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Claude Viseux est un peintre, sculpteur et graveur aquafortiste et lithographe français né le à Champagne-sur-Oise et mort le à Anglet.

Claude Viseux
Claude Viseux en 1995.
Biographie
Naissance

Champagne-sur-Oise
Décès
(à 81 ans)
Anglet
Nationalité
Française
Formation
École des beaux-arts de Paris
Activités
Peintre, sculpteur
Autres informations
Maîtres
Georges Gromort, Louis Arretche
Distinctions
Officier de l'ordre national du Mérite
Officier des Arts et des Lettres‎
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()

Biographie



Formation et objets trouvés : 1927-1950


Le clos Patrix, maison natale de Claude Viseux à Champagne-sur-Oise.
Le clos Patrix, maison natale de Claude Viseux à Champagne-sur-Oise.
Jean Prouvé
Jean Prouvé
Constantin Brâncuși
Constantin Brâncuși
Max Ernst
Max Ernst
Jean Tinguely
Jean Tinguely

De racines familiales situées dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais[1], c'est du mariage de Gabriel Viseux et Yvonne Cavan, employés à la SNCF, que Claude Viseux naît en 1927 dans la maison nommée Le clos Patrix, située 22, rue d'Aire à Champagne-sur-Oise. Après la Seconde Guerre mondiale qui, afin d'échapper au service du travail obligatoire, se déroule pour lui dans l'Ariège entre la ville de Foix et une ferme du village de Montgailhard, il obtient son baccalauréat au lycée de Pontoise[2].

En 1946, logeant à la Maison des provinces de France de la Cité internationale universitaire de Paris avec l'architecte Michel Dépruneaux[3] qui restera durablement son ami[2], il entre en auditeur libre à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris pour effectuer des études d'architecture dans l'atelier de Georges Gromort et Louis Arretche. Dès 1947, se souviendra-t-il cependant, il se fabrique « un entourage d'objets trouvés », s'accoutumant à « ramasser des souvenirs : éclats géants de bombes, pierres calcifiées, bois morts, empreintes et décalcomanies de murs ou d'herbes séchées qu'il englue d'encre de Chine », ensemble hétéroclite et inclassable qu'il définira comme « un trésor de choses indéchiffrables qui sont son absolu »[4]. C'est dans le prolongement de cette démarche qu'il se revendiquera plutôt autodidacte en affirmant « avoir trouvé l'aide nécessaire bien plus dans des magazines de vulgarisation scientifique, de biologie, chez le plombier qui m'a appris à souder, chez le droguiste qui m'a montré les mélanges alchimiques de couleurs, chez les gitans ferrailleurs, que dans les musées ou catalogues artistiques »[4].

De son mariage en juillet 1949 avec Micheline Bottieau, originaire de Golfe-Juan, naîtront deux enfants, Martine (1951-1969) et François (1953). Il effectue en 1951 dix mois de service militaire au 3e régiment d'infanterie de marine, où il se lie d'amitié avec le philosophe Hubert Damisch[2].


Le peintre : 1950-1958


Claude Viseux abandonne l'architecture au profit de la peinture en 1950[5], date de ses premiers tableaux gestuels. Ses rencontres, avec l'architecte Jean Prouvé en 1951  avec qui il collaborera au pavillon du centenaire de l'aluminium, hall d'exposition démontable réalisé en 1954 sur un quai de Seine à Paris[6], puis en 1956 à la conception pour l'abbé Pierre de la Maison des jours meilleurs, habitation mobile d'environ 50 m2 productible en série et à faible coût[2] , avec le sculpteur Constantin Brancusi en 1952, sont à situer dans ses recherches personnelles d'une nouvelle forme d'expression, d'une démarche qui le range aux côtés de Corneille, Pierre Alechinsky et Robert Lapoujade au sein de la seconde École de Paris[5].

Installé alors rue de Quatrefages, dans le 5e arrondissement de Paris (qu'il quittera en 1957 pour la rue de la Vanne à Montrouge), sa première exposition personnelle se tient à la galerie Vibaud, à Paris, en 1952. De 1953 datent ses peintures instrumentales à partir d'un outillage de hasard : élastiques enduits de couleur, tendus et lâchés sur la toile, dont la trace devient l'acte de peindre. Il fait l'objet de l'exposition d'inauguration de la première galerie de Daniel Cordier en 1956[7]. « Être observateur ne suffit pas : il me faut prendre et restituer l'apparence des choses sous une autre nature pour mieux nier le réel » confie-t-il[8] comme pour éclairer des toiles telles que L'œil vu par les pieds (1957).


Le sculpteur : 1959-2008


C'est dans les années 1959-1960 que la sculpture de Claude Viseux, qualifiée de « protéiforme, onirique, fantastique »  ami de Max Ernst, Man Ray, Francis Ponge et Henri Michaux, il ne désavoue pas une parenté avec le Surréalisme[9]  se substitue à la peinture, ses premières réalisations étant les objets trouvés en bord de mer qu'il pétrifie dans la cire[10] d'une part, les empreintes de pierres et d'algues coulées en bronze d'autre part.

En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ».

En 1961, ses expérimentations s'orientent vers les corps organiques, notamment avec sa série Ostéales constituée d'assemblages d'os fossilisés qu'il patine ou au contraire décape, qu'il visse, scie, assemble et plastifie. Les Concrétudes ou Coulées directes qui suivent en 1961-1962 sont obtenues à partir de coulées de métal en fusion dans le sable, générant des reliefs qu'il soude sur des plaques d'acier. Il va cependant adopter rapidement l'acier inoxydable  qu'il est avec Pol Bury parmi les premiers à employer en sculpture  comme matériau de prédilection. « Il assemble divers rebus industriels — tuyaux, écrous, boulons, cuves… — pour créer des sculptures à mi-chemin du mécanique et du biologique » restitue ainsi Sophie Serra[11]. Claude Viseux, qui fréquente alors Jean Tinguely, Piotr Kowalski, Michel Guino, Takis et César, confirme : « Ma récupération de l'élément industriel s'élargit vers les aciers spéciaux, avec un essai de vocabulaire formel : des barres, des profilés, des sphères, des rotules, des fonds de cuves, des chambres à combustion de Boeing, des tubulures, des soupapes de navire »[9].

« L'artiste entre au cœur de la réalité industrielle, prospecte dans les chaînes de montage de Renault et rôde dans les terrains vaques autour des usines », restitue donc l'encyclopédie Les Muses : « il récupère ferrailles, pièces détachées, débris de voitures, vieux châssis, toute une série d'éléments devenus inutiles. Ils les assemblent, tels quels, sans les modifier. Des créatures agressives ou pathétiques vont surgir de ce combat physique et dialectique que l'artiste livre avec la matière et entrer dans le domaine d'une poétique étrange, surnaturelle[5] ». Dans les années 1967-1970, Les « structures actives » en acier inoxydable procèdent ainsi de la production industrielle de série. Elles se répartissent en familles de formes combinatoires composées par addition, soustraction, multiplication, division. Il confirme : « le monde industriel est ma nature, mon bouillon de culture, où je cherche des corps, des familles de corps, des genres, des espèces, dans un aller-retour de l'artificiel au naturel pour confondre les règnes, pour en inventer d'autres selon une géométrie organique qui féconde les différents types de structures, qui aménage la forme concernée par la forme à venir »[9]. En 1968, Claude Viseux s'installe à la villa Baudran à Arcueil, atelier qu'il conservera jusqu'en 1992.

Si des corps imaginaires naissent ainsi des pièces mécaniques que Claude Viseux emprunte à l'automobile, à l'avion et au bateau, en 1972, « la symétrie de ces formes pures en inox », constate Lydia Harambourg, « l'amène à s'interroger sur la notion d'équilibre instable »[12]. Ses Instables sont de la sorte exposés à la Biennale de Venise en 1972 où, rappelle encore Lydia Harambourg, une salle entière est consacrée « aux dessins qui reprennent son vocabulaire mécanique identitaire de sphères, toupies, hélices, anneaux, astrolabes et balanciers »[12]. Les Instables sont de même, en 1973, présentés à la galerie Le Point cardinal à Paris où Claude Viseux avait déjà exposé en 1968 avec Henri Michaux et Joaquin Ferrer. Il participe également à la conception et à la réalisation de décors et costumes de ballets. On retrouve ses sculptures en inox dans de nombreux lieux publics.

Une plage à Anglet.
Une plage à Anglet.

De 1975 à 1992 Claude Viseux est professeur, chef d'atelier de sculpture à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. De 1981 date son premier voyage en Inde, pays où, jusqu'en 1990, il retournera ensuite neuf fois et auquel il attribuera une influence importante sur son œuvre[11] : les compositions colorées qu'il crée alors énoncent de fait une imprégnation de la culture indienne, de ses rites, de ses codes sociétaux, de son cinéma, de sa musique, de ses couleurs vestimentaires chatoyantes[13]. En 1991, il réalise une trentaine de monotypes dans l'atelier du graveur Tanguy Garric.

Avec son épouse Micheline Viseux, historienne du textile et des tissus imprimés[14], Claude Viseux se retire en 1992 à Hossegor, puis en 1999 à Anglet où il poursuit son travail sur des projets monumentaux jusqu'à ce qu'il soit emporté par une longue maladie le [15]. Selon la volonté de l'artiste, amoureux de l'océan, ses cendres ont été dispersées dans la mer.


Citations



Dits de Claude Viseux


« Tous mes matériaux et structures sont en acier inoxydable : on peut voir des structures verticales qui sont comme des emblèmes, comme des totems, et qui ont la particularité d’être des corps creux, tubulaires, avec des sommets d’où sortent des tas de choses — coquillage, épée, main — comme un arbre pourrait germer et offrir en son haut une surprise si on le décapite. Il y aussi des structures instables au sol, linéaires, que j’appelle des tenseurs, car ils sont comme des pièges faits pour prendre l’espace. »

 Claude Viseux

[réf. nécessaire]

« Être un observateur ne suffit pas. Il me faut prendre et restituer l'apparence des choses sous une autre forme pour mieux nier le réel. »

 Claude Viseux[16]

« Mes sculptures sont une suite d'expériences imaginaires, une seule exigence les dirige : elles doivent contredire le préexistant et en signifier des notions d'extension et de restriction afin d'être pour elles-mêmes des événements de création autonome, nécessaires à nos curiosités mentales. »

 Claude Viseux[17]


Réception critique


« Certaines des toiles de Viseux gardent la trace des plaies mal cicatrisées, que le peintre a grattées avec la rage de celui qui veut retrouver l'origine et le sens du geste de peindre, par-delà les habitudes et les leçons apprises. Mais cette rage a son prix : elle permet de reconnaître le peintre qui décida de briser l'immense rire du silence. Sous les pinceaux qui écorchent, au-delà de la main, surgit l'ombre du dire. »

 Hubert Damisch[18]

« À l'origine de son travail, l'univers marin, présence récurrente où interviennent la mer, le sable, le plancton, le soleil, le cosmos. Des taches sombres, dispersées, faites de tentacules et d'algues, naissent des hasards d'une matière-couleur qui se veut à la fois signes vivants ouverts sur nos rêves non formulés. »

 Lydia Harambourg[19]

« C'est Daniel Cordier qui a révélé au public son lyrisme abstrait et matiériste : cet artiste se destinait à l'architecture et renonça pratiquement à la peinture en 1958 pour pratiquer une sculpture mariant l'acier à tous les matériaux de la production industrielle. Son œuvre peint illustre le mouvement matiériste propre aux recherches des années 1950. »

 Gérald Schurr[20]

« D'abord, il s'agit d'un monde où la dynamique des processus et des équilibres-déséquilibres exclut le repos. Ce monde tourne, vrille, se tend, se tord, se contorsionne, prolifère. En termes de symbole, il s'agit aussi d'un univers sans tranquillité : il n'y a rien à attendre d'un symbolisme qui s'établirait, se confirmerait, se stabiliserait. Les symboles sont, eux aussi, hybrides, faits de juxtapositions et de rencontres instables : échapper au symbole et au signe en épousant une autre apparence, dit Claude Viseux. Cette intranquillité pourrait être appelée existentiellement, une inquiétude. En cela, nous avons affaire à une œuvre qui fait passer les formes par le préalable des sentiments - des sentiments tourmentés mais qui restent soumis à la lucidité d'une volonté d'articulation. »

 Yves Michaud[21]

« En tant que peintre, il se situa d'emblée dans l'abstraction lyrique, recourant également à un travail de la matière apparenté à l'art informel. Il a lui-même donné une idée globale du projet de sa peinture : "une sorte de paysage-portrait, semblable à une foule où chacun crie le plus fort à sa manière, un paroxysme d'infini aveuglant celui qui a cru y voir clair". Dans le même temps, il abordait la sculpture par une démarche d'appropriation de la matière brute, préfigurant l'esprit des expansions de César : ses Concrétudes étaient obtenues à partir de coulées de métal en fusion à même le sol. »

 Jacques Busse[17]

« Viseux, artiste inclassable, n'appartient à aucune école, aucun mouvement artistique. Sa démarche est sensorielle, instinctive. Il aborde la peinture, la sculpture et le dessin avec le même intérêt et la même liberté. Les médiums et les techniques ne sont que des moyens pour inventer une langue artistique à part ; il les travaille en autodidacte, ne se souciant pas nécessairement de leur spécificité. Il les utilise, les malmène pour servir son propos. Il peint l'acier inox, faisant fi de son aspect brillant, il réalise des collages où le procédé même semble disparaître par un habile jeu de juxtapositions. Ce qui compte, c'est l'idée générale de la création. »

 Didier Arnaudet[8]


Collections publiques



Algérie



Allemagne



Belgique



Espagne



États-Unis



France



Inde



Mexique



Pologne



Collections privées référencées



Espagne



France



Contributions bibliophiliques



Scénographie



Expositions



Expositions personnelles



Expositions collectives



Récompenses et distinctions


Rome, la villa Médicis.
Rome, la villa Médicis.

Élèves



Notes et références


  1. Augustin Viseux, Mineur de fond, collection « Terre humaine », Plon, 2005.
  2. Claude Viseux, Récit autobiographique, Association Atelier Claude Viseux/Somogy Éditions d'art, 2008.
  3. Futur architecte de l'église Saint-Vincent-de-Paul de Mont-de-Marsan.
  4. Claude Viseux, « Évolution de ma sculpture », Leonardo, vol.2, no 4, octobre 1969, pages 365-372.
  5. Les Muses, encyclopédie des arts, tome 15, Grange-Batelière, 1969-1974, pages 4870-4871.
  6. Inventaire supplémentaire des monuments historiques, 1993.
  7. Daniel Abadie et Jean-Louis Andral, Donations Daniel Cordier. Le regard d'un amateur, Éditions du Centre Georges-Pompidou, 1989.
  8. Cyril de Plater, Caroline Oliveira, Micheline Viseux et Didier Arnaudet, Claude Viseux (1927-2008) - La réalité transformée, Lienart éditions, 2016.
  9. Claude Viseux, Claude Viseux, récit autobiographique, coédition Association Atelier Claude Viseux/Somogy éditions d'art, 2008.
  10. Il les nomme précisément Pétrifications.
  11. Sophie Serra, Full Metal Sculptures, Éditions du Musée Denys-Puech, 2014.
  12. Lydia Harambourg, « Claude Viseux, la réalité retrouvée », La Gazette de l'Hôtel Drouot, 17 juin 2016, page 303.
  13. « Claude Viseux au Musée d'art et d'histoire Louis-Senlecq », Signes et sens, 2016.
  14. Bibliothèque nationale de France, Micheline Viseux, ses écrits.
  15. « Mort du sculpteur Claude Viseux », Le Journal du Pays basque, 13 novembre 2008.
  16. Claude Viseux, Latences, Imprimerie S.M.I., 1985.
  17. Jacques Busse, « Claude Viseux », in Dictionnaire Bénézit, tome 14, Gründ, 1999, pages 285-286.
  18. Hubert Damisch, Claude Viseux, Éditions Galerie René Drouin, Paris, 1955.
  19. Lydia Harambourg, L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et Calendes, 1993.
  20. Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1993, page 1013.
  21. Yves Michaud, Claude Viseux - Œuvres sur papier, 1955-1996, Éditions de la ville de Vitry-sur-Seine, 1996.
  22. Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Claude Viseux dans les collections.
  23. (es) « Ananda », Museo Internacional de Arte Contemporáneo, Lanzarote.
  24. Emmanuelle Fère, « Claude Viseux au rancart », Sud-Ouest, 28 novembre 2012.
  25. « Arcueil : dix-huit sculptures de Claude Viseux inaugurées », Le Parisien, 18 septembre 2015.
  26. Champagne-sur-Oise, La maison de Claude Viseux.
  27. « Couvron-et-Aumencourt L'Astroboule entre dans l'histoire de la commune », L'Union, .
  28. « Dunkerque : une statue de sirène dérobée à l'entrée du musée », 20 minutes, 22 septembre 2015.
  29. « Les cimaises de Beaulieu à Ginals », La Dépêche du Midi, 15 juin 2015.
  30. « Disparition d la collectionneuse et critique d'art Geneviève Bonnefoi », Connaissance des arts, .
