Jean-Jacques Morvan, né à Morlaix le et mort le , est un peintre, sculpteur, graveur et écrivain français. Il est également comédien, journaliste, critique et auteur-compositeur. Il fut peintre officiel de la Marine et membre du jury des prix Édouard et Tristan Corbière à Morlaix.
Pour les articles homonymes, voir Morvan (homonymie).
Né à Morlaix d'une famille de marins[1], Jean-Jacques Morvan est élève du lycée Voltaire, puis du lycée Condorcet à Paris.
En 1944, membre d’une équipe de secours, il est un témoin actif des combats de la libération de Paris. L’année suivante, il participe à l’assistance et à l’escorte des déportés à leur retour des camps. Il est alors soumis à des impressions qui ne le quitteront plus. Jacques Mousseau évoque à ce propos: «il a grandi sous l'occupation allemande de la France et, happé par les misères environnantes qu'il devine ou entrevoit, il s'est engagé dans des actions qu'on qualifierait aujourd'hui d'humanitaires. Ainsi est-il, à l'hôtel Lutetia, membre d'un groupe d'accueil des rescapés des camps nazis de la mort. Les êtres squelettiques, aux grands yeux fixes dans des visages émaciés, silencieux, dont il guide les pas trébuchants, se gravent à jamais dans sa mémoire. Ils ne s'en échapperont plus. Ils hanteront à jamais ses jours et ses nuits. Sa sensibilité est bouleversée pour la vie[2].»
Albert Camus.
C'est de fait en 1945, qu'il entre à l'École nationale supérieure des arts décoratifs avec Raoul Pradier, Michel de Gallard et Paul Rebeyrolle mais que, parallèlement, il suit durablement sa seconde vocation, celle de comédien.
Jean-Jacques Morvan est sélectionné pour le prix de la Critique en 1951 et 1956, pour le prix de la revue Le Peintre en 1956[3]. À partir de 1959, il se partage entre Paris (d'abord au 1, rue Gervex, plus tard cité Montmartre-aux-artistes, au 189 de la rue Ordener), la Bretagne et Saumane-de-Vaucluse où il installe son atelier dans l'ancien moulin à huile[4].
Ami de René Char, c'est ce dernier qui le présente à Albert Camus avec qui il collabore à la revue Témoins[5].
Jean-Jacques Morvan repose au cimetière de Plouezoc'h. Jacques Prévert lui dédie le poème Peinture de Morvan[6].
Citation
«J'ai traqué les filles et le soleil qui entrait en elles. J'ai creusé et trouvé l'ombre. Les gris et les ocres et les rouges et les ors se sont ordonnés. Et cette lumière gagnée à vingt-cinq ans partout m'accompagne. Fidèle à ce monde qui me fut donné, je veux être de cette race d'artistes qui tentent, une vie durant, de superposer sans bavure ces deux petites phrases terribles: ce que veux, ce que je peux.»
1961: Jean-Jacques Morvan - Dix ans de peinture, Musée des Jacobins, Morlaix[10].
Août-septembre 1961: Salon Grands et jeunes d'aujourd'hui, Hôtel Martinez, Cannes.
1962: Première exposition à New-York, Galerie Findlay.
1962: Jean-Jacques Morvan, Galerie Robert Schneider, Paris, du au .
1962: Biennale de Menton.
1964: Vagues et feux de bois, Galerie Katia Granoff, Paris. 1er Salon d'Angers, Jean-Jacques Morvan invité d'honneur.
1966: Importante exposition au Château de Villa à Sierre.
1967: Décoration du Pavillon Français à l'Exposition Terre des Hommes à Montréal.
1969-70: Trois expositions importantes: Musée du Québec, Musée des beaux-arts de Mexico, Maison de la Culture à Rennes. Achat d'une toile pour le Musée du Vatican.
1971-72: Rétrospective 20 ans de peinture (133 œuvres) organisée par la Direction des Musées de France dans cinq villes (dont Musée des beaux-arts d'Orléans, - )[7]. Commence une longue collaboration avec la Monnaie de Paris. Exposition internationale de sculpture dans le métro.
1973: Exposition à Tokyo. Toutes les toiles restent au Japon.
1973: Palais des Arts et de la Culture à Brest: peintures, sculptures, spectacle.
1974: Festival d'Aix-en-Provence. Exposition à Budapest.
1974-75: Nuit et Brouillard, 50 œuvres sur le thème des camps nazis présentées dans différents musées.
