James Abbott McNeill Whistler (/ˈdʒeɪmzˈæbətməkˈniːlˈwɪslɚ[1]) ( – ) est un peintre et graveur américain, lié aux mouvements symboliste et impressionniste.
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James Abbott McNeill Whistler
Autoportrait (vers 1872). Detroit Institute of Arts (Détroit)
membre honoraire de l'académie des beaux-arts de Munich en 1884 et premier président de la Société internationale des sculpteurs, peintres et graveurs en 1898
James Abbott McNeill Whistler est né le à Lowell, dans le Massachusetts, au nord-est des États-Unis. Son père s'appelait George Washington Whistler(en), et sa mère Anna Matilda McNeill.
En 1842, son père, ingénieur, est employé au chemin de fer à Saint-Pétersbourg, dans l'empire russe. Là, le jeune Whistler s'inscrit à l'Académie impériale des beaux-arts et apprend le français. Plus tard, au cours de son procès contre John Ruskin, Whistler revendiquera la Russie comme lieu de naissance: «Je suis né quand et où je veux, et je ne veux pas être né à Lowell», déclarera-t-il. Il conserve néanmoins sa nationalité américaine[2].
Le jeune garçon s'installe à Londres en 1848, mais après la mort de son père en 1849, Whistler et sa mère reviennent à Pomfret, dans le Connecticut. Il entre à l'école locale pour ensuite s'inscrire en 1851 à l'Académie militaire de West Point, où son père avait autrefois appris le dessin et la cartographie. Il échoue à l'examen de chimie, comme il s'est lui-même exprimé plus tard: «Si le silicium avait été un gaz, j'aurais été un jour général.» Il en est renvoyé en 1854.
En 1855, il part étudier la peinture à Paris, après avoir hérité d'une petite somme d'argent. En 1856, il s'inscrit à l'atelier de Charles Gleyre[2], alors atelier le plus célèbre après celui de Thomas Couture, où il côtoie George du Maurier. D'autres élèves préparent le concours d'entrée à l'École des beaux-arts: Monet, Renoir, Sisley et Bazille. Volontiers plus dandy que bohème, il fait l'objet de caricatures. George du Maurier le dépeint dans son roman Trilby (1894) sous les traits de Joe Sibley. Whistler menaça son ancien ami du Maurier de lui faire un procès[3]. Il se lie d'amitié avec Alphonse Legros et Henri Fantin-Latour. Ils décident de faire carrière et fondent la Société des Trois.
En 1859, il arrive à Londres où il passe une longue partie de sa vie. Il se présente comme un aristocrate sudiste ruiné, bien que sa sympathie envers les sudistes pendant la Guerre civile américaine ne soit pas démontrée.
En 1863, Napoléon III fait ouvrir le Salon des Refusés dans un coin du Palais de l'Industrie. Deux tableaux font sensation: Le Déjeuner sur l'herbe de Manet et La Dame en blanc de Whistler, œuvre refusée l'année précédente à la Royal Academy de Londres.
Découvrant Vélasquez et la peinture espagnole introduite au Louvre par Louis-Philippe, il part pour Madrid afin d'admirer l'œuvre du maître, mais le voyage s'interrompt à Guéthary. Cependant, Vélasquez l'influencera dans nombre de portraits comme Arrangement en noir (1884), son Autoportrait en brun et or (1896), ou dans Arrangement noir et or, le comte Robert de Montesquiou (1891-1892, The Frick Collection, New York)[4].
En 1866, Whistler participe à un trafic d'armes au cours de la guerre entre l'Espagne et le Chili[5].
Whistler s'intéresse également à la peinture extrême-orientale et collectionne les porcelaines et les tissus orientaux ou, comme Dante Gabriel Rossetti, les bois gravés servant à imprimer les tissus.
110, rue du Bac, Paris.Plaque au n° 110 rue du Bac (7earrondissement de Paris), où le peintre vit de 1892 à 1901.
En 1870, Whistler peint les portraits en pied de l'armateur anglais Frederick Leyland[6] et de sa femme. Leyland lui a, par la suite, commandé la décoration de sa salle à manger. Le résultat est Harmonie en bleu et or: la chambre du paon(en) (Freer Gallery of Art à Washington)[7]. La pièce est conçue et peinte dans une riche palette de verts-bleus brillants rehaussée à la feuille d'or. Elle est considérée comme un exemple du «style anglo-japonais». La peinture est inspirée de la porcelaine bleue et blanche copiée du catalogue de Monsieur Henry Thompson et des porcelaines que Leyland avait rassemblées. Le travail terminé, l'artiste et le commanditaire se disputent si violemment sur le montant des honoraires réclamés pour ce travail que leur relation s’arrête là. Whistler réussit cependant à pénétrer une nouvelle fois dans la pièce et peint deux paons se battant, cette scène est censée représenter l'artiste et son commanditaire: l'un tient un pinceau et l'autre un sac d'argent…
La pièce entière sera achetée plus tard par l'industriel et esthète Charles Lang Freer(en), qui y installera une collection d'œuvres de Whistler. Les courriers publiés entre Charles Lang Freer et Whistler révèlent l'intérêt de ce dernier à rassembler son travail aux États-Unis.
En 1888, Whistler épouse Beatrix, la veuve d'E. W. Godwin. Les huit ans de leur mariage sont très heureux.
En 1892, il revient avec elle à Paris et s'installe dans l'atelier d'Antonio de La Gandara au 110, rue du Bac pour terminer son portrait en cours du comte Robert de Montesquiou. Pour le remercier, Whistler lui offre un meuble palette identique au sien[8].
Alors qu'il est au sommet de sa carrière, on découvre que sa femme a un cancer. En février 1896, le couple retourne à Londres, logeant à l'Hôtel Savoy. Whistler dessine la Tamise depuis la fenêtre ou depuis le balcon de leur appartement. Trixie décède quelques mois plus tard.
Whistler meurt le et est enterré à l'église St Nicholas dans le quartier de Chiswick, à Londres.
Personnalité
Symphonie en blanc no1 (La Fille en blanc), 1862, National Gallery of Art, Washington.
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Whistler était réputé pour son esprit acéré, particulièrement dans des échanges avec son ami Oscar Wilde. Tous les deux étaient des figures de la société parisienne en cette fin du XIXesiècle.
On raconte que le jeune Oscar Wilde, alors invité à un des dîners de Whistler, son hôte lui fit une remarque brillante, et Wilde aurait répliqué: «Je regrette de ne pas l'avoir dit plus tôt.» Ce à quoi Whistler riposta: «Vous le ferez, Oscar, vous le ferez!»
Quand Oscar Wilde sera publiquement reconnu homosexuel en 1895, Whistler le raillera ouvertement.
En 1878, Whistler poursuit en justice pour diffamation le critique John Ruskin après que celui-ci a condamné sa peinture Nocturne in Black and Gold: The Falling Rocket (1874). Au procès, l'avocat de Ruskin croise Whistler et lui dit: «Combien de temps vous a-t-il fallu pour peindre Nocturne in Black and Gold?, «Une demi-journée», répond Whistler, «Ainsi», continue l'avocat, «vous facturez deux cents guinées le travail d'une demi-journée?», «Non, mais pour l'expérience d'une vie!», répondit Whistler[Passage problématique][9].
Whistler eut une indemnisation symbolique, mais le procès lui avait coûté mille livres, plus les dépenses.
Cette somme, et les dettes énormes contractées pour construire sa résidence, «la Maison Blanche»[10], dans la rue Tite à Chelsea, l'acculent à la faillite. Alors qu'un journal néerlandais annonce sa mort après une crise cardiaque, il écrit au journal, disant que la lecture de sa propre nécrologie l'a incité à «un rougeoiement tendre de santé».
Notoriété
Whistler a été mondialement reconnu de son vivant[11]. En 1884, il est élu membre d'honneur de l'Académie royale des beaux-arts de Munich. En 1892, il est fait officier de la Légion d'honneur en France et il est devenu membre fondateur et premier président de la Société internationale des sculpteurs, peintres et graveurs en 1898[12] (qui en réalité est une association très british et, centrée sur Londres, n'avait d'internationale que le nom).
Il est souvent admis qu'il a été l'un des modèles d'un personnage important d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust: le peintre Elstir[13].
Influence
Gris et Argent - La Plage de Battersea, 1863, Art Institute of Chicago (Chicago).
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Après le procès de Ruskin, tout ce que Whistler mentionne ou écrit sur son travail, et tout particulièrement ce qu'il dit, est fait dans le but avoué de se dissocier de l'école anglaise de peinture, de rompre les relations qu'il a parmi les Académiciens Royaux et les artistes qu'il a connus pendant les années 1860. Malgré ses tentatives pour prouver qu'il n'appartenait à aucune école, il est sans aucun doute l'un des peintres victoriens qui a le plus revitalisé la peinture britannique.
L'influence laissée par Whistler est très significative et est sujet d'expositions de musées et de publications. Un voyage à Venise en 1880 pour réaliser une série de gravures a non seulement renfloué ses finances, mais a aussi stimulé de nouveau le regard que les artistes et les photographes ont porté sur la ville.
Whistler était persuadé que l'art devrait se concentrer sur l'harmonie des couleurs, ce qui lui valut beaucoup de critiques. Il est vu alors comme un précurseur de l'art abstrait. Il aime l'harmonie des formes et des couleurs et souhaite créer un art basé sur des lois précises de composition où le dessin est maîtrisé. Il disait:
«L'Art est la science du Beau.»
Considéré comme le précurseur de l'impressionnisme anglais, il conçoit la peinture comme une pure expérience esthétique au-delà des valeurs de la représentation et se rapprochera de la culture symboliste des années 1880-1890. Ses contemporains comparent ses nocturnes et ses symphonies picturales aux variations subtiles de la musique de Richard Wagner.
La maison dans laquelle il est né est devenue le musée Whistler(en).
Œuvre
Arrangement en gris et noir no1[2] (1871) est le portrait que Whistler fit de sa mère. D'une composition dépouillée, cette peinture, courammnent intitulée la Mère de Whistler, est achetée par le gouvernement français en 1891[2] et est maintenant exposée au Musée d'Orsay à Paris.
La Fille en blanc (1862) soulève une controverse pendant son exposition à Londres et, plus tard, au Salon des Refusés à Paris. Certains voulaient voir Whistler médium ou spirite, d'autres coopté par la Confrérie préraphaélite de Dante Gabriel Rossetti avec lequel il avait des relations d'amitié, alors que pour le peintre ce tableau incarne sa théorie selon laquelle l'art devrait essentiellement être concerné par l'harmonie des couleurs, non par la représentation réelle du monde. Whistler adopte finalement le titre Symphonie en blanc, plus proche de sa démarche. Le modèle qui a posé pour La Fille en blanc, Joanna Hiffernan, a également posé pour Gustave Courbet qui peint la série de portrait Jo, la belle irlandaise durant l'hiver de 1865-1866, peut-être dans son atelier du 18 boulevard Pigalle à Paris. Fin 1866, Whistler quitta sans explication l'Europe pour Valparaiso.
Variations en violet et vert, 1871, musée d'Orsay, Paris: Whistler transpose la technique de l'estampe japonaise pour représenter la Tamise et préfigure l'impressionnisme.
Vue d'une terrasse du Luxembourg, vers 1893, lithographie, 32.1 × 19.5 cm, Brooklyn Museum, Brooklyn.
Estampes: graveur très doué, Whistler a produit nombre de lithographies et des pointes sèches. Ses lithographies, certaines dessinées sur le papier puis lithographiées, d'autres dessinées directement sur la pierre, sont presque aussi nombreuses que ses gravures.
Certaines des lithographies sont des portraits, deux ou trois ont pour sujet la Tamise, tandis que d'autres représentent le Faubourg Saint-Germain à Paris et des églises géorgiennes de Soho et de Bloomsbury à Londres. Les gravures sont des portraits de famille ou de ses maîtresses et des scènes de rue à Londres et à Venise.
Son œuvre est exposée dans de nombreux musées publics en Europe comme aux États-Unis. Rosalind Birnie Philip, une jeune sœur de sa dernière épouse, a donné et légué à la Hunterian Art Gallery de Glasgow un fonds très important de peintures, dessins et documents[14]. La collection Freer, qui a intégré le National Museum of Asian Art de la Smithsonian Institution de Washington[15], est également riche de ses œuvres.
Collections publiques
Liste non exhaustive. Les sources indiquées donnent accès à la visualisation des œuvres. Les lieux sont classés en ordre alphabétique (pays puis villes et noms)
The Giudecca; note in Flesh Colour (1879-1880) pastel (15.9 x 25.4 cm)[16]
Andover, Phillips Academy, Addison Gallery of Acedamic Art
Brown and Silver: Old Battersea Bridge (Brun et argent: le vieux pont de Battersea) (1859-1863) huile sur toile marouflée sur panneau (63.8 cm x 76 cm)[17]
Ann Arbor, University of Michigan Museum of Art
Sea and Rain (1865) huile sur toile (53 x 73.3 cm)[18]
Baltimore, The Walters Art Museum
Portrait of George A. Lucas (1886) huile sur panneau (21.7 x 12.5 cm)[19]
Boston, Isabella Stewart Gardner Museum
Harmony in Blue and Silver: Trouville (1865) huile sur toile (49.5 x 75.5 cm)[20]
Three girls (1870-1875) aquarelle (8.7 x 13.3 cm)[21]
Nocturne, Blue and Silver: Battersea Reach (vers 1872-1876) huile sur toile (39.4 x 62.9 cm)[22]
Boston, Museum of Fine Arts
The Last of Old Westminster (1862) huile sur toile (61 x 78.1 cm)[23]
Harmony in Flesh Colour and Red (vers 1869) huile et crayon de cire sur toile (39.7 x 35.6 cm)[24]
Nocturne in Blue and Silver: The Lagoon, Venice (1879-1880) huile sur toile (50.2 x 65.4 cm)[25]
Street in Old Chelsea (1880-1885) huile sur panneau (13.3 x 22.9 cm)[26]
Little Rose of Lyme Regis (1895) huile sur toile (51.4 x 31.1 cm)[27]
The Master Smith of Lyme Regis (1895) huile sur toile (51.4 x 31.1 cm)[28]
Cambridge (Massachusetts), Harvard Art Museums, Fogg Art Museum
Nocturne in Blue and Silver (vers 1871-1872) huile sur panneau de bois (44.5 x 61 cm)[29]
Miss Maud Franklin (vers 1872-1873) huile sur toile (62.7 x 41 cm)[30]
Harmony in Grey and Peach Colour (1872-1874) huile sur toile (193 x 101 cm)[31]
Nocturne in Grey and Gold: Chelsea Snow (1876) huile sur toile (47 x 62.2 cm)[32]
The Storm-- Sunset (1880) pastel sur papier vélin marron (18.6 x 29 cm)[33]
Sunset; Red and Gold--The Gondolier (1880) pastel sur papier vélin marron (19.2 x 28.5 cm)[34]
Green and Violet: Mrs. Walter Sickert (1893-1894) huile sur toile (86.4 x 62.2 cm)[35]
Violet and Blue: The Red Feather (1896-1900) huile sur toile (50.8 x 31 cm)[36]
Harmony in Blue and Silver: Beaching the Boat, Étretat (vers 1897) huile sur panneau de bois (13.6 x 23.5 cm)[37]
Art Institute of Chicago
Grey and Silver: Old Battersea Reach (1863) huile sur toile (50.8 × 68.6 cm)[38]
Trouville (Grey and Green, the Silver Sea) (1865) huile sur toile (51.5 × 77.2 cm)[39]
