après les photos d'Alexandre Leroux[4]) au 19, rue de Bab el Oued à Alger. « A l'origine de l'affaire, explique Jean-Pierre, il y a mon grand-père, Étienne Vielfaure (Nîmes 1873 - Alger 1921)[5], petit imprimeur en Ardèche. À l'époque (décennie 1890, n.d.l.r.), l'armée demandait des imprimeurs pour l'accompagner et suivre le mouvement de la colonisation. Mon grand-père a suivi le mouvement, puis a monté une imprimerie à Alger »[6]. Jean-Pierre Vielfaure évoque une enfance à la vie culturelle très riche, entre une mère pianiste et membre d'un orchestre de chambre à Alger, et un père dont il tiendra définitivement sa passion pour le papier, l'impression, le livre, la lecture, l'écriture, le dessin[6].

Rodez
Rodez

Il est aussi apparenté à Louis Vielfaure, député français.

Quittant l'Algérie en 1938, Jean-Pierre Vielfaure suit ses parents à Rodez où il commence à dessiner en autodidacte à l'âge de douze ans. Après le décès de son père en 1948, il devient soutien de famille tout en effectuant son service militaire[6]. Sa toute première exposition, des dessins sur le thème des Paysages du Rouergue, se produit en 1950 à Rodez, suivie d'une seconde, en 1951, où s'énonce une fascination pour Les demoiselles d'Avignon de Pablo Picasso[7]. De ces années aveyronnaises, notre artiste se souvient de ses admirations pour Max Ernst, Robert Motherwell et Gustav Klimt[6], de ses rencontres avec Pierre Soulages, d'une amitié qu'il noue avec le poète Jean Digot (fondateur à Rodez du Prix Antonin-Artaud)[7], avant que, en 1952, il ne monte s'installer en partage entre Éméville (Oise) et le 23, rue Hermel, dans le quartier de Montmartre à Paris[8]. La première fréquentation assidue de Jean-Pierre à Paris est celle de l'atelier du peintre Robert Lapoujade qui l'intéresse en ce qu'il y ressent « un art fait d'intériorité et de poésie et où le lyrisme est constamment côtoyé par une grande rigueur »[7].


Carl Buchheister, « père spirituel »


Une rencontre fort marquante pour Jean-Pierre Vielfaure est en 1956 celle du peintre allemand Carl Buchheister (1890-1964) qu'il va désigner comme étant picturalement son père spirituel[8] et qu'il va héberger à Éméville durant six mois de chaque année, jusqu'à la mort du maître de Hanovre en 1964[7]. Si, rappelle Jacques Busse, Buchheister fut un très proche ami de Vassily Kandinsky, de Theo van Doesburg et de Kurt Schwitters, il retient surtout des deux derniers « les constructions géométriques non exclusives » et les « collages d'esprit surréaliste », tandis que sa propre appartenance à l'École de Hanovre est lisible par sa propension à « découper ses toiles, par des lignes, en aplats de couleurs vives »[9]. Et Jacques Busse de définir ce qu'est la finalté picturale de Buchheister, que Vielfaure va donc revendiquer comme sienne : « tenter de concrétiser la synthèse d'éléments apparemment hétérogènes, concilier une construction géométrique du plan avec une poétique gestuelle de l'informel sans renoncer à un recours amusé aux matériaux post-dadaïstes des collages »[9].


Les mouvements Phases et Inter


En 1958, Jean-Pierre Vielfaure se lie d'amitié avec Édouard Jaguer qui lui est présenté par Carl Buchheister et dont il rejoint le mouvement Phases. Outre les expositions (comme celle de la Galerie du Fleuve en 1960, assortie d'une monographie consacrée à notre artiste par Jaguer), l'activité en est la publication d'une revue bibliophilique à tirage limité, enrichie de gravures originales et intitulée Phases - Cahiers internationaux de recherches littéraires et plastiques (Paul Facchetti éditeur). Jean-Pierre Vielfaure et Wifredo Lam pour la lithographie, Remo Martini pour le bois gravé, assurent l'illustration du dixième numéro en . L'époque Phases est donc aussi pour lui constituée d'amitiés littéraires, comme celles de l'écrivain québécois Roland Giguère, ou du surréaliste belge Jacques Lacomblez dont il illustre les poèmes. Les engagements de Phases étant également politiques, Jean-Pierre Vielfaure est en 1960 (comme d'autres peintres : Robert Lapoujade, Édouard Pignon, Paul Rebeyrolle, Paul-Jean Revel, Claude Viseux) signataire du Manifeste des 121, titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie », document vu par Jean-François Sirinelli comme « l'un des plus célèbres brûlots du siècle »[10]. En rejoignant en 1965 le groupe Inter constitué par des artistes majoritairement de Scandinavie[7], Jean-Pierre Vielfaure ouvre avec la ville de Copenhague une longue relation, tant par les séjours et les expositions que par les éditions de son œuvre gravé[11].


Opéra Civilisation


C'est entre 1968 et , alors que dans le même temps il contribue aux illustrations du magazine Rock & Folk[8], que Jean-Pierre Vielfaure entreprend son œuvre « monumentale » intitulée Opéra Civilisation, suite de soixante-douze tableaux (collages, acrylique, technique mixte) juxtaposés en une longueur de quarante-deux mètres[12] où, commente Sébastien Moinet-Béchar, « est évoqué le récit historique, idéologique et artistique de notre civilisation, de la création du monde à notre futur inconnu. Opéra Civilisation, poursuit Moinet-Béchar, n'est pas seulement le récit du monde vu de manière linéaire, c'est également la vision du monde à travers les yeux de l'artiste : il ne tient pas compte de la chronologie ou de la logique, mais nous emmène à l'interrogation »[8].


Ibiza, New York, Bretagne...


1970 est pour Vielfaure l'année d'un séjour de trois mois en Laponie, où il va jusqu'au Cap Nord, l'année aussi où son Cycle scandinave est exposé à Aalborg (Danemark) et à Ibiza. Ces retours sur l'île et sa voisine Formentera (où ses premiers séjours datent de 1968[7]) lui inspirent la série de plus de cinquante toiles (1970-1973) uniformément intitulées Les portes d'Ibiza[8], exposées successivement à Ibiza, Copenhague et Helsinki en 1973[7]. Son premier et long séjour à New York et au Canada en 1977 donne lieu à une suite de techniques mixtes, Journal new-yorkais, essentiellement sur papier et présentés en diptyques (pages 2 et 4, pages 5 et 6, etc.)[8] où voisinent écriture, collages et abstraction. En même temps, notre artiste amorce le tournage de son film homonyme dont l'achèvement lui demande un retour à New-York en 1979. 1979 est également l'année où, avec son épouse Chantal Cusin-Berche[13], Jean-Pierre Vielfaure découvre la Bretagne et s'y attache, y revenant dès 1980: il aménage en 1982 un nouvel atelier à Sainte-Marie-du-Ménez-Hom (Finistère) où la série Parcours pour une odyssée arctique est suivie d'une autre, Le Codex Bevern: en une synthèse de ses voyages, de ses lectures et de l'imagination, il y invente une civilisation s'étendant de la Bretagne celte au Canada[14].


Ivry


Jean-Pierre Vielfaure dans son atelier.
Jean-Pierre Vielfaure dans son atelier.
Ivry-sur-Seine, la manufacture des œillets
Ivry-sur-Seine, la manufacture des œillets

En fin d'année 1988, lorsqu'à Ivry-sur-Seine une partie de l'ancienne manufacture des œillets, rue Raspail, est reconvertie en ateliers d'artistes[15], Jean-Pierre Vielfaure décide de s'y installer. « Ce qui m'intéresse, et pas seulement dans l'art, consigne-t-il alors dans ses Carnets de travail[16], c'est le mystère, ce qui a été oublié, c'est-à-dire la part d'ombre refoulée par notre société qui réduit le langage à l'utile ». C'est dans cet esprit que notre artiste, effectuant plusieurs séjours à Venise tout en se souvenant de son odyssée dans l'océan Arctique, s'investit simultanément dans deux séries de toiles, Quand la banquise devient opéra et Le testament vénitien. Il s'en justifie en ce que de part et d'autre de cette double inspiration, il « s'exprime par les mythes, revisite de grands opéras avec les figures allusives de leurs héros »[16], l'œuvre consistant alors à inventer des mises en scène où se télescopent entre autres Giacomo Casanova, Le vaisseau fantôme, Marco Polo, le Baron Corvo, Lord Byron, Thomas Mann (Mort à Venise) et Corto Maltese (Fable de Venise), en quoi Philippe Piguet perçoit « une véritable faculté à la divagation, à l'errance et à la dérive »[17]. « D'une fécondité remarquable, confirme le Dictionnaire Bénézit, il pratique une abstraction extrêmement colorée, d'une profusion décorative qu'on dirait orientale, une abstraction "narrative" porteuse d'éléments et signes symboliques suggérant la rencontre de personnages historiques, littéraires et mythiques »[18].

Sa suite de tableaux L'appel aux esprits (2007) offre à Jean-Pierre Vielfaure de se confier sur sa propre spiritualité: « Cela a commencé durant les séjours en Scandinavie. Là-bas, où, en vingt-cinq ans j'ai vendu mille toiles, j'ai vu tous les musées concernant les rites chamaniques... Autodidacte, ma curiosité reste ouverte et intacte. Bien qu'élevé chez les catholiques, ma spiritualité penche plutôt du côté des chamans. Chaque chaman a sa propre spiritualité, en relation avec les nuages, ou le bois, ou tel animal. Le chamanisme est ma vraie religion. Elle ouvre sur un autre monde »[6].

Une longue et pénible maladie emporte le , âgé de 84 ans, l'artiste qui écrivit dans l'un de ses innombrables carnets de travail : « en art, le sens ne peut apparaître que voilé et sa révélation ne peut que se faire dans les fractures »[19]. Selon sa volonté, les cendres de Jean-Pierre Vielfaure ont été dispersées dans le Jardin du souvenir du cimetière d'Ivry. Son fonds d'archives est conservé par la bibliothèque Kandinsky du Centre Georges-Pompidou


Œuvre



Thèmes picturaux



Tableaux-portraits



Galerie



Bibliophilie et livres d'artiste


Jean-Clarence Lambert
Jean-Clarence Lambert

Filmographie



Expositions



Expositions personnelles



Expositions collectives



Réception critique


« Nous avons tous imaginé, dans notre enfance, des mondes cachés perpétuant des civilisations disparues dont les archaïsmes chatoyants faisaient rêver par leur beauté et leur intensité mystérieuse... Jean-Pierre Vielfaure nous montre quelques traces de l'utopie qu'il a imaginée à partir de ces expériences et de ces choix réels. Les "Sites" du Bevern ont des consonnances très bretonnes. Et tout convie à rêver à une société idéale du Nord-Oust Atlantique dans laquelle auraient fusionné le monde celte et la civilisation indienne de l'Amérique du Nord, sur un territoire au sol dense et ombreux proche de l'océan, des vents et des nuages qui font changer le ciel. Le mental et le plastique sont trop souvent dissociés dans les créations contemporaines. Chez Vielfaure les deux sont conjugués avec bonheur. La maîtrise de faire s'appuient sur un beau voyage imaginaire et construit qui puise sa vraisemblance dans les amours réels de l'artiste. »

 Jean-Marie Gibbal[40]

« La richesse plastique des images qu'il brosse dit la vision fantastique qui est la sienne, celle d'un regard illuminé par la puissance métamorphique du rêve. Grande est encore ici la part du songe dans cette appréhension continentale de la peinture - un songe traversé de l'expérience livresque des contes et légendes du temps passé, des relations de voyages inventés ou vécus, de ces grands explorateurs du temps et de l'espace qu'ont été, chacun à leur manière, des figures aussi diverses que Marco Polo ou Saint-John Perse. »

 Philippe Piguet[17]

« Les œuvres de Jean-Pierre Vielfaure sollicitent la part de notre mémoire la plus profonde, la plus inconsciente, celle qui dépasse notre vie individuelle pour s'enfoncer dans le passé de l'espèce humaine et celui de la planète. Il fait passer par une archéologie, une mythologie, une histoire de fiction pour réveiller cette mémoire la plus lointaine, la plus obscure mais qui, comme l'humus le plus noir, produit les fleurs les plus vives. D'où cette joie colorée, gourmande, émerveillée de la mise au jour, de la mise à jour. Et pour dire le précieux du présent, il faut en faire l'objet d'une archéologie future... Là où d'aucuns seraient pris de vertige, Jean-Pierre Vielfaure avance, avec un appétit d'explorateur et une méthode d'encyclopédiste. Pour notre plus grande joie, notre plus gai savoir. »

 Michel Besnier[41]

« L'œuvre de Vielfaure est une cartographie envoûtée d'instants privilégiés. Une minutieuse scénographie d'intériorité rêveuse, toute éblouie de ses énigmatiques miroirs. Un voyage à prodiges au pays des voyages. Passeur d'horizons, Vielfaure joue à saute-espace. On dirait des lettres ultimes traversées par d'autres dimensions, un fabuleux courrier envoyé aux abîmes par un lecteur lointain, incertain et stupéfié. »

 Christian Noorbergen[42]


Prix et distinctions


Château de Kerguéhennec
Château de Kerguéhennec
Musée d'art de São Paulo
Musée d'art de São Paulo