1976: Huit peintres dans le métro: 3 jours - 3 nuits pour une œuvre de très grand format.
1978: Organise le Festival peinture-musique-mime-poésie à Saint-Émilion (L'Art et la Cité). Y expose en l'église monolithe avec Constantin Andreou, Antonio Guansé, Henri Guibal, Serge Labégorre, Jacques Lagrange, Robert Lapoujade et Raymond Guerrier du 22 au .
1980: Rétrospective couvrant 15 dernières années au Palais des Festivals à Menton. Expose à Caracas.
1981: Le Président Jacques Chaban-Delmas inaugure à Bordeaux, un musée contenant l'intégralité de son œuvre sur la déportation et la Résistance.
1982-84: Voyage aux quatre coins du monde à bord de la Royale. Peint, écrit. Expositions en Chine et en U.R.S.S.
1985: Exposition officielle au Cameroun, puis exposition à Lausanne.
1987: Le groupe Frantour lui commande 5 tapisseries et des grands formats en peinture pour décorer son centre de vacances "Marina Viva" en Corse. Frantour lui avait déjà passé commande d'une série d'affiches pour l'ensemble de ses centres touristiques.
1988: Exposition en France sur le thème "Les Pyrénées".
1991: Salon France America, Maison française de Washington, 1991[12].
1992: Jean-Jacques Morvan - Mers et océans, Musée d'art de Toulon.
1992: De Bonnard à Baselitz - Dix ans d'enrichissements du cabinet des estampes, Bibliothèque nationale de France[13].
1992: Hommage à Saint-John Perse, Fondation Saint-John Perse à Aix-en-Provence.
1993: De Liberté en Liberté: depuis plus de 30 ans il travaille sur les thèmes de la violence et de l'intolérance. 46 œuvres seront présentées à Brive et création devant le public avec Jacky Craissac et ses percussions, puis au Musée des Beaux-Arts à Bordeaux avec animations et les écoles.
1993: Exposition à la Bibliothèque de Brest puis à la Médiathèque de Nantes sur le thème des Fables de La Fontaine. Cette exposition internationale se déplacera à Château-Thierry, au Canada, Bénin, Syrie, Jordanie, etc. pendant deux ans.
1994: Se consacre d'une manière importante à l'écriture. Exposition organisée par la S.N.C.F. dans ses locaux Galerie de la Gare de l'Est.
1994: Exposition Galerie 42 à Mougins. À nouveau, séjour en Grèce: Hydra et Athènes.
1995: Découvre et travaille à Chausey. Exposition officielle de l'ensemble de son œuvre sur Nuit et Brouillard de Bordeaux à Paris pour le cinquantenaire de la libération des Camps. Exposition au Liban, et en Syrie. Exposition à Paris chez Erik Schaix.
1996: Depuis quelques années participe à de nombreuses expositions avec les Peintres de la Marine.
1996: Voyage à bord du Latouche-Treville en Atlantique.
1996: Participe à Brest 96. Exposition à la médiathèque Jacques-Demy de Nantes sur le thème "Le Petit Prince".
1997: Jean-Jacques Morvan - Rétrospective de 40 ans d'affiches, Musée de l'affiche, Locronan du 3 avril au 15 juin[14].
1997: Palmyre, Hydra, côtes bretonnes, Erik Schaix, Paris du 4 au 25 juin.
1997: Paysages d'ici et d'ailleurs, Anet, du 7 au .
1997: Ciel de sable, FNAC de Nantes du 16 au 23 juin et Médiathèque Jacques-Demy de Nantes, du 24 juin au 30 août, avec André Villers et Michel Butor.
2000: Jean-Jacques Morvan, peintre officiel de la Marine, Sainte-Marine (Combrit).
2000: Un cri sans voix - Départ et répression dans la peinture de l'artiste français Jean-Jacques Morvan, Musée de la résistance d'Amsterdam, 2000[15].
2001: Jean-Jacques Morvan - Nuit et Brouillard, Théâtre de la Place, Liège (dans le cadre du Festival de Liège), du au [16].
2001: Les peintres officiels de la Marine font escale à l'Assemblée nationale; Assemblée nationale, Paris, du au [17].
2006: Jean-Jacques Morvan - Nuit et brouillard, Centre européen du résistant déporté, site du camp de concentration de Natzweiler-Struthof, du au [18].
2007: Jean-Jacques Morvan, Galerie du siège du Crédit mutuel de Bretagne, Le Relecq-Kerhuon, de février à avril[19],[20].
Réception critique
«Morvan, comme tous les peintres, se sert des brosses, mais il leur préfère l'humble lame de rasoir. Non seulement il l'emploie pour étaler sa pâte, mais pour l'égaliser, pour la traiter. Parvenu au stade final, il a encore recours au rasoir pour applique çà et là de minces glacis transparents. Mprvan préfère se servir de la couleur pure, telle qu'elle sort du tube. L'emploi de la lame de rasoir lui permet de jouer avec bonheur des diverses superpositions de pâte. Il enlève une épaisseur par-ci et par-là, ce qui lui laisse paraître des "dessous". Ses savants grattages donnent à la matière de ses œuvres une saveur bien particulière.» - Agnès Humbert[21]
«Lentement, durement, Morvan a découvert qu'il avait "les mêmes faims que le soleil" et il s'est mis à explorer les "marches" de son univers d'homme, pour mieux comprendre, pour mieux aimer, dire sa joie. Le petit-fils de marin a repris la mer. Il s'est confié à la vague, au feu, il a rêvé du couple. Et les plus vieilles forces du monde, les nœuds de la vie lui ont livré beaucoup de leurs secrets. Je vois un parallèle symbolique entre la tentative de Jean-Jacques Morvan de revenir aux sources de la vérité et le phénomène de saturation que traverse actuellement l'art de peindre dans le monde. Je crois que Morvan est un des précurseurs de ce "midi de la conscience" dont parlait Paul Valéry.» - André Parinaud[1]
«Pour un peintre, comme pour un écrivain, la simplicité ne vient qu'avec le métier. Et le métier ne vient qu'avec l'amour. Aimer la pâte, savoir en tirer soi-même des jouissances que rien ne saurait remplacer, c'est cela être peintre. Morvan le sait, mais il sait aussi que le métier de peintre est une longue souffrance qui conduit au bonheur.» - Bernard Clavel[22]
«C'est au contact des éléments naturels qu'il approfondira l'essence de son inspiration. Abandonnant la rigueur constructive qui fut longtemps à la base de son travail, il a opté pour un style plus libre, à la limite parfois de l'informel, continuant d'évoquer, avec le même bonheur, la mer, les vagues et le feu, jouant de toutes les ressources d'une très riche palette. Bien que fort sensuelle, sa peinture obéit à un besoin profond de connaissance à travers l'expérimentation même de la matière et des moyens de la dominer.» - Le Robert, Dictionnaire universel de la peinture, tome 5, page 51
«Des impressions de peintre-poète, une manière inattendue d'affronter le spectacle toujours recommencé de la mer au bord de laquelle il vit, en Bretagne le plus souvent: à l'écart des modes qui se démodent, Morvan édifie une œuvre singulière relativement méconnue du grand public mais fort appréciée des milieux littéraires.» - Gérald Schurr[11]
«Jean-Jacques Morvan peint les sensations qui éveillent en lui le monde marin, la mer, le rivage. Chacune de ses créations respire l'air du large et le souffle iodé de l'océan, sur le front palpitant de la langue de sable... Ainsi le rivage n'est ni totalement la terre, ni encore la mer. Il est le confluent où les éléments se confondent, en même temps que l'eau est un trait d'union entre la vie et ses origines. Parfois, ce peintre ajoute des matériaux marins à la peinture. Non seulement l'univers de la mer est l'âme du tableau, mais elle en prend possession physiquement.» - Patrick-F. Barrer[23]
«Ses premières œuvres montrent une robuste figuration traitée par larges touches de couleurs vives; vers 1963, il incline vers une peinture allusive, un paysagisme qui effleure l'abstraction, vers un art de méditation qui doit beaucoup à Jacques Villon et Bonnard dans le style clair et constructif des espaces colorés et diaphanes des interprétations de la nature.» - Gérald Schurr[24]
«Sa peinture reflète plus que jamais la joie de vivre. Sensible, elle cherche à traduire l'apparence toute relative de la nature sous les effets lumineux propres à chaque région et aux différents moments de la journée. Les harmonies se font plus violentes et chaudes (rouges, oranges, jaunes) dans ses paysages méditerranéens, alors qu"elles sont assourdies et diffuses pour chanter les sites bretons. Dans les deux cas, les compositions s'imposent avec plénitude en larges plans horizontaux qui se superposent à partir de touches rectangulaires. Tout en ordonnant ses sensations, Morvan poursuit dans la voie du lyrisme.» - Lydia Harambourg[4]
Collections publiques
France
Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France, Marée basse, lithographie originale, Éditions Bellini, 1978[13]
Musée national d'art moderne, Paris
Musée d'art moderne de la ville de Paris
Musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon
Centre national Jean-Moulin de Bordeaux, Nuit et brouillard, suite de près de 70 peintures, sculptures, fusains, gouaches, encres de Chine, médaille
Musée des beaux-arts de Brest, Grève bretonne, huile sur toile, 40,4 x 80,4 cm[25]
Musée Rimbaud, Charleville-Mézières, Poésies: vers nouveaux et chansons d'Arthur Rimbaud, ouvrage enrichi de lithographies originales de Jean-Jacques Morvan, Société des bibliophiles de l'Est, 1963
Maison de la Culture du Havre.
Musée Cantini, Marseille, Le bar à El Arena, huile sur toile, 1958[3]
Président du Groupe Monolithe - L'Art et la Cité, 1978
Grand prix Sandoz, 1980
Secrétaire général du Salon de la Marine, 1980. Secrétaire général des peintres officiels de la Marine de 1980 à 1984
Membre du Jury du Salon de la Marine, 1994
Membre du Jury et exposant à la Biennale européenne du grand prix de peinture de l'École supérieure de commerce du Conservatoire national des arts et métiers, 1995
Membre du jury du prix littéraire des administrateurs des Affaires maritimes
Vice-président de l'Association des peintres Officiels de la Marine, 1997
Publications
Écrits
Dans une oreille de mer, texte manuscrit lithographié, imprimé par Éliane Thiollier
A l'ombre de la pluie, poèmes et dessins originaux, éditions Connaître. Genève, 1958
Recueil de dessins, 43 × 34 cm. Tiré à 80 exemplaires. Tous signés. Éditions Georges Fall. Paris, 1959
Novy, poèmes et dessins à la gouache, édité par l'auteur. 196
Dessins 1960-1961, recueil de 50 dessins imprimés par Michel Brient. 44 x 33cm
À propos de...Jacques Villon, Delacroix, l'école de Paris, éditions Découvertes. Annemasse 1984
Les couleurs du verbe être, texte enrichi de trois lithographies originales par l'auteur. Tirage de 50 exemplaires numérotés, Éditions Découvertes. Annemasse, 1964
Morvan 51-57, 20 ans de peinture: Le temps d'un arbre, le temps d'un homme
Les Amours jaunes, poèmes de Tristan Corbière, cent trente-six lithographies originales, 135 exemplaires numérotés, éditions Main Pierre, Paris, 1976
L'Innominé, poèmes d'Hélène Cadou, éditions Jacques Bremond 1980
Anima 5 en cendres, poèmes, éditions Jacques Bremond 1982
Styles de..., texte de Jean Chaumely, éditions Ciment Lafarge, de 1975 à 1983. A participé aux différents volumes de la collection Styles: Provence, Normandie, Bretagne, Languedoc, Pays de Loire, Paris, Montagne.
La Longue Lettre de Vancouver, poèmes de Robert Piccamiglio, éditions Jacques Brémond, 1986
Au partage des eaux, texte de Jacques Brémond, Les Éditions du Noroît et La Bartavalle, 1987
Carrière au théâtre
Comédien
Rimbaud dans La Saison en enfer, prix d'Avant-Garde au concours des Jeunes Compagnies, 1948
Le Roman de la rose
François Villon
L'Arbre de la liberté, mise en scène de Roger Blin
Roméo et Juliette
1954: Édouard II de Christopher Marlowe, mise en scène Roger Planchon, Théâtre de la Comédie Lyon
Scénariste
Les Nuits décousues, série d'émissions poétiques pour la Chaîne Nationale 1952-1957. Il en écrit les textes et montage. Les enregistre comme comédien avec Roger Blin, Catherine Sauvage, François Chaumette.
Dansons la capucine, évocation radiophonique de l'histoire du Premier mai. Dramatique d'une heure trente
Deux silex pour un amour armé, spectacle total 1961
Terre espagnole, montage poétique interprété par Catherine Sauvage, Herrera Peterré, Roger Blin, mis en scène par ce dernier. Douvaine 1959
Nègres, nègres, montage poétique interprété par Catherine Sauvage, Roger Blin, Toto Bissainthe, Mathilde de Beauvoir, la troupe des Griots. Mis en scène par Roger Blin. Douvaine, 1959
L'homme qui venait du froid, évocation dramatique en 5 actes de la vie de Van Gogh en Provence. Festival d'Arles, 1965
Le Temps d'une vague, le temps d'un arbre, montage poèmes et chansons, protections, œuvres peintes. Avec Catherine Sauvage. Maison de la Culture. Rennes, 1970
Les Couleurs du verbe être, montage. Maison de la Culture. Orléans 1970 À l'occasion des «20 ans de peinture» au musée des beaux-arts d'Orléans.
Les Couleurs du verbe être, film en 16 mm, en couleur Une version longue de 50 minutes pour les expositions. Une version courte de 13 minutes pour les télévisions française et suisse (en collaboration avec Guy de Belleval, texte dit par Catherine Sauvage, production Eurocitel, Paris, 1970.
Références
André Parinaud, «Morvan», Dictionnaire des artistes contemporains, Les libraires associés, 1964.
«Morvan - Vingt ans de peinture», La Galerie - Arts, lettres, spectacles, modernité, n°119, novembre 1971, page 74.
«Les expositions à voir à Paris: Morvan: entre ciel et terre», Connaissance des arts, n°76, juin 1958, page 111.
Jean Bouret, «Gouaches et monotypes», Les Lettres françaises, 17 novembre 1960.
«Jean-Jacques Morvan - Exposition à Morlaix», article publé dans Le Peintre - l'officiel des peintres et graveurs - guide du collectionneur, bimensuel, no228, juillet 1961.
Gérald Schurr, «Les expositions en province», La Gazette de l'Hôtel Drouot, no24, 16 juin 1989, page 107.
French Art now - Salon France America, catalogue d'exposition, Association pour la promotion du patrimoine artistique français, Évry / International Association for contemporary art, Chicago, 1991, p.246.
Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz, estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992, page 296.
Agnès Humbert, Jean-Jacques Morvan, Éditions René Kistler, 1961.
Bernard Clavel, «Jean-Jacques Morvan», Les Cahiers de l'Iroise, 1970.
Patrick-F. Barrer, L'Histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Éditions Arts et Images du monde, 1992.
Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les éditions de l'amateur, 1993.
Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes: [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80p.
Agnès Humbert (texte) et Guy de Belleval (photos), Jean-Jacques Morvan, coll.«Peintres contemporains», Éditions René Kistler, Genève, 1961
Jean-Jacques Morvan - Dessins 1960-1961, 320 exemplaires numérotés illustrés de cinquante dessins, Éditions Michel Brient, Paris, 1962
Renée Moutard-Uldry, «Jean-Jacques Morvan», Les cahiers d'arts-documents no188, Éditions Pierre Cailler, 1963
Jean-Jacques Morvan, Jean-Jacques Morvan, Imprimerie des Voirons, Annemasse, 1963
André Parinaud, David Ojalvo, Jacques Prévert, Roger Le Brun, Jean Chaumely et Jean Bouret, Jean-Jacques Morvan - Dix ans de peinture, 1951-1961, Éditions du Musée de Morlaix, 1964
André Parinaud, « Morvan », Dictionnaire des artistes contemporains, Éditions Libraires associés, Paris, 1964
Jean Chaumely, «Huit affiches de Jean-Jacques Morvan», dans la revue Arts et techniques graphiques, no80, 1971, pages 39–57
Jean-Jacques Morvan, Éditions du Musée des beaux-arts d'Orléans, 1971
«Jean-Jacques Morvan» dans la revue Les Cahiers de l'Iroise, no76: Peintres et poètes de Bretagne, octobre-
Sous la direction de Robert Maillard, Dictionnaire universel de la peinture, Le Robert, 1975
Morvan - Mers et océans, Éditions du Musée de Toulon, 1992
Patrick-F. Barrer, L'Histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Éditions Arts et Images du Monde, 1992
Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz - Estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992
Lydia Harambourg, L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et Calendes, 1993
Marie-Anne Pommiès, Jean-Jacques Morvan, de liberté en liberté, Éditions Galerie des beaux-arts, Bordeaux, 1993
Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1993
Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999
Jacques Mousseau, «Nuit et Brouillard de Jean-Jacques Morvan», dans la revue Communication & langages, no120, 2e trimestre 1999
Nuit et Brouillard - Jean Jacques Morvan, Somogy éditions d'art, 1999
Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001
Mark Taylor-Batty, Roger Blin - Collaborations and methodologies, Éditions Peter Lang, Berne, 2007
Éric Mercier, Années 50 - La Jeune Peinture, tome I: L'Alternance figurative, tome II: Panorama de la Jeune Peinture, ArtAcatos Éditions, 2010
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии