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Olivier Debré, né le à Paris où il est mort le [1], est un peintre français, représentant majeur de l’abstraction lyrique.

Olivier Debré
Olivier Debré en 1995.
Biographie
Naissance

7e arrondissement de Paris
Décès
(à 79 ans)
10e arrondissement de Paris
Nom de naissance
Olivier Philippe Debré
Nationalité
française
Formation
Beaux-Arts de Paris
Activité
peintre
Père
Robert Debré
Mère
Jeanne Debat-Ponsan
Fratrie
Michel Debré
Enfant
Patrice Debré
Parentèle
Bernard Debré (neveu)
Jean-Louis Debré (neveu)
Autres informations
A travaillé pour
École des beaux-arts de Paris
Mouvement
abstraction lyrique, seconde École de Paris
Maître
Le Corbusier
Distinctions
membre de l'Académie des beaux-arts (1999)

Il est le fils du professeur Robert Debré, le frère de Michel Debré, le père de Patrice Debré et Sylvie Debré-Huerre, et l'oncle de Bernard Debré et de Jean-Louis Debré.


Biographie


Lycée Montaigne (Paris).
Lycée Montaigne (Paris).
Robert Debré.
Robert Debré.
Jeanne Debat-Ponsan.
Jeanne Debat-Ponsan.

Formation


Troisième enfant de Robert Debré et de Jeanne Debat-Ponsan (fille du peintre Édouard Debat-Ponsan), le jeune Olivier est un bon élève au lycée Montaigne à Paris[2].

Il passe ses vacances à Nazelles dans la propriété de son grand-père maternel, Édouard Debat-Ponsan, puis, à partir de 1933, dans le domaine Les Madères acquis par son père à Vernou-sur-Brenne, dont il hérite avec sa sœur en 1978 et où il a installé depuis lors un de ses ateliers.

Après avoir passé la seconde partie de son baccalauréat de philosophie, il s'inscrit en 1937 pour des études d'architecture à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de son oncle Jacques Debat-Ponsan, et s'inscrit à la Sorbonne pour une licence d'histoire qu'il obtient en 1942. Il fréquente l'atelier de Le Corbusier[3].


Premières œuvres


En juin 1937, il subit un choc en voyant, exposé au pavillon de l’Espagne de l’Exposition internationale à Paris, le Guernica de Pablo Picasso. Georges Aubry, dont la galerie est située rue de Seine à Paris, l'encourage en l'exposant le premier. Il est remarqué par Dunoyer de Segonzac et Picasso[4] qu'il rencontrera en 1941, ce dernier l’invitant à son atelier 7, rue des Grands-Augustins pendant l’hiver 1942-1943. C'est à cette époque que Georges Aubry expose ses premières toiles abstraites.

Entre 1940 et 1943, il rejoint son père et son frère dans la résistance des maquis[5]. En 1944, il épouse Denise Coulon, qui est l'arrière-petite-fille d'Eugène Scribe et la petite-nièce de Camille Pelletan, avec qui il aura deux enfants, Patrice et Sylvie. Il peindra dans la propriété familiale de sa femme à Saint-Georges-de-Didonne ainsi que sur le port de Royan jusqu'à sa mort. Durant la Seconde Guerre mondiale, son art est marqué par l'expression graphique. Le dessin lui permet de traduire toute l'horreur de la guerre : Le Mort de Dachau, Le Sourire sadique du Nazi, Le Mort et son âme. En 1946, il installe un atelier à Cachan, il y peint une toile de m de long : La Vérité et la Justice poursuivant le crime. Il rencontre André Lanskoy.

En 1949, il présente sa première exposition personnelle à la galerie Bing, à Paris, marchand de Chaïm Soutine et de Modigliani. À l'automne, Olivier Debré installe un second atelier au 11, rue de Saint-Simon à Paris. Il est invité pour la première fois au Salon d'automne auquel il est resté fidèle. C'est à cette époque qu'il fait la connaissance de ses grands aînés, les peintres abstraits Hans Hartung, Gérard Schneider, Serge Poliakoff, Maria Helena Vieira da Silva. Il réalise ses premiers Signes-personnages[4],[6].


Le temps du succès


Autour de 1950, il privilégie la matière et les couleurs sourdes. Olivier Debré expose à New York à la Perspective gallery. Il est invité au Salon de mai auquel il participera jusqu'à sa mort. En 1951 la librairie-galerie la Hune présente pour la première fois les gravures d'Olivier Debré. L'année suivante, il participe à son premier Salon d'Octobre qui regroupe les peintres les plus significatifs de l'art non figuratif et abstrait. Il y côtoie Geneviève Asse, Claude Bellegarde, Francis Bott, Jean Degottex, Pierre Dmitrienko, Jacques Doucet, Jacques Germain, Charles Lapicque, Jean Messagier, Kumi Sugaï, Zao Wou-Ki, parmi d'autres. 1953 correspond à une période charnière dans l'œuvre d'Olivier Debré qui délaisse les signes-personnages pour les signes-paysages qui sont alors, restitue Pierre Cabanne, « lieu de rencontre de ses sensations directement ressenties sur la nature et d'une pensée tendue vers la pleine et exacte connaissance »[7]. C'est à cette époque qu'il prend conscience des possibilités multiples offertes par la technique de la lithographie qu'il n'a jamais cessé de pratiquer[4]. Il participe pour la première fois en 1954 au salon Comparaisons. En 1956, Michel Warren organise sa première exposition individuelle à Paris. L'année suivante, la seconde exposition chez Michel Warren le fait figurer « désormais en bonne place parmi les chefs de file de l'École de Paris », écrit John Prossot dans Apollo dont la couverture reproduit le tableau exposé. Après un voyage en Espagne, il expose, en 1959, à la Phillips Gallery à Washington. Il rencontre Franz Kline, Mark Rothko et Jules Olitski[8]. En mai, première exposition personnelle à la Knoedler Gallery aux États-Unis, avec une préface de Pierre Courthion. Il participe à Peintres d'aujourd'hui au Palazzo delle Arti à Turin.

Au tournant des années 1960, il revient au paysage, sa peinture est plus fluide avec des ponctuations de concrétions épaisses qui délimitent et créent l'espace. Il qualifie alors sa peinture d’abstraction fervente car elle symbolise l'émotion ressentie devant le paysage. En 1960, il expose à la galerie Knoedler à Paris. La presse se fait l'écho de cet événement[4]. Durant l'été, il séjourne en Vénétie avec sa famille[4]. L'année suivante, il effectue un nouveau voyage en Espagne avec son fils Patrice. En 1962, il voyage en Grèce avec sa famille. À l'automne, une exposition de ses œuvres a lieu au musée de l'Athénée à Genève. Il participe pour la première fois au Salon Grands et Jeunes d'aujourd'hui à Paris. Il expose un bahut en bois sculpté posé sur un socle de métal à l'exposition « Antagonismes 2-L'objet » au musée des arts décoratifs à Paris.

En 1963, double exposition à la galerie Knoedler à Paris puis à New York. C'est le poète Francis Ponge qui écrit le texte pour les deux catalogues, dont Pour Olivier Debré[9]. La presse se fait largement l'écho de cet événement en France comme aux États-Unis ; à cette occasion, Olivier Debré retourne à New York où il rencontre Mark Rothko pour la seconde fois.


La consécration internationale


Le temps de la maturité correspond aux grandes réalisations pour des commandes et à la reconnaissance internationale. Ainsi, 1965 marque la réalisation de grandes toiles de 1,8 × 8,8 m et 1,8 × 15 m pour le lycée Cordouan de Royan. Il participe à de nombreuses expositions itinérantes en Amérique latine et en Europe de l'Est. La première exposition personnelle d'Olivier Debré à Oslo se tient à la galerie Haaken A.Christensen en 1966. Il voyagera et peindra en Norvège jusqu'à la fin de sa vie. Une exposition rétrospective qui se tient au musée du Havre est abondamment relayée dans la presse. Une exposition a lieu à Francfort, à la galerie Appel und Fertsch[4].

À partir de 1967, Olivier Debré participe à de nombreuses expositions collectives et personnelles ; il figure à l'exposition internationale de Montréal « Expo 67 ». Il réalise une gigantesque peinture de 5 × 2,5 m, Signe d'homme, pour le pavillon français. C'est l'époque où paraît la première monographie consacrée au peintre par Pierre Courthion. Olivier Debré reçoit plusieurs commandes pour des établissements d'enseignement, lycées et facultés. En 1970, il réalise sa première exposition au Japon, à la Nippon Gallery à Tokyo. Daniel Abadie présente sept de ses grandes toiles au Prieuré de Vivoin et signe la préface du catalogue[4]. Olivier Debré participe en 1971 au concours d'architecture pour le Centre Georges-Pompidou en présentant deux projets. Il continue à recevoir de nombreuses commandes et à faire des expositions personnelles. Ainsi, une rétrospective de ses œuvres a lieu au musée d'art et d'industrie et à la maison de la culture et des loisirs de Saint-Étienne, exposition reprise en partie au musée Picasso à Antibes. En 1975-1976, il fait partie, avec Pierre Alechinsky, Hans Hartung, François Heaulmé, Roberto Matta, Zoran Mušič, Edouard Pignon et Pierre Soulages, de l'exposition itinérante en France Trente créateurs organisée par André Parinaud.

De 1980 à 1985, Olivier Debré le chef d'atelier de peinture murale à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris[10]. Il réalise une céramique pour le mur extérieur de l'hôtel Nikko à Paris. De nombreuses expositions personnelles lui sont consacrées en France et à l'étranger, à Washington, au Danemark, à Houston. Il crée les décors et costumes de la pièce Racines pour le festival d'Avignon. Une rétrospective a lieu dans les musées d'Orléans et de Metz en 1985-86. Plusieurs expositions personnelles se tiennent à l'étranger, à Dakar, à Stockholm, à Genève, à Luxembourg. Olivier Debré accorde une importante donation de 170 estampes à la Bibliothèque nationale de France, et réalise le rideau de scène et de fer de la Comédie-Française, qui est inauguré en 1987 par le ministre de la culture, François Léotard et par Jean Le Poulain. Deux ans plus tard, on inaugure le rideau de l'Opéra de Hong Kong commandé par la fondation Louis-Vuitton pour la création. Ses dessins d'après-guerre sont exposés au musée d'Art et d'Histoire de Saint-Denis en 1990, avec une préface de Bernard Noël. L'année suivante, le peintre reçoit une commande de la Régie immobilière de la ville de Paris, par l'intermédiaire de son directeur, Michel Lombardini, pour un immeuble d'ateliers d'artistes et de logements dans le 13e arrondissement de Paris, 54 rue Albert, inauguré en 1993. Olivier Debré gagne le concours pour la construction, à Compiègne, de l'église Notre-Dame de la Source[11].

Obélisque en hommage à Charles de Gaulle, Montréal.
Obélisque en hommage à Charles de Gaulle, Montréal.

La consécration du peintre est également marquée par l'inauguration d'une salle Olivier Debré au musée des beaux-arts de Tours en 1992. Dans le parc Lafontaine à Montréal, est inauguré par Jacques Chirac le Mémorial du général de Gaulle commandé à Olivier Debré par le maire de Paris et offert à la ville de Montréal pour le 350e anniversaire de la cité québécoise. On inaugure également cette année-là le mur extérieur de la Villa Kujoyama à Kyoto, et l'année suivante, la céramique destinée au temple Daikakuji à Kyoto. L'année 1994 voit l'inauguration de quatre sculptures en acier pour l'entrée du tunnel sous la Manche. Le peintre réalise des fontaines pour les Autoroutes du Sud de la France.


Les dernières années


Une rétrospective des œuvres d'Olivier Debré a lieu en 1995 à la galerie nationale du Jeu de Paume à Paris, Daniel Abadie étant le commissaire et directeur[12]. À cette occasion, il décore vingt vases en porcelaine de Sèvres en collaboration avec la manufacture nationale de Sèvres en une série de pièces uniques qui sera vendue par le musée et la Manufacture. La rétrospective est présentée dans de nombreux pays. Le peintre réalise les vitraux pour la chapelle Saint-Maudé de La Croix-Helléan dans le Morbihan. En 1996 a lieu à Paris l'inauguration théâtre des Abbesses, œuvre de l'architecte Vandehove, où Olivier Debré réalise le rideau et les toiles tendues des galeries des balcons latéraux. L'année suivante, c'est la première à l'Opéra Bastille du spectacle Signes avec les décors et les costumes d'Olivier Debré, spectacle dans lequel Carolyn Carlson a signé la chorégraphie. Ce ballet est inscrit dans le répertoire de l'Opéra et est repris régulièrement. Enfin, en 1998, Olivier Debré réalise le rideau de scène de l'Opéra de Shanghai.

Le 17 mars 1999, quelques mois avant sa mort en juin, Olivier Debré est élu membre de l'Institut de France, à l'Académie des beaux-arts, au fauteuil précédemment occupé par le peintre Georges Cheyssial[4]. À son décès[13],[14],[15], un hommage lui est rendu le 5 juin devant son atelier des Madères à Vernou-sur-Brenne et le 9 juin à la Comédie-Française. Il repose au cimetière de Nazelles[4]. Son épouse, Denise Debré, est décédée le 12 septembre 2013 à 90 ans.


L'art d'Olivier Debré


Abstraite et solidement construite dans les années 1940-1950, sa peinture a évolué à partir des années 1960 vers une spatialité qui renvoie à la liberté et à l'impermanence de la nature. Grand coloriste, son intervention sur l'espace pictural exalte la couleur. Dans les années 1970, sa peinture atteint un équilibre formel dans une suite de toiles d’un format carré[4].

Olivier Debré a parfois peint de très grandes toiles en faisant glisser une sorte de pinceau-balai sur la toile au sol, peignant toujours dehors, quel que soit le temps. Il a dessiné également un timbre-poste, des vitraux, peint plusieurs rideaux de scène, pour la Comédie-Française, pour l'Opéra de Hong Kong et le nouvel Opéra de Shanghai en Chine, ainsi que les fresques murales du Théâtre des Abbesses à Paris, ce qui ne se fit pas sans remous avec le directeur Gérard Violette[16].

Il a aussi été sculpteur et illustrateur, entre autres des livres de Michel Déon, Francis Ponge, Edmond Jabès et Julien Gracq. Il a publié quelques essais artistiques, notamment pour donner sa vision de l'évolution des formes, et proposé une nouvelle architecture adaptée à la ville contemporaine.

« Une peinture, aussi éloignée soit-elle de ce qu'il est convenu d'appeler la représentation du monde, en reste une image… Toute chose qui est participe du monde, y compris mon émotion. Les peintres qui se croient de purs lyriques décrivent le paysage de leur émotion… L'important reste l'intensité du sentiment et non le sujet, fût-il la description même de l'émotion. »

 Olivier Debré[17]


Expositions



Expositions personnelles


Palais Galliera, Paris.
Palais Galliera, Paris.
Musée des Beaux-Arts de Brest.
Musée des Beaux-Arts de Brest.
Théâtre Louis-XIV de la place Crillon, Avignon.
Théâtre Louis-XIV de la place Crillon, Avignon.
Château des ducs de Wurtemberg, Montbéliard.
Château des ducs de Wurtemberg, Montbéliard.
Musée national de Chine, Pékin.
Musée national de Chine, Pékin.
Château de Chenonceau, Chenonceaux.
Château de Chenonceau, Chenonceaux.
Château d'Annecy.
Château d'Annecy.

Expositions collectives



Réception critique



Le peintre


Bernard Noël
Bernard Noël

Le graveur



Conservation



Belgique



Brésil



Canada



Danemark



États-Unis



France


Centre de création contemporaine Olivier Debré, Tours.
Centre de création contemporaine Olivier Debré, Tours.

Un centre d'art au nom d'Olivier Debré

En 2015, le CCC - centre de création contemporaine de Tours est devenu le Centre de création contemporaine Olivier Debré. Il s'implante en 2016 dans un nouveau bâtiment construit sur le site du jardin François Ier[64]. Le lieu n'est pas un musée consacré à Olivier Debré mais un centre d'art[65] qui fera vivre l’œuvre du peintre en la mettant en résonance avec la création artistique contemporaine[66].

Le bâtiment, imaginé par l'agence d'architecture portugaise Aires Mateus, à la suite d'un concours international organisé par Tours Métropole Val de Loire, est inauguré le 10 mars 2017 avec l'exposition Un voyage en Norvège[42], en présence du président de la République François Hollande[67] et de Sa Majesté la reine Sonja de Norvège[64].


Autres

Collégiale Notre-Dame de Lamballe.
Collégiale Notre-Dame de Lamballe.

Inde



Israël



Italie



Jordanie


Galerie nationale des Beaux-Arts de Jordanie (en), Amman.
Galerie nationale des Beaux-Arts de Jordanie (en), Amman.

Luxembourg



Norvège


Musée d'Art contemporain Astrup-Fearnley.
Musée d'Art contemporain Astrup-Fearnley.
Musée national de Cardiff.
Musée national de Cardiff.

Pays-Bas



Royaume-Uni



Suisse



Taïwan



Autres œuvres



Espaces publics


Station « Les Arènes », métro de Toulouse.
Station « Les Arènes », métro de Toulouse.
Chapelle des Pénitents blancs, Avignon.
Chapelle des Pénitents blancs, Avignon.

Contributions scéniques



Collections privées



Contributions bibliophiliques


James Sacré.
James Sacré.
Edmond Jabès.
Edmond Jabès.
Michel Butor.
Michel Butor.
Mathieu Bénézet.
Mathieu Bénézet.
Michel Déon.
Michel Déon.

Écrits



Hommages



Prix



Philatélie



Voirie



Élèves


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Références


  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Jean Cortot, « Notice sur la vie et les travaux de M. Olivier Debré (1920-1999) », notice lue à l'occasion de son installation comme membre de la section Peinture de l'Académie des Beaux-Arts, 11 décembre 2002.
  3. « Olivier Debré », Le Monde des arts.
  4. Biographie Lydia Harambourg dans Olivier Debré, Éric de Chassey.
  5. Voir sur carcassonne.org.
  6. Dictionnaire de la peinture, article « Olivier Debré », Larousse, 2003 ; lire en ligne.
  7. Pierre Cabanne, L'Art du vingtième siècle, Éditions Aimery Somogy, 1982, p. 200.
  8. Jean-Paul Ameline, commissaire d'exposition, « Olivier Debré », musée national d'art moderne, 2003.
  9. Francis Ponge, Pour Olivier Debré, Paris, galerie Knoedler, 1963, avec deux lithographies sur double page, dont la couverture ; tirage : 33 ex. numérotés.
  10. Institut de France, Académie des Beaux-arts, Notice sur la vie et les travaux de M. Olivier Debré (1920-1999) par M. Jean Cortot lue à l'occasion de son installation comme membre de la Section Peinture séance du 11 décembre 2002 ([PDF] en ligne sur academiedesbeauxarts.fr).
  11. L'Observatoire Caue, L'église Notre-Dame de la Source de Compiègne.
  12. Bernard Heitz, « Le paysage à l'âme. Olivier Debré au Jeu de paume », Télérama no 2371, 21 juin 1995, pp. 59-60.
  13. Philippe Royer, « Décès du peintre Olivier Debré », La Croix, 3 juin 1999
  14. Hervé Gauville, « Olivier Debré ne fera plus sensation - Mort du peintre qui traduisait les émotions que les paysages lui inspiraient », Libération, 3 juin 1999.
  15. Philippe Mathonnet, « Le peintre français Olivier Debré a définitivement tiré le rideau », Le Temps, 3 juin 1999.
  16. « Le Théâtre de la Ville s'étend aux Abbesses. Ouverture à Montmartre d'une autre salle subventionnée par la mairie de Paris » dans Libération du 20 novembre 1996.
  17. Pierre Courthion, « Olivier Debré », Entretiens avec dix-sept peintres non figuratifs, Calmann-Lévy, 1967.
  18. Ariane Lemieux, Olivier Debré - Repères biographiques, Galerie Louis Carré, Paris.
  19. Jacques Busse, « Debré, Olivier », Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.4, pp. 320-322.
  20. Galerie Haaken, Oslo, Olivier Debré.
  21. Lydia Harambourg, L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Ides et Calendes, 1993.
  22. Pierre Mazars, Jean-Marie Dunoyer et Jean Selz, L'année de la peinture, Calmann-Lévy, 1979, pp. 53-54, 148-149, 190-191.
  23. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, p. 226.
  24. Michel Hubin, « L'art ? une indispensable impression - Olivier Debré aux cimaises du Musée Saint-Georges »., Le Soir, 25 juin 1996
  25. Hervé Gauville, « Olivier Debré, bien dans le cadre », Libération, 8 juillet 2003
  26. Astrid Desmousseaux, « Olivier Debré comme vous ne l'avez jamais vu », Connaissance des arts, 1er juin 2007
  27. Maurice Ulrich, « Vertiges de la beauté - Olivier Debré au Musée des Beaux-Arts d'Angers », L'Humanité, 23 juin 2007
  28. Musée de Millau et des Grands Causses, Olivier Debré - Voyages, présentation de l'exposition, 2007
  29. « Coulée bleu pâle d'Olivier Debré à Roanne », Loire Magazine, n°65, septembre-octobre 2007.
  30. Musée de Pont-Aven, La poétique de l'eau, communiqué de presse
  31. Sabine Gignoux, « Olivier Debré - La peinture-fleuve. Paysages de Loire. Musée des Beaux-Arts d'Orléans », La Croix, 21 février 2008
  32. Élisabeth Petitbon, « Paysages de Loire au Musée des Beaux-Arts d'Orléans »; Expo Revue, mars 2008