Collections publiques



Collections privées


Abbaye de Royaumont
Abbaye de Royaumont

Bibliographie



Références


  1. « http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000217 » (consulté le )
  2. Naissance le 9 juin 1930 indiquée dans la monographie Le testament vénitien de Jean-Pierre Vielfaure (Éditions Le livre d'art Iconofolio, 2007) et confirmée par Madame Chantal Vielfaure-Cusin-Berche, contredisant la date du 6 juin figurant dans les dictionnaires Bénézit et Delarge.
  3. Une carte postale des Éditions Vielfaure, Alger, vers 1903
  4. Marie-Hélène Degroise, Alexandre Leroux (1836-1912) in ''Photographes en outre-mer et en Afrique, 2009
  5. Généanet, Généalogie de la famille Vielfaure
  6. Christian Noorbergen, Entretiens avec Jean-Pierre Vielfaure, texte pour le site internet de l'artiste.
  7. Jean-Pierre Vielfaure, biographie, in Daussy, Proweller, Vielfaure, catalogue d'exposition, Théâtre de la cité internationale, Éditions Art et Prospective, Paris, 1971.
  8. Pestel-Debord, Paris (en collaboration avec Sébastien Moinet Béchar), Catalogue de la vente de l'atelier Jean-Pierre Vielfaure, Hôtel Drouot, Paris, novembre 1015.
  9. Jacques Busse, Carl Buchheister in Dictionnaire Bénézit, Gründ 1999, tome 2, page 923.
  10. Jean-François Sirinelli, Algérie: Manifeste des 121, déclaration sur "le droit à l'insoumission dans la guerre d'Algérie", Libération, 12 janvier 1998
  11. Jean-Pierre Vielfaure, « Composition, fonctionnement et esthétique du groupe Inter », émission Arts d'aujourd'hui, France Culture, 10 février 1968.
  12. Opéra Civilisation: œuvre intégralement reproduite en pages 38-39, Catalogue de la vente de l'atelier Jean-Pierre Vielfaure, Pestel-Debord Paris, novembre 2015.
  13. Sophie Flouquet, Chantal Cusin-Berche, l'autre versant des arts plastiques, in revue L'Œil, no 601, avril 2008
  14. Jean-Pierre Vielfaure, Fragments, figures et extraits du Codex Bevern, diaporama Vimeo, durée 1 min 33 s.
  15. Usines et arts en Ivry, Lieux de création dans des usines réhabilitées - Raspail : l'ancienne Manufactures des œillets.
  16. Jean-Pierre Vielfaure, Les portes de la couleur, in Le testament vénitien de Jean-Pierre Vielfaure, Le livre d'art Iconofolio, 2007.
  17. Philippe Piguet, Quand la banquise devient opéra, centre d'art et de culture de Brétigny-sur-Orge, 1991.
  18. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.14, page 220.
  19. Carnets de travail de Jean-Pierre Vielfaure, Écrit du 22 juin 1998, reproduit en fac-similé en page 50 de Le testament vénitien de Jean-Pierre Vielfaure, Édition Le Livre d'art Iconofolio, 2007.
  20. Hommage au jazzman Thelonious Monk.
  21. Toiles de grands formats dans la suite du Journal new-yorkais.
  22. Jean-Pierre Vielfaure, Parcours pour une odyssée arctique, diaporama Vimeo, durée 2 min 33 s.
  23. Jean-Pierre Vielfaure, Quand la banquise devient opéra, diaporama Vimeo, durée 1 min 51 s.
  24. Cinq grandes lithographies (90 × 200 cm), éditions Michel Casse, Paris.
  25. Jean-Pierre Vielfaure, Le Testament vénitien, diaporama Vimeo, durée 56 s.
  26. Jean-Pierre Vielfaure, Les Confins de paysage, diaporama Vimeo, durée 40 s
  27. Pestel-Debord, Catalogue de la vente de l'atelier Jean-Pierre Vielfaure, novembre 2015, tableau reproduit en page 23.
  28. Pestel-Debord, op.cit., tableau reproduit en page 26.
  29. Pestel-Debord, op.cit. tableau reproduit en page 30.
  30. Le Livre d'art, Nemo, Capitaine, présentation du livre, 2008.
  31. Centre national d'art contemporain, Jean-Pierre Vielfaure - Le testament vénitien, communiqué de presse, 2003
  32. « Atelier Jean-Pierre Vielfaure », La Gazette de l'Hôtel Drouot, n° 40 du 20 novembre 2015 (pages 87 et 142) et n° 42 du 4 décembre 2015 (page 182).
  33. Jérôme Buresi, « Mers-les-Bains : les univers imaginaires de Jean-Pierre Vielfaure », L'Informateur, 23 octobre 2020
  34. Xavier Debeaurain, « Espace d'exposition Jacques Prévert - Jean-Pierre Vielfaure : un sens inouï de la géométrie », Mers Info' - Journal municipal, n°74, hiver 2021, page 32
  35. Édouard Jaguer, Rétroviseur "Phases", Catalogue d'exposition, Galerie des Ponchettes, 1972
  36. Sous la direction de Jean-Marie Gibbal, Sols: peintures, sculptures, installations, Éditions de la Fondation nationale des arts plastiques, 1984
  37. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz, estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992.
  38. Le Télégramme, Plomodiern - Salon de peintures et de sculptures: dernière journée, 13 août 2009.
  39. L'œil Héliotrope, Delta, , présentation de l'exposition, 2021
  40. Jean-Marie Gibbal, « La construction d'un territoire », Fragments, figures et extraits du Codex Bevern, Galerie du Sallé, Quimper / S.M.I., Paris, 1985.
  41. Michel Besnier, « Capitaine Nemo des fonds sous-séculaires », Le testament vénitien de Jean-Pierre Vielfaure, Le livre d'art Iconofolio, 2007.
  42. Christian Noorbergen, « Jean-Pierre Vielfaure, une minutieuse scénographie d'intériorité rêveuse », Artension, n°35, mai-juin 2007.
  43. Artothèque AcApA, Jean-Pierre Vielfaure, artiste de la collection.
  44. County Hall, Jean-Pierre Vielfaure dans la Council Artworks Collection.
  45. Université de Loughborough, Jean-Pierre Vielfaure dans les collections
  46. National Gallery of Art, Jean-Pierre Vielfaure dans les collections
  47. Grande encyclopédie Larousse, 1976. Définition du mot "Abstraction", page 48

Liens externes



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[de] Jean-Pierre Vielfaure

Jean-Pierre Vielfaure (* 9. Juni 1930 in Algier, Algerien; † 27. April 2015 in Ivry-sur-Seine, Département Val-de-Marne) war ein französischer Maler.
- [fr] Jean-Pierre Vielfaure



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