Jean-Pierre Pophillat est un peintre figuratif et lithographe français, né le à Vichy et mort le à Paris[1].
Biographie
LapalisseMadrid, la Casa de Velázquez
Né à la clinique de la Pergola à Vichy, Jean-Pierre Pophillat vit les neuf premières années de sa vie à Lapalisse où son père est assistant-pharmacien et sa mère professeur de piano. Il vit à partir de 1946 au Raincy, ses parents y exerçant alors la profession d'herboriste.
Effectuant ses études secondaires au Raincy, il a pour professeur de dessin Louis Parrens (1904-1993) - auteur en 1953 du livre Perspective et tracé des ombres: théorie et pratique qui sera régulièrement réédité[2] - qui, en 1952, l'encourage à se présenter la même année au concours d'entrée à l'École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art où il entre en octobre 1953 pour s'initier aux techniques de l'art monumental - la mosaïque, la tapisserie, le vitrail, la fresque, mais aussi la laque avec Pierre Bobot - et recevoir son diplôme en juin 1957[3].
En 1964, lauréat du Prix de la Casa de Velázquez (il fait partie avec Arnaud d'Hauterives de la 35e promotion), il séjourne à Madrid jusqu'en 1966[4]. Selon le témoignage de son ami Jean Canavaggio qui l'y rencontre pour la première fois, sa peinture y bascule dans une «nouvelle manière» qui va définitivement se substituer aux tonalités sombres qui le situaient jusqu'alors dans la continuité de Francis Gruber et du misérabilisme de l'après-guerre: «au contact de l'Espagne, de ses traditions et de ses contrastes, nous vîmes sa palette peu à peu s'éclaircir, ses paysages accueillir les blancs crayeux d'Andalousie, ses horizons s'imprégner de la lumière du plateau castillan»[3].
Depuis 1959, il participe à de nombreuses expositions collectives, dont: Salon de la Jeune Peinture, Salon d'automne dont il devient sociétaire en 1972[5], Salon Comparaisons où il expose une quarantaine d'années dans le groupe de Maurice Boitel[6], Salon de la Société nationale des beaux-arts, Salon des artistes français, du comité et du jury desquels il devient membre en 1970[3]. Le Prix de la Marine nationale qui lui est attribué en 1978 lui vaut un voyage à bord de La Jeanne en Polynésie[3].
Il peint régulièrement dans les alentours de ses propriétés de Cannes et de Deauville des œuvres vives et colorées inspirant la joie de vivre. Gérald Schurr cite également des paysages des Vosges et de la baie d'Arcachon[7].
Expositions
Expositions personnelles
Musée d'art et d'histoire de Cognac, 1960Paris, orangerie du jardin du Luxembourg, 1972Château de Bazens, 1978Château de Blois, 1987Château de Tours, 1987Centre culturel Chiang Kai-Chek, Kaohsiung, 1988Hôtel de ville de Lyon, 2001Musée Haus Ludwig(de), Sarrelouis, 2015
Théâtre du Vieux-Colombier, Paris, 1962Avignon, Musée Calvet, 1964Bibliothèque nationale d'Espagne, Madrid, 1965Galerie nationale d'art Zachęta, Varsovie, 1973Palais de la Méditerranée, Nice, 1975Château de Bourdeilles, 1977Château-musée de Boulogne-sur-Mer, 1977Hôtel Ivoire, Abidjan, 1977, 2000Église Saint-Paul de Francfort, 1978Ancienne douane, Colmar, 1979Château Lascombes, Margaux, 1981Institut de France, Paris, 1986Chapelle des Pénitents, Treignac, 1987Bastion du Roi, Rocroi, 1991Mairie du 4e arrondissement de Paris, 1999Séoul, Musée national de Corée, 2000
Expositions collectives
Salon de la Jeune Peinture, Paris, 1959.
Salon d'automne, Paris, à partir de 1959 (expositions personnelles dans le cadre du Salon en 1998 et 2000[3]).
Musée des beaux-arts de Belfort, 1959.
Sélection du Prix Othon Friesz, École nationale supérieure des beaux-arts, Paris, 1962.
Salon de la Société nationale des beaux-arts, Paris, 1963.
Salon des artistes français, Paris, 1963, 1967 (mention honorable), 1968 (Grand Prix des jeunes), 1969 (médaille d'argent), 1970 (médaille d'or, membre du comité et du jury)[3]).
Salon du Val d'Yerres (Jean-Pierre Pophillat membre du jury), 1973.
Venise vue par trente maîtres du XXe siècle, Galerie Bürdeke, Zurich, 1974.
Salon du Bourget (Jean-Pierre Pophillat membre du jury), 1974.
Salon de Béziers (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1974.
Galerie Seine 38, Paris, 1975.
Sélection du Salon de la Nationale des Beaux-Arts, palais de la Méditerranée, Nice, 1975.
Grand Hôtel du Parc, Villars-sur-Ollon, 1975.
Penta Hôtel, Courbevoie, 1975.
Sélection du Salon des artistes français, Musée Pouchkine, Moscou;
Musée de l'Ermitage, Leningrad, 1976.
Galerie Alain Finding, Strasbourg, 1976.
Galerie Guy Charrier, Amiens, 1976.
Galerie Ror Volmar, Vichy, 1976.
Les maîtres de la Galerie Vendôme: Jean Cluseau-Lanauve, Jean Dannet, Jef Friboulet, Philippe Gautier, Jean-Pierre Pophillat, Robert G. Schmidt, Galerie Vendôme, Paris; caves des Champagnes Ruinart, Reims, 1976.
Dix maîtres figuratifs contemporains, salle de la Mutualité, Arras, 1976.
Soixante signatures de maîtres contemporains, Galerie Vendôme, Paris, 1977.
Sélection du Salon du dessin et de la peinture à l'eau, hôtel de ville de La Baule et château de Bourdeilles, 1977.
Château-musée de Boulogne-sur-Mer, 1977, 1984.
Les peintres de la Galerie Vendôme, Grand Hôtel, Évian, 1977.
Les peintres du Manoir de Mad, Hôtel Ivoire, Abidjan, 1977; Centre culturel français de Dakar, 1978.
Salon de Villeneuve-le-Roi (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1986.
Salon de Colombes (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1986.
Galerie Bijutsu Sekai, Tokyo, 1987.
Chapelle des pénitents, Treignac, 1987.
Cinquante peintres du Salon d'automne, salle des fêtes de Deuil-la-Barre, 1987.
Galerie de la Vieille porte, Thionville, 1987.
Salon de l'École de la Loire (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), Blois, 1987.
Galerie de l'aéroport d'Orly Sud, 1988.
Galerie Hélène Prince, Paris, 1988.
Galerie de l'ancienne halle, Saint-Émilion, 1988.
Galerie Le Campanile, Nans-les-Pins, 1988.
Jardins de rêve, Galerie Lancry, Paris, 1988.
Galerie 7 Arts, Barbizon, 1989.
Palais des fêtes, Périgueux, 1989.
Galerie René-Jean Baiz, Montpellier, 1990.
Galerie Art Kahn International, Vincennes, 1990.
Pan Pacific, San Francisco, 1991.
Poudrière de la citadelle du Château-d'Oléron, île d'Oléron, 1991.
Bastion du Roi, Rocroi, 1991.
Salon de Charenton-le-Pont (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1991.
Galerie La Pléiade, Grenoble, 1992.
Galerie Le Sagittaire, Annecy, 1992.
Les peintres de notre temps en pays de Brive, Brive-la-Gaillarde, 1992.
1er Salon de Lapalisse (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1992.
Association France-Japon - Cinquante peintres de la Société nationale des beaux-arts, Nippon Television, Tokyo (puis exposition itinérante au Japon), 1993.
Maîtres contemporains, Galerie de l'Ermitage, Le Touquet, 1993, 1995.
Galerie Robin Léadouze, Cannes, 1994.
Galerie M.-C. Goinard, La Baule, 1995.
Galerie de Cannes, Cannes, 1995.
Galerie Salvany, Clermont-Ferrand, 1995.
Salon de L'Isle-Adam (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1995.
Salon de Lacapelle-Marival (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1996.
Quarante ans de découverte, Galerie Vendôme, Paris, 1996.
Sélection du Salon d'automne, château d'Homécourt, 1996.
Galerie du Forum des images, Albi, 1996.
Dynasties Art Gallery, Singapour, 1997.
Galerie du Martray, Nantes, 1997.
Galerie Daniel Besseiche, Deauville, Courchevel, Dinard, 1997.
Art World Gallery, Cannes, 1997.
Galerie Voyage de l'œil, Annecy, 1997.
Garden Museum Gallery, Okinawa, 1998.
Salon d'Aurillac (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1998.
Galerie Garance, Saint-Germain-en-Laye, 1999.
Galerie Véronèse, Singapour, 1998.
Galerie Antinea, Marseille, 1999.
Centenaire des peintres e la Critique parisienne, mairie du 4e arrondissement de Paris, 1999.
Salon de Clairac (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1999.
Salon de Villeneuve-Tolosane (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1999.
Salon de Vaucresson (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1999.
Salon de Feytiat (Jean-Pierre Pophillat invité d'honneur), 1999.
Jean-Pierre Pophillat (peintures) et Bénédicte Paillusseau (sculptures), Fimecor Baker Tilly, Paris, février 2013.
Salon d'automne international de Lunéville, octobre 2014[32], octobre 2015[33].
Château de la Bertrandière, L'Étrat, novembre 2015[34].
Réception critique
«Le monde qu'il crée est un monde de stabilité, de rectitude, de calme équilibre, où l'angle droit joue un rôle prépondérant. On aimerait pouvoir dire que son instinct le porte, avec une vision très actuelle, vers des cadences classiques si ce dernier mot n'était aujourd'hui dénaturé et portait à un absurde contresens. Sa peinture signifie, ce qui est le premier de voir de la peinture, mais sous la pellicule de la réalité qui nous la rend heureusement accessible, tout est allusif et d'une plastique constamment contrôlée. Bien que plus sensible aux jeux de surfaces colorées qu'aux sortilèges de l'espace, Pophillat sait néanmoins conférer à ses toiles une certaine poésie intime qui devient convaincante dans ses meilleures toiles.» - Roger Chapelain-Midy[8]
«Toiles et gouaches révèlent un frémissement intérieur qui s'impose chaque fois chaque fois que le dessin soutient avec autorité la couleur.» - Claude Roger-Marx[13]
«Pophillat, c'est un art très équilibré, très médité dans les contrastes d'ombre et de lumière, construit avec une science remarquable.» - Raymond Charmet[35]
«Des paysages silencieux, calmes, bien agencés; d'une palette dense et riche.» - Gérald Schurr[7]
«Pophillat, en tracés horizontaux coupés de lignes verticales, peint son paradis de blancs, de roses, d'ocres e de bleus. Capteur de calme, il fige les maléfices. Sa sensibilité le porte à pactiser avec une nature retrouvée au-delà des dogmes. Jeune peintre de quarante ans, il a franchi le pas de la maturité artistique et du beau métier. On épouse sa peinture faite de gaieté réfléchie et d'horizons exaltants.» - Guy Vignoht[36]
«L'art de Pophillat se situe dans la grande tradition de l'art français: un art d'équilibre, de clarté et d'harmonie… Voilà un peintre qui n'a pas honte de montrer qu'il est fort savant au point de vue technique et que le métier de peintre n'a pas de secret pour lui, que ses natures mortes, ses marines et ses paysages sont construits, étudiés et composés… Curieusement, dans ses paysages, le ciel occupe une part minime. On dirait l'homme plongé et englouti dans ces étangs, ces masses d'eau et ces terres palpitantes que l'impressionnisme est venu enrichir de gouttelettes de lumière miroitante, et où la géométrie a été maîtrisée et assagie. C'est une mise en page d'une forte personnalité et d'une sensibilité extrême. Ses natures mortes, très bien composées, très bien agencées et équilibrées, vous emportent dans un monde féerique. Le fenêtre ouverte vous montre une mer palpitante et un ciel irisé où les nuages drainent des échos lumineux pleins de rêves et de nostalgie. L'art de Pophillat se développe, s'amplifie vers une absolue maîtrise.» - Jean Carzou[37]
«La haute silhouette de Pophillat découpe le ciel et la mer: un ciel où le scintillement de la lumière anime îles vertes, plages blanches et vieux bateaux colorés, une mer où la difraction de la lumière transfigure en arc-en-ciel poissons, coraux et algues… Les toiles de Pophillat font palpiter la couleur des mers brillantes, des terrasses aux ombres attirantes, des bouquets et des fruits aux étals des marchés. Fenêtres ouvertes sur de chauds souvenirs de vacances empreints d'amitié, d'optimisme et d'énergie.» - Jean-Michel Dubernard[38]
Musée d'art moderne de la ville de Paris, Paysage à Savignac (Aveyron), dessin, 1964[39]; Village de Vandeloves (Aveyron), dessin[40].
Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France, Les anémones du Lavandou, lithographie originale, Éditions Artès, 1975.
Aéroports de Paris.
Musée des beaux-arts et d'archéologie Joseph Déchelette, Roanne.
Musée des beaux-arts Denys-Puech, Rodez.
Musée des collections de Saint-Cyprien.
Hôtel de ville de Vaucresson.
Hôtel de ville de Villeneuve-le-Roi.
Musée de Gajac, Villeneuve-sur-Lot, Le pot de tabac sicilien, huile sur toile[3].
Ambassade de France à Madrid.
Ambassade de France à New Delhi, Nature morte à la cafetière, huile sur toile 81x65cm, 1964[37].
Louis Parrens, Perspective et tracé des ombres: théorie et pratique, Bourrelier (Imprimerie du Chaix), 1953, plusieurs rééditions sous le titre Traité de perspective d'aspect: tracé des ombres.
Ouvrage collectif (préface de Jean Canavaggio), Pophillat - Quarante ans de peinture, La cote de l'amateur, 2000.
Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992, page 390.
Ouvrage collectif dont un texte de Jean-Pierre Pophillat, Maurice Boitel, édité par l'Association des amis de Maurice Boitel et de la Jeune Peinture de l'École de Paris, Audresselles, 2011.
Gérald Schurr, « Les expositions: Pophillat à la Galerie Vendôme », La Gazette de l'Hôtel Drouot, n°26, 24 juin 1977, page 23.
Roger Chapelain-Midy, Jean-Pierre Pophillat, ,éditions Galerie Torré, Vichy, 1962.
Angel Marsa, «Pophillat», El Correo catalan,, 18 février 1967.
Raymond Charmet, «Expositions - Pophillat», Le Nouveau journal, 22 novembre 1968..
Jean Chabanon, «Pophillat», Le Peintre, 1er décembre 1968.
René Barotte, «Jean-Pierre Pophillat», Paris-Presse L'Intransigeant, 11 décembre 1968.
Claude Roger-Marx, «Jean-Pierre Pophillat: une double exposition», Le Figaro littéraire, 16 novembre 1968.
Joël Derval, «Expositions - Jean-Pierre Pophillat», Combat, 25 novembre 1968.
Jean Dalevèze, «Jean-Pierre Pophillat», Les Nouvelles littéraires, 28 novembre 1968.
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Jean Canavaggio, directeur de la Casa de Velázquez (préface), Jacky-Armand Akoun, Jean Carzou, Roger Chapelain-Midy, René Deroudille, Guy Dornand, Jean-Michel Dubernard, Christian Germark, Hubert Killardjean, Claude Marumo, Sylvie Murphy, Nicole de Pontcharra, Michel Rodde, Guy Vignoht, (portrait de Jean-Pierre Pophillat par Roger Wild), Pophillat - Quarante ans de peinture, 1960-2000, La cote de l'amateur, 2000.
René Chabannes, Les quarante ans d'expositions du château de Val, Artogue, 2014.
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