  33. Château de Chenonceau, Olivier Debré, peintre voyageur, de la Touraine au Monde, présentation de l'exposition, 2018
  34. Olivier Debré - Signes personnages, dossier de presse, Lieu d'art et action contemporaine de Dunkerque, 2009
  35. « Exposition Olivier Debré, de Loire et d'ailleurs », Sortir ici et ailleurs, mars 2009
  36. « Disciple de Picasso, Debré s'affiche à la Cohue », Ouest-France, 7 juin 2010
  37. « « L'abstraction lumineuse d'Olivier Debré au Musée des Beaux-Arts La Cohue de Vannes », 2010 », sur France-TV Info,
  38. Isabelle Mandraud, « Olivier Debré à Alger, ou la première grande exposition d'un peintre français à Alger depuis l'indépendance », Le Monde, 24 mai 2010
  39. « Algérie : le peintre français Olivier Debré expose dans un musée d'Alger », AFP, 26 mai 2010
  40. Sandra Ktourza, « Olivier Debré exposé à Carcassonne cet été », Vous Nous Ils, 22 juillet 2013
  41. Maison des arts de Châtillon, Olivier Debré - Cinquante ans d'estampes, présentation de l'exposition, 2014
  42. Marine Rochard, CCCOD - Exposition inaugurale - Un voyage en Norvège d'Olivier Debré, Centre national des arts plastiques, 2017.
  43. Olivier Debré, Norge - Un voyage en Norvège, fac-similé d'un carnet de voyage de 1971, Les Presses du réel, 2018
  44. Arnaud Moreau, Grégoire Grichois, Jean-Christophe Chesnay et Céline Girardeau, Olivier Debré, le peintre norvégien attaché à la Touraine, reportage (source : YouTube ; durée : 12'39")
  45. Marie Maertens, « Les carnets inédits d'Olivier Debré à la Galerie AB », Connaissance des arts, 18 septembre 2018
  46. « Olivier Debré : cabinet de curiosités au château d'Annecy », Move On, 2 mars 2019
  47. « Olivier Debré au CCCOD : par ici les Monet, disent-ils », Entrée du public, 2019.
  48. « Au CCCOD de Tours, l'exposition des Nymphéas d'Olivier Debré », La Nouvelle République, 4 septembre 2019.
  49. Farah Pahlavi, Mehrdad Pahlbod et Édouard Georges Mac-Avoy (préface et avant-propos), Première exposition internationale des arts de Téhéran, catalogue d'exposition, 1974
  50. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz - Estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992, p. 133.
  51. Musée du Luxembourg, L'envolée lyrique - Paris, 1945-1956, présentation de l'exposition, 2006
  52. Musée d'art moderne André-Malraux, Gestes, signes, traces, espaces - Figures de la peinture moderne française, présentation de l'exposition, 2007
  53. Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, Montparnasse, Saint-Germain-des-Prés - Abstractions d'après-guerre, présentation de l'exposition, 2012
  54. Paris Art, Collectionner, le désir inachevé, présentation de l'exposition, 2017
  55. Galerie Bernard Trocmez, Divergences abstraites, présentation de l'exposition, 2018
  56. Parc de la Boverie, Liège. Chefs-d'œuvre, présentation de l'exposition, 2018
  57. FRAC Île-de-France, Œuvres de la collection, présentation de l'exposition, 2019
  58. « Saint-Pierre-des-Corps : l'œuvre d'Olivier Debré confrontée par quatre artistes tourangeaux », La Nouvelle République, 26 janvier 2020
  59. Julien Alvard, Pierre Courthion et Francis Ponge, Olivier Debré, Éditions du Musée Galliera, 1968.
  60. Gérard Xuriguera, Regard sur la peinture contemporaine - La création picturale de 1945 à nos jours, Arted, 1983, p. 37.
  61. Bernard Noël, « Matière d'espace » (préface), Le rideau de la Comédie-Française, entretiens d'Olivier Debré avec Jean-Yves Bosseur et Michel Archimbaud, Librairie Séguier/ Garamont-Archimbaud, 1987, p. 9.
  62. Pierre Cabanne, Debré, Cercle d'art, 1991.
  63. « Debré, Olivier », sur Collections | MNBAQ (consulté le )
  64. Marie-Émilie Fourneaux, « La Reine Sonja de Norvège inaugure le Centre de création contemporaine Olivier Debré », Point de vue, 17 mars 2017.
  65. Élodie de Dreux-Brézé, « Tours inaugure son nouveau CCC Olivier Debré », Connaissance des arts, 17 mars 2017
  66. Éloïse Bruzat, « Ouverture du CCCOD de Tours », France-3 Centre Val-de-Loire, 11 mars 2017 (source : YouTube ; durée : 26 min 2 sec).
  67. Palais de l'Élysée, Déclaration de Monsieur François Hollande, président de la République, sur l'inauguration du Centre de création contemporaine Olivier Debré à Tours, 10 mars 2017.
  68. « Un tableau d'Olivier Debré, oublié au collège d'Audruicq, retrouve une place digne de son rang », La Voix du Nord, 24 septembre 2014
  69. « Hôtel de ville de Boulogne-Billancourt, l'intérieur », Petit patrimoine, 12 avril 2013
  70. Musée Bertrand, présentation des collections
  71. Patrimoine région Centre, ville de Chinon, Olivier Debré
  72. Jean-Louis Mazières, "Bleu le soir à Royan", musée de Grenoble
  73. Ville de Lamballe, Les vitraux de la collégiale
  74. Musée des Beaux-Arts de Nantes, Olivier Debré dans les collections
  75. Nadine Labedade, Olivier Debré, FRAC Centre-Val de Loire
  76. École polytechnique, Olivier Debré dans les collections
  77. Assemblée nationale, Olivier Debré dans les collections
  78. Lydia Harambourg, « Olivier Debré, chef de file de la Nouvelle École de Paris, représentant majeur de l'abstraction lyrique », Canal Académie, 13 janvier 2013
  79. Lycée Cordouan de Royan, Olivier Debré dans le patrimoine, septembre 2019
  80. « Saint-Eutrope-de-Born, vitraux abstraits dans l'église du XIe siècle », La Dépêche, 6 août 2014
  81. Cité de la céramique de Sèvres, Olivier Debré dans les collections
  82. Faculté de médecine et de pharmacie de Tours, Olivier Debré dans le patrimoine
  83. Sophie Join-Lambert, « Les œuvres d'Olivier Debré au Musée des Beaux-Arts de Tours », reportage de Cécile Lascève, La Nouvelle République, mai 2011 (source : Dailymotion ; durée : 2'43")
  84. Musée d'Art et d'Archéologie de Valence, Olivier Debré dans les collections
  85. Alexia Fabre, présentation du Musée d'Art contemporain du Val-de-Marne et de ses collections
  86. Musée d'Art contemporain Astrup-Fearnley, Olivier Debré dans les collections
  87. Bibliothèque royale des Pays-Bas, "Avant-jour" dans les collections
  88. « Portrait : Olivier Debré », émission Soir 3, 16 septembre 1987 (source : archives INA ; durée : 2'12")
  89. « Olivier Debré - Capter l'immatériel », Fine Arts Selection, 2004.
  90. « "Signes", Opéra Bastille », Sortir à Paris, juillet 2013.
  91. Fonds de dotation Bredin Prat pour l'art contemporain, Olivier Debré dans la collection
  92. Caroline Legrand, « La collection Harel, ou les amitiés artistiques », La Gazette de l'Hôtel Drouot, 17 février 2017
  93. Timbres de France, Olivier Debré.

Voir aussi



Bibliographie



Sur Olivier Debré


Sur la famille Debré


Ouvrages généraux (période, mouvement, etc.)


Dictionnaires, encyclopédies, guides


Filmographie



Radiophonie



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[de] Olivier Debré

Olivier Debré (* 14. April 1920 in Paris, Frankreich; † 1. Juni 1999 ebenda) war ein französischer Maler der Lyrischen Abstraktion, Keramiker, Autor und Hochschullehrer.

[en] Olivier Debré

Olivier Debré (1920–1999) was a French abstract painter.

[es] Olivier Debré

Olivier Debré (París, 14 de abril de 1920 - Ibidem., 2 de junio de 1999) fue un pintor francés, maestro en la francesa École nationale supérieure des beaux-arts.
- [fr] Olivier Debré

[ru] Дебре, Оливье

Оливье́ Дебре́ (фр. Olivier Debré, 14 апреля 1920, Париж — 2 июня 1999, там же) — французский художник-абстракционист.



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