  31. Images de Grenoble, Les sculptures en ville.
  32. Musée de Guéthary, Claude Viseux dans les collections.
  33. [PDF] « Claude Viseux - Dossier de presse », Musée de Guéthary.
  34. Le Nocturlabe, court métrage (source : YouTube ; durée : 6 min 04 s).
  35. Palais 7 portes, Claude Viseux dans les collections.
  36. François Barré, L'île au trésor ou la saga des Mengin, Éditions Janninck, .
  37. Musée d'art et d'histoire Louis-Senlecq, Claude Viseux.
  38. Bibliothèque municipale de Lyon, "Sans titre" de Claude Viseux, 1980/
  39. Anne-Sophie Marquetty, « L'œuvre multiple de Claude Viseux », L'Informateur, n°3887, 19 juillet 2019, page 14.
  40. Patrimoines Occitanie, "Danger isolé" de Claude Viseux, présentation de l'œuvre.
  41. Patrimoines Océanie, "Jonction" de Claude Viseux, présentation de l'œuvre.
  42. Ville de Mont-de-Marsan, “L'Échassier” de Claude Viseux.
  43. Emma Abadi, « Un parcours artistique à la Cité des sciences et de l'industrie », La lettre de l'OCIM, novembre-décembre 2008, pages 20-27.
  44. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz. Estampes et livres d'artistes, BnF, 1992.
  45. Station R.E.R. Auber, sculpture de Claude Viseux, 1972.
  46. Musée des beaux-arts Denys-Puech, présentation des collections.
  47. Fondation Maeght, Claude Viseux dans les collections.
  48. « Sans titre », Vitry-sur-Seine.
  49. « L'Arbre de vie », Vitry-sur-Seine.
  50. Ville de Vitry-sur-Seine, Capsulaire f1, présentation de l'œuvre.
  51. Isabelle Sobelman, Portrait d'une collection : Éric et Doris Beyersdorf, Éditions La Différence, 1992.
  52. Daniel Abadie et Jean-Louis Andral, Donations Daniel Cordier. Le regard d'un amateur, Éditions Centre Georges-Pompidou, 1989.
  53. Louis Doucet, CorpssproC, présentation de l'exposition, Cynorrhodon-FALDAC, 2015.
  54. Crait et Müller, commissaires priseurs, Catalogue de la succession Raoul-Jean Moulin, Hôtel Drouot, Paris, 9 février 2018.
  55. Lucien Paris, Nogent-sur-Marne, catalogue de la collection Victor et Dana Roman, Drouot-Richelieeu, 4 avril 2011.
  56. « En images, feuilletez l'exposition Georges Visat qui ouvre à Pau », La République des Pyrénées, 19 octobre 2017.
  57. Bruno Dellon, « Et l'acier fut trempé », L'Humanité, 18 janvier 1993.
  58. Art-Flox, Exposition Claude Viseux, un grand sculpteur à Mont-de-Marsan.
  59. Emmanuel Planes, « Les traces de Viseux toujours visibles », Sud-Ouest, 13 octobre 2012.
  60. Ville de Dax, Claude Viseux expose à la Galerie Dom-Art, présentation de l'exposition, 2013.
  61. Musée de Guéthary, Claude Viseux, dossier de presse, 2014.
  62. Ghislaine Castillon, « La réalité transformée de l'artiste Claude Viseux », Sud-Ouest, 3 juin 2014.
  63. « Claude Viseux, artiste inclassable », La gazette du Val-d'Oise, 2016.
  64. Château de Pau, Trajectoire(s) - Claude Viseux, présentation de l'événement, 2016.
  65. Château Fonbadet, Claude Viseux, présentation de l'exposition, 2019.
  66. M. C.-L., « "Babel 65" à Galliera », Le Monde, 25 juin 1965.
  67. Paris Art, Coquillages et crustacés, Musée international des arts modestes, présentation de l'exposition, 2008.
  68. Ado Sato, Ado/viseux - Regards croisés, présentation de l'exposition, 2008.
  69. LAAC Dunkerque, L'aventure d'une passion - Gilbert Delaine, un homme, un musée, présentation de l'exposition, 2014.
  70. Jean-Marie Baldner, « Collection de dessins et de photographies de la ville de Vitry-sur-Seine », lacritique.org, 6 avril 2018.
  71. « En hommage à Claude Viseux », Sud-Ouest, 9 avril 2019.

Annexes



Bibliographie



Filmographie



Radiophonie



Liens externes



На других языках


[es] Claude Viseux

Claude Viseux (Champagne-sur-Oise, 1927 - Anglet, 9 de noviembre de 2008) fue un escultor y pintor francés especialmente conocido por sus esculturas en acero inoxidable.
- [fr] Claude Viseux



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