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André Albert Marie Dunoyer de Segonzac, né le à Boussy-Saint-Antoine (Seine-et-Oise, aujourd'hui Essonne) et mort le à Paris, est un peintre, dessinateur, graveur et illustrateur français.

André Dunoyer de Segonzac
Naissance

Boussy-Saint-Antoine (France)
Décès
(à 90 ans)
Paris (France)
Sépulture
Cimetière marin de Saint-Tropez
Nom de naissance
André Albert Marie Dunoyer de Segonzac
Nationalité
Française
Activité
Peintre, dessinateur, graveur, illustrateur
Formation
École nationale supérieure des beaux-arts, Académie Julian
Maître
Représenté par
Artists Rights Society
Mouvement
Néoréalisme
Famille
Famille Dunoyer de Segonzac
Père
Louis Dunoyer de Segonzac (d)
Mère
Amélie Persil (d)
Distinction
Croix de guerre 1914-1918
Archives conservées par
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 10001-10003, 3 pièces, -)[1]

On retient qu'« il apparut, dès 1918, comme le principal représentant du réalisme traditionnel »[2].


Biographie


Honoré Daumier, Le Père-Scie
Honoré Daumier, Le Père-Scie

André Dunoyer de Segonzac naît le à Boussy-Saint-Antoine[3],[4], du mariage de Louis Dunoyer de Segonzac (1843-1937), officier de marine, et Clémence Amélie Persil (1854-1918). Côté paternel, il est issu d'une famille de la noblesse française d'extraction (1558), originaire du Quercy[5].

Il a pour arrière-grand-père maternel Jean-Charles Persil qui fut garde des sceaux du roi Louis-Philippe Ier et qu'Honoré Daumier caricatura sous le sobriquet de Père-Scie[6].


Jeunesse et formation


Boussy-Saint-Antoine
Boussy-Saint-Antoine

Il passe la plus grande partie de sa jeunesse dans son village natal à propos duquel Jean Vallery-Radot restitue des réminiscences durables : « L'Yerres traversait la propriété de sa grand-mère. Cette charmante petite rivière qu'ombragent des saules et des aulnes demeurera liée à ses souvenirs d'enfance. Il n'oubliera pas les reflets du ciel éclairant de manière intermittente l'eau qui courait sous les arbres. Plus tard, il saura rendre ces délicats effets, car l'eau et l'arbre demeureront à jamais ses thèmes de prédilection »[7]. Il est « médiocre élève » du lycée Henri-IV à Paris« il croque déjà les professeurs sur les copies de version latine »[8] - cette vocation précoce décevra l'ambition parentale de le destiner à Saint-Cyr[9] - et où il rencontre Gus Bofa qui restera un de ses proches.

En 1900, il est élève libre de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. En 1903, parallèlement à l'étude du malinké qui, à l'École nationale des langues orientales, lui vaudra une licence en dialectes soudanais[6], il entre dans l’atelier privé de Luc-Olivier Merson qu'il quitte, en mauvais termes avec ce maître, après son service militaire pour, en 1907, devenir à l'Académie Julian l'élève de Jean-Paul Laurens, puis dispose ensuite d'un atelier à l'Académie de la Palette à Montparnasse, où il reçoit les conseils de Georges Desvallières et Charles Guérin[10] et où lui-même enseignera[9]. Il fait la connaissance de Luc-Albert Moreau et de Jean-Louis Boussingault avec lequel il partage un atelier au 37, rue Saint-André-des-Arts[9]. C'est aux côtés de ces deux derniers qu'il va « participer à un mouvement que Bernard Dorival va qualifier de néo-réaliste, s'opposant aussi bien à la tradition académique qu'aux courants d'avant-garde, sans toutefois posséder "une doctrine explicitement formulée »[11]. Ses premiers dessins sont publiés en 1908 dans La Grande revue et Le Témoin, hebdomadaire créé par son ami Paul Iribe[2].


Le jeune peintre


En 1908, il commence à exposer au Salon d'automne et au Salon des indépendants, avec Paul Signac et Maximilien Luce. Son installation d'alors avenue Sainte-Marie à Chaville (alors en Seine-et-Oise, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine), ville qu'il habitera jusqu'à sa mort[12],[13], est liée à son attachement à la cité voisine de Versailles dont il évoque lui-même l'ancienneté : « Dès mon enfance, j'ai connu Versailles, ce merveilleux témoignage de l'esprit de France » écrit-il pour souligner que, depuis l'âge de sept ans, il s'y rend chez un oncle conseiller d'État. C'est ainsi qu'il sera considéré que « les artistes formant l'École de Versailles resteront les héritiers de Dunoyer de Segonzac »[14] qui, cependant, continue de travailler dans son atelier parisien, au no 13 de la rue Bonaparte[15].

Saint-Tropez
Saint-Tropez

À partir de cette même année 1908, louant une maison appartenant à Paul Signac, Dunoyer découvre les paysages de Saint-Tropez, auxquels il restera fidèle en y séjournant jusqu'à la fin de sa vie. Paul Jamot situe là, puisque sa peinture d'avant 1898 demeurait confinée dans la nature morte, l'inauguration de sa peinture de paysages[6] et Pierre Cabanne restitue : « Luc-Albert Moreau et André Villeboeuf viennent l'y rejoindre. Il ne la quitte maintenant que devant l'invasion bruyante et colorée de l'été. Léon-Paul Fargue l'y voit vivre[16] dans cette maison du "Maquis" que, de fait, avec Luc-Albert-Moreau et André Villeboeuf, il a acheté à Charles Camoin (il y aura pour voisine Colette qui, dans ses livres, l'appellera « le grand Dédé » et chez qui il gravera les planches de La Treille musicale[7]), sous les oliviers ou le long des vignes dont il fera les paysages gravés de ses Géorgiques, sur les plages où des multitudes de corps se rôtissent au soleil et qu'il contemple "de son œil d'oiseau endormi" »[17]. Pour le reste, il mène une véritable vie de nomade, à la recherche du motif surtout à travers l’Île-de-France, la vallée du Grand Morin, Feucherolles, Chennevières-sur-Marne, Guyancourt, etc.

Paul Poiret
Paul Poiret
Isadora Duncan
Isadora Duncan

En 1910, il se lie d'amitié avec le couturier Paul Poiret et rencontre Max Jacob, Raoul Dufy et Maurice de Vlaminck. Il brosse les décors des fêtes données par Paul Poiret comme, avec Raoul Dufy, ceux de la « Mille et deuxième nuit » dans les jardins du Faubourg Saint-Honoré, ou ceux de la « soirée des Butard » où, dans les bois de Vaucresson, dansa Isadora Duncan[7].

De 1910 à 1914, il voyage en Italie, en Espagne, en Afrique du Nord, et s’intéresse au sport et à la danse (dessins des Ballets russes d’Isadora Duncan, 1911, Les Boxeurs 1910) à propos desquels Dunoyer de Segonzac restitue lui-même que, de tous les sports, c'est de fait la boxe qui l'a le plus passionné : « j'allais aux grands combats, salle Wagram, à l'Hippodrome et à la Grande Roue, mais j'affectionnais particulièrement une salle modeste : Les Arènes de Boxe où paraissaient les débutants dans de petits matches à quatre à six rounds maximum »[18]. Il est alors, avec Roger de La Fresnaye et Luc-Albert Moreau, bel et bien situé dans la mouvance cubiste dont il se désolidarisera rapidement[19]. De fait, dans sa visite du Salon des indépendants de 1914, André Salmon observe « une tentative de renouveau du cubisme » qu'il évoque sous l'appellation de « naturalisme organisé » et qu'il situe, proche de Roger de La Fresnaye, autour d'André Lhote, André Dunoyer de Segonzac et Luc-Albert Moreau[20].


Première Guerre mondiale


Charles Despiau
Charles Despiau

De 1914 à 1918, mobilisé en tant que sergent au 353e régiment d'infanterie, il fait la guerre durement, avant d’être affecté dans une section camouflage ddu Groupe d'armées du Nord, puis de commander celle de la 3e armée[7] : il dirige l'atelier de camouflage d'Amiens, puis celui de Noyon, se spécialisant dans la pose des faux arbres[21],[22] et ayant sous ses ordres le sculpteur Charles Despiau (le buste de Dunoyer de Segonzac que celui-ci exécutera en 1943-1944 témoignera de leur amitié pérenne[23]), les peintres Charles Dufresne, Charles Camoin, Jean Puy et Jean-Louis Boussingault qui, avec lui, Jean Marchand et Luc-Albert Moreau, dans une revendication commune de l'héritage de Gustave Courbet, forment le groupe de « la bande noire »[9].

Il exécute de nombreux dessins de guerre, précieux par leur valeur artistique et documentaire, qui sont largement publiés dans Le Crapouillot et dans L'Élan, revue fondée par Amédée Ozenfant[7] et où celui-ci ajoute son propre commentaire : « devant la lucidité de ces lignes, comment imaginer que l'auteur est lui-même un soldat, qu'il se bat, et que la même main, en des instants consécutifs. a commandé l'attaque et construit ce contour ? Admirons cette force qui est la force française »[24].

André Dunoyer de Segonzac, perçoit Hadrien Viraben un siècle plus tard dans l'étude qu'il consacre à ce second périodique, « prisonnier d'une nouvelle manière de combattre, donne à la réalité du front un aspect qui, sans être sanglant, n'en est pas moins pesant et anxiogène ». Ses dessins ne sont pas la dénégation de massacres que d'autres saisissent par la photographie, mais « proposent une lecture plus humaine et plus calme du front, sans être pourtant parfaitement sereine. Face au reportage et à l'anonymat des photographes, Segonzac témoigne de l'identité des hommes avec lesquels il partage l'expérience du front »[19].


L'après-guerre


Dès 1919, année où il s'initie à l'eau-forte afin d'illustrer Les Croix de bois de Roland Dorgelès[10], il figure de nouveau dans de très nombreuses expositions, dont les principaux salons parisiens. Ses premiers paysages à l'aquarelle datent de 1920[10].

En 1921, il rencontre Paul Valéry, Léon-Paul Fargue, Valéry Larbaud et Jean Cocteau[10]. En 1928, il fait un voyage aux États-Unis où il rencontre un vif succès. En 1930, il se lie d’amitié avec André Derain.

Il est membre du comité d'honneur de l'Association du foyer de l’abbaye de Royaumont et président de la Société des peintres-graveurs français.

Sous l'Occupation, il participe, en novembre 1941 à un « voyage d’études » en Allemagne, organisé par Arno Breker, acceptant, comme d'autres artistes parmi les plus renommés, de partir visiter les hauts lieux de la culture allemande ainsi que des ateliers d’artistes[25],[26],[27].

En 1947, il est élu membre de la Royal Academy de Londres. À partir de 1951, ses œuvres peintes et gravées font l'objet d'expositions multiples en France, en Europe et aux États-Unis. De nombreuses études lui sont consacrées.


Mort et postérité


Cimetière marin de Saint-Tropez
Cimetière marin de Saint-Tropez
Thérèse Dorny (1891-1976)
Thérèse Dorny (1891-1976)

Quittant ce monde dans une mort douce le - « Dunoyer de Segonzac est mort ce matin dans l'ignorance qu'il trépassait. La fin que lâchement je me souhaite » note ce jour-là son ami Michel Ciry[28] -, l'artiste est inhumé au cimetière marin de Saint-Tropez auprès de l'actrice Thérèse Dorny (1891-1976) qu'il avait épousé le [29].

On peut être surpris de voir André Dunoyer de Segonzac, après sa mort, situé par certains historiens de l'art dans le courant expressionniste. Ainsi en va-t-il en 1980 de Hans L.C. Jaffé qui retient rétrospectivement que « l'expressionnisme » des années qui suivirent la Première Guerre mondiale eut peu d'influence en France. En dehors de Marcel Gromaire, avec ses compositions solidement construites, aux couleurs sombres, le principal représentant de cette tendance en France fut Dunoyer de Segonzac. Le paysage fut son thème de prédilection, mais, au lieu des touches extatiques de couleur qui caractérisaient les Fauves, au lieu de la véhémence passionnée de Chaïm Soutine, on remarque dans ses tableaux une atmosphère opprimante et lourde qui les rattache aux écoles nordiques. Segonzac s'efforça de faire revivre un style classique fondé sur le retour à Paul Cézanne, mais son tempérament romantique et nordique imprima à son œuvre le sceau de sa propre personnalité[30].

En 1985, [Georges Charensol préfère retenir que l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac se situe tout simplement « hors du temps », s'en justifiant par le constat que, pour l'artiste, il n'était pas « question de remettre en cause l'impressionnisme, le divisionnisme, le symbolisme, le fauvisme, le cubisme, les multiples formes d'art abstrait. Segonzac les a connus, comme tous les peintres de sa génération, mais, seul ou presque, il a refusé l'influence du cubisme. C'est ce refus qui fait de lui une des personnalités majeures de l'histoire de notre temps »[31].

Michel Charzat, constatant pour sa part en 2021 que le nom d'André Dunoyer de Segonzac, qui « était sans doute l'un des peintres français les plus connus et les plus admirés du XXe siècle », n'est plus, un demi-siècle après sa mort, « retenu que par une génération de collectionneurs de gravures et de livres illustrés », retient cependant que, « célèbre dans les années 1920-1025, Dunoyer de Segonzac reste une figure incontournable de la peinture française. Associé à André Derain et Henri Matisse avec lesquels il forme le trio des maîtres de la peinture française contemporaine, figure "contraire" de Pablo Picasso, comme se plaisait à le définir Claude Roger-Marx, il en a été le parfait contemporain et ami. Son art ne s'est intéressé que furtivement au cubisme et à l'abstraction et reste marqué par le goût de la figuration commun à toute une génération d'artistes européens de l'entre-deux-guerres. Sa peinture s'impose comme l'une des plus représentatives du XXe siècle, par la somme des éloges reçus et par sa diffusion dans le monde entier, même si l'homme reste peu connu »[32].


Œuvre


À peu près indifférent aux révolutions esthétiques contemporaines, Dunoyer de Segonzac entreprend, avec ses amis Jean-Louis Boussingault et Luc-Albert Moreau, de ressusciter le réalisme de Gustave Courbet en exécutant, par la peinture à l'huile qu'il ne pratiquera plus qu'épisodiquement, au bénéfice de l'aquarelle à partir de 1925, des natures mortes, des nus, des paysages, « à partir de compositions de l'ensemble plastiquement structurées et d'un dessin des parties synthétique et énergiquement cerné. Il s'élaboré là une technique personnelle par épaisses couches pigmentaires superposées, maçonnées au couteau… Il utilise alors une gamme sobre et chaude d'ocres, de terres et de bruns généralisée, valorisée de bleus et de verts sombres et froids, aux forts contrastes entre clairs et ombres, pour après 1919 éclaircir notablement l'austérité de sa palette » [10]. Pour Claude Roger-Marx, « pas plus qu'on ne saurait séparer les travaux du peintre de ceux du graveur et du dessinateur et de l'aquafortiste, on ne saurait diviser l'œuvre en époques. Tant de constance dans le sentiment, dans l'exécution, dans le choix des thèmes, risque de laisser insatisfaits ceux qui aiment par-dessus tout qu'on les brusque ou qu'on les déconcerte »[33].

Il donne sa définition de l'art dans l'une de ses lettres au peintre Maurice Boitel où il écrit, dans les années 1950 : « Je n'ai pas oublié la période héroïque des indépendants — quand nous étions groupés autour de Paul Signac, du charmant et vaillant Maximilien Luce — dans ces baraques où l'Art vivant et authentique se groupait en dehors des formules académiques — ou des tendances littéraires et systématiques — qui devaient aboutir à cette esthétique abstraite dont crève la peinture. »[réf. nécessaire]

Initié à la gravure par Jean Émile Laboureur, il réalisa près de 1 600 cuivres de 1919 à 1970[34].


Dessin et gravure de portraits


On doit à André Dunoyer de Segonzac les portraits de Paul Signac[35], Francis Carco[36], André Gide[37], Jules Romains, Marcel Proust sur son lit de mort[38], Colette[37], Thérèse Dorny[6], Paul Léautaud, André Dignimont, Léon-Paul Fargue[37], Henri Mondor[39],[40].

On ne connaît de l'artiste, ce dont il s'est justifié en disant que son physique ne l'intéressait pas, qu'un seul autoportrait, daté 1925[36].


Contributions bibliophiliques


Jacques Rouché
Jacques Rouché
Roland Dorgelès
Roland Dorgelès
Tristan Bernard
Tristan Bernard
Charles-Louis Philippe
Charles-Louis Philippe
Régis Gignoux
Régis Gignoux
Colette
Colette
André Gide
André Gide
Jean Giraudoux
Jean Giraudoux

Décors de théâtre



Cinéma


André Dunoyer de Segonzac joue son propre rôle dans Donne-moi tes yeux, film de Sacha Guitry en 1943.


Écrits



Auteur


Préfacier

André Dunoyer de Segonzac a également préfacé des catalogues d'expositions : René Durey, André Planson (peintures) et Raymond Martin (sculptures), Musée Galliera, Paris, 1960 ; Guy-Pierre Fauconnet, musée Alfred-Bonno, Chelles, novembre-décembre 1960 (co-préfacé avec Jean Cocteau et Jacques Fauconnet) ; Jean Commère, galerie David et Garnier, Paris, 1961 ; Jean Marchand, galerie René Drouet, Paris, 1961 ; Herbert Lespinasse, Bibliothèque d'Art et d'Archéologie de l'Université de Paris, 1964 (co-préfacé avec Julien Cain et Suzanne Dameron, 1964 ; Toulouse-Lautrec - Elles, galerie Berès, Paris, 1964 ; Yves Brayer, galerie de Paris, Paris, 1965 (co-préfacé avec Gérard Bauër), Michel Ciry, galerie Le Griffon, Lyon, 1965 (co-préfacé avec François Mauriac) ; Hommage à André Warnod, galerie Charpentier, Paris, 1965 (co-préfacé avec Pierre Brisson).


Collections publiques



Australie



Canada



Danemark



États-Unis


  • Ann Arbor, University of Michigan Museum of Art (en), Un blessé léger, crayon 23 × 27,5 cm, 1914-1918[46].
  • Bloomington (Indiana), musée d'Art de l'université de l'Indiana.
  • Boston, musée des Beaux-Arts, 119 eaux-fortes pour les Géorgiques de Virgile, 1944-1947.
  • Cambridge (Massachusetts), Fogg Art Museum, Caricature de Paul Signac, dessin, vers 1920[35].
  • Chicago, Art Institute of Chicago, donation Arthur Jerome Eddy (en)[47].
  • Colombus (Ohio), Columbus Museum of Art, Notre-Dame de Paris, huile sur toile, 1913.
  • Détroit (Michigan), Detroit Institute of Arts.
  • Flint (Michigan), Flint Institute of Arts (en), donation Arthur Jérome Eddy[47].
  • Hanover (New Hampshire), Hood Museum of Art.
  • Kansas City, musée d'art Nelson-Atkins, Sur le quai, gravure 16,2 × 11,4 cm[48].
  • Los Angeles, musée Hammer, Université de Californie :
    • Fernande, pointe-sèche 11,3 × 12,1 cm, 1921[49].
    • Chêne-liège en hiver, gravure 23,8 × 29,5 cm, 1926[50].
  • Memphis (Tennessee), Memphis Brooks Museum of Art (en).
  • New York :
  • Norman (Oklahoma), Fred Jones Jr. Museum of Art (en), Nature morte, aquarelle (ancienne collection Aaron Weitzenhoffer)[54].
  • Philadelphie, Philadelphia Museum of Art, Sur la table, huile sur toile 33,7 × 80 cm, 1926[55].
  • Saint-Louis (Missouri), Mildred Lane Kemper Art Museum (en), Paysage à la rivière, gravure[56].
  • San Francisco, musée des Beaux-Arts :
    • Le gros chêne à Chaville, gravure 18,6 × 21,9 cm, 1924[57].
    • Un puits ancien, gravure 29,1 × 24,4 cm[58].
  • Washington :
    • Georgetown University Library Art Collection (en) :
      • Football, gravure à la pointe-sèche.
      • Versailles - Les grands peupliers, gravure.
    • National Gallery of Art, 30 œuvres[59].
    • National Portrait Gallery, Isadora Duncan, encre sur papier 42,5 × 25 cm[60].
    • The Phillips Collection, donation Jean Goriany[61] :
      • L'hôpital, dessin à l'encre 26 × 42,5 cm.
      • Isadora Duncan, 4 dessins à l'encre 43,2 × 26,3 cm, 41,9 × 26,7 cm, 26,7 × 42,9 cm, 28,6 × 25,4 cm.

France


  • Aix-en-Provence, Fondation Saint-John Perse[62].
  • Albi, musée Toulouse-Lautrec, Le golfe, aquarelle[10].
  • Argentan, musée Fernand Léger - André Mare.
  • Bagnols-sur-Cèze, musée Albert-André, L'église, dessin[10].
  • Beauvais, musée départemental de l'Oise : Antoinette Schulte à son chevalet, 1938, plume, encre noire, lavis gris et fusain sur papier[63].
  • Boussy-Saint-Antoine, musée Dunoyer-de-Segonzac.
  • Cambrai, musée des Beaux-Arts[10] :
    • Deux paysages.
    • Étude de nu, dessin.
  • Dole (Jura), musée des Beaux-Arts, dix gravures[10].
  • Épinal, musée départemental des Vosges, Maison à l'arbre abattu[10].
  • Grenoble, musée de Peinture et de Sculpture[10] :
    • Paysage de Saint-Tropez, huile sur toile 63,5 × 1 125 cm, 1927[64].
    • L'église, dessin et aquarelle.
  • La Rochelle, musée des Beaux-Arts.
  • Le Havre, musée d'Art moderne André-Malraux, Tête de femme, encre de Chine 17,5 × 27 cm (ancienne collection Édouard Senn, donation Hélène Senn-Foulds)[65].
  • Lille, palais des Beaux-Arts, La côtelette, 1933[10].
  • Lyon, musée des Beaux-Arts, Vue de Saint-Tropez, aquarelle[10].
  • Meudon, musée d'Art et d'Histoire.
  • Montpellier, bibliothèque municipale, donation Frédéric Sabatier d'Espeyran[66],[67],[68].
  • Nanterre, La Contemporaine - Bibliothèque, archives, musée des mondes contemporains[69].
  • Paris :
    • Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France[7].
    • musée d'art moderne de la ville de Paris :
      • Nu couché, huile sur toile, 1910[10].
      • Personnages, huile sur toile, vers 1920[70].
    • musée des Deux Guerres, dessins et aquarelles de guerre[10].
    • musée du Louvre (cabinet des dessins, département des arts graphiques) :
      • Les Baliveaux et une vallée où l'on distingue des maisons, dessin[71].
      • Marcel Proust sur son lit de mort, encre sur Bristol 31,7 × 48,4 cm (ancienne collection Claude Roger-Marx)[38].
    • musée national d'Art moderne[72].
  • Rodez, musée des Beaux-Arts Denys-Puech, Nu assis, dessin, 1939[10].
  • Les Sables-d'Olonne, Musée de l'Abbaye Sainte-Croix.
  • Saint-Claude (Jura), musée de l'abbaye, 3 eaux-fortes (donation René Genis)[73] :
    • Colette et sa chienne Souci, 26,5 × 22 cm.
    • Paysage de Provence, 41,5 × 32,5 cm.
    • Paysage, 24 × 29 cm, 1958.
  • Saint-Tropez, musée de l'Annonciade.
  • Sceaux, musée du Domaine départemental.
  • Strasbourg, Musée des Beaux-Arts[10] :
    • Paysage d'Île-de-France, aquarelle.
    • La fleur au fusil, dessin, 1914-1918.
  • Toulouse, musée des arts précieux Paul-Dupuy :
    • Le soldat blessé à Noyon, plume 14,4 × 22,4 cm, 19117[74].
    • Dans les tranchées, plume et lavis 25,6 × 18,7 cm[75].
  • Troyes, musée d'art moderne : donation Pierre Lévy[76] :
    • Paysage à la petite route à Périgny, huile sur toile 60 × 92 cm, 1912-1913.
    • Les dormeuses, huile sur toile 50 × 100 cm, 1922-1924.
    • Étude pour les canotiers, huile sur toile 61 × 92 cm, vers 1923.
    • Paysage à Villepreux, huile sur toile 72 × 90 cm, vers 1920-1925.
    • Nature morte, fleurs, pain et chapeau, huile sur toile 101 × 81 cm, 1933 (tableau présenté sous le titre Le pain et le vin dans l'exposition Dunoyer de Segonzac, galerie Durand-Ruel, Paris, 1972.
    • Nature morte au panier, huile sur toile 100 × 81 cm, 1936.
    • La baie de Saint-Tropez, encre de chine et lavis 55,5 × 76 cm,
    • Port de Saint-Tropez (étude pour La Treille Muscate de Colette), 26 × 32 cm, 1928-1932.
    • Paysage d'hiver (route de Lagny-sur-Marne à Annet-sur-Marne), plume et aquarelle 55,5 × 76 cm, 1934.
    • L'éveil du printemps, (étude pour Les Géorgiques), encre de Chine 32 × 26 cm.
  • Versailles, musée Lambinet :
    • L'escalier du Grand-Trianon vu du Grand-Canal, aquarelle[10].
  • La porte Saint-Antoine, Versailles, aquarelle[14].
    • Ensemble d'aquarelles et dessins sur Versailles (don d'André Dunoyer de Segonzac, 1963)[14].

Iran



Japon



Royaume-Uni



Uruguay



Collections privées



Belgique



États-Unis



France



Royaume-Uni



Expositions


Galerie Bernheim-Jeune, Paris, 1928
Galerie Bernheim-Jeune, Paris, 1928
Pavillon Marsan, Paris, 1939
Pavillon Marsan, Paris, 1939
Musée d'Art et d'Histoire de Genève, 1951
Musée d'Art et d'Histoire de Genève, 1951
Royal Academy, Londres, 1959, 1982
Royal Academy, Londres, 1959, 1982
Musée olympique, Lausanne, 1995
Musée olympique, Lausanne, 1995

Expositions personnelles


  • Février 1914 : Galerie Lévesque et Barbazanges, Paris.
  • 1917 ; André Dunoyer de Segonzac - Dessins et aquarelles de guerre, galerie Marseille, Paris.
  • 1920 : André Dunoyer de Segonzac - Peintures et dessins, galerie Levesque, 109 rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris.
  • 1925, 1926 : André Dunoyer de Segonsac - Aquarelles et dessins, galerie Marseille, Paris[6].
  • 1927 : Independent Gallery, Londres[6].
  • Novembre 1927 - janvier 1928 : Valentine Gallery, New York[47].
  • Août 1928 : Galerie Bernheim-Jeune, Paris[93].
  • 1935 : Brummer Gallery, New York[6].
  • 1936 : Svensk-Franska Konstgalleriet, Stockholm[6].
  • 1937 : André Dunoyer de Segonzac - Œuvre gravé, Bibliothèque nationale de France[10].
  • 1938 : Art Club of Chicago[6].
  • 1939 : André Dunoyer de Segonzac - Œuvres de guerre, pavillon de Marsan, Paris[10].
  • avril-mai 1939 : The Graphic Art of Dunoyer de Segonzac, galerie Wildenstein, Londres.
  • 1939 : Galerie Carstairs, New York.
  • Janvier-février 1940 : Franzôsiche Graphik der Gegenwart und des 19 Jahshunderts ; André Dunoyer de Segonzac, Kunsthalle Basel, Bâle.
  • Mai 1948[94], 1949-1950 : galerie Charpentier, Paris[95], Bâle.
  • 1951 : André Dunoyer de Segonzac - Rétrospective, musée d'Art et d'Histoire de Genève[10].
  • 1955 : musée des Beaux-Arts de Nice[10].
  • Juin-octobre 1958 : André Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles, galerie Mansart, Bibliothèque nationale de France (site Richelieu), Paris[96],[97].
  • 1959 : Royal Academy, Londres[10].
  • 1960 : Dunoyer de Segonzac - Cinquante ans de peinture, Galerie Charpentier, Paris.
  • 1964 : Bibliothèque de Versailles[10].
  • 1969 : Galerie Vallotton, Lausanne[10].
  • février-mars1972 : Dunoyer de Segonzac - Soixante années de peinture, Galerie Durand-Ruel, Paris[10],[33].
  • 1972 : Eaux-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, musée d'Art et d'Archéologie de Valence.
  • 1974 : Les 90 ans d'André Dunoyer de Segonzac, galerie Vallotton, Lausanne[10].
  • juillet-septembre 1975 : Hommage à Dunoyer de Segonzac - Rétrospective, musée de l'Athénée, Genève[10].
  • 1976 : Dunoyer de Segonzac - Soixante-cinq ans de peinture, orangerie des Tuileries, Paris[10].
  • 1978 : Donation André Dunoyer de Segonzac, musée de l'Île-de-France, château de Sceaux.
  • Mars-avril 1979 : Dunoyer de Segonzac - Chefs-d'œuvre gravés - Aquarelles, dessins, peinture, galerie Nouvel essor, Paris.
  • Octobre-novembre 1982 : André Dunoyer de Segonzac - Water-colours, drawings, engravings, Royal Academy of Arts, Londres.
  • Août-septembre 1984 : André Dunoyer de Segonzac - 210 gravures de la collection de sa famille, maison Pullierane, Pully.
  • Octobre-décembre 1984 : La Provence vue par André Dunoyer de Segonzac - Aquarelles, dessins, gravures, chapelle de la Vieille Charité, Marseille.
  • Mars-juin 1985 : Dunoyer de Segonzac, musée Marmottan, Paris[31].
  • mai-septembre 1990 : La nature morte dans l'œuvre de Dunoyer de Segonzac, musée Mainssieux, Voiron.
  • 1995 : Dunoyer de Segonzac, témoin du sport, Musée olympique, Lausanne[41].
  • Mars-avril 2009 : André Dunoyer de Segonzac - Vues d'Île-de-France, musée d'Art et d'Histoire de Meudon.
  • Décembre 2021 - avril 2022 : André Dunoyer de Segonzac, un tropézien de cœur, musée de l'Annonciade, Saint-Tropez[98],[99].

Expositions collectives


Armory Show, New York, affiche, 1913
Armory Show, New York, affiche, 1913

Citations



Dits d'André Dunoyer de Segonzac



Réception critique


Francis Carco
Francis Carco
René Jean
René Jean
Paul Jamot
Paul Jamot
Bernard Dorival
Bernard Dorival

Prix et distinctions



Prix



Distinctions



Hommages



Notes et références


  1. « https://archives.yvelines.fr/rechercher/archives-en-ligne/correspondances-du-musee-departemental-maurice-denis/correspondances-du-musee-maurice-denis », sous le nom DUNOYER DE SEGONZAC A. (consulté le )
  2. Sous la direction de Michel Laclotte et Jean-Pierre Cuzin, Dictionnaire de la peinture, éditions Larousse, 2003, p. 278.
  3. Distel 1980, p. 8.
  4. (en) Eric Hild-Ziem, « Dunoyer de Segonzac, André », sur oxfordartonline.com, (consulté le ).
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  7. Jean Vallery-Radot et Jean Adhémar, Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles, éditions de la Bibliothèque nationale de France, 1958.
  8. André Brincourt, Noir sur blanc, Fayard, 