The Artist in His Studio (vers 1865-1866) huile sur planche montée sur panneau de bois (62 × 46.5 cm)[40]
Portrait of Dr. William McNeill Whistler (vers 1871-1873) huile sur toile (43.7 × 34.8 cm)[41]
Nocturne: Blue and Gold-Southampton Water (1872) huile sur toile (51 × 76.7 cm)[42]
Study for “Arrangement in Grey and Black, No. 2: Portrait of Thomas Carlyle” (1872-1873) huile sur toile (28.6 × 21 cm)[43]
Corte del Paradiso (1880) pastel et craie noire sur papier vélin marron avec inclusions de fibres (30.1× 14.9 cm)[44]
Violet and Silver - The Deep Sea (1893) huile sur toile (50.2 × 73.3 cm)[46]
Green and Blue: The Dancer (vers 1893) aquarelle et aquarelle opaque avec traces de craie noire sur papier vélin marron couché sur papier cartonné (27.5 × 18.3 cm)[47]
Arrangement in Flesh Color and Brown: Portrait of Arthur Jerome Eddy (1894) huile sur toile (210.7 × 93.3 cm)[48]
Study of a Girl’s Head and Shoulders (1896-1897) huile sur toile (15.5 × 9.5 cm)[49]
Cincinnati Art Museum
Fishing Boats (1879-1880) pastel (29.5 x 20 cm)[50]
Papillons pour l'illustration du Gentle Art of Making Enemies (c. 1890).
Du vivant de Whistler
Whistler a publié deux livres qui ont détaillé ses pensées sur la vie et l'art: Ten O'Clock Lecture (1885), et The Gentle Art of Making Enemies (1890).
Il a été, à son tour, le sujet d'une biographie contemporaine écrite par un ami Joseph Pennell en collaboration avec sa femme Elizabeth Robins Pennell: La Vie de James McNeill Whistler, publiée en 1908.
Études postérieures
Jacques-Émile Blanche, «Whistler», dans Essais et portraits, 1912, repris dans Le Cahier Rouge des Impressionnistes, textes choisis et présentés par Jules Colmart, Grasset, 2019, p. 167-200.
Catalogue de l'exposition James McNeill Whistler, textes de Richard Dorment, Margaret MacDonald, Nicolai Cikovsky Jr, Geneviève Lacambre (Musée d'Orsay, Paris, R.M.N., 1995).
Isabelle Enaud-Lechien, James Whistler, le peintre et le polémiste, 1834-1903, Pchecouleur, ACR éditions, Courbevoie, 1995.
Idem, Whistler et la France, le Musée miniature, Herscher, Paris, 1995.
Edgar Munhall, Whistler et Robert de Montesquiou, Flammarion, Paris, 1995.
Munhall est le curateur de la Frick Collection de New-York, qui détient, entre autres œuvres du peintre, le portrait de Robert de Montesquiou cité plus haut.
Jocelyne Rotily, «Napoléon et moi!» James McNeill Whistler en Corse, 1901, Marseille, ACFA Éditions, 2008.
(en) Robin Spencer, Whistler. A retrospective, Wings Books, New York, 1989.
(en) Hilary Taylor, James McNeill Whistler, New Orchard Éditions, Londres, 1978.
(en) A. McLaren Young, M. Mac Donald, R. Spencer, H. Miles, The paintings of James McNeill Whistler, Londres, New Haven, 1980.
(en) Gabriel P. Weisberg, «Whistler», Print Quarterly, vol. 2, no1, 1985.
(en) Edward Twohig, Print REbels: Haden: Palmer: Whistler and the origins of the RE (Royal Society of Painter-Printmakers), Londres, Royal Society of Painter-Printmakers, , 346p. (ISBN978-1-5272-1775-1).
Filmographie
1995: Edwige Kertes, Whistler, 26 min, RMN
1997: Bean, film où le réalisateur Mel Smith prend pour sujet principal le transfert du célèbre tableau Arrangement en Noir et Gris (ou La Mère de Whistler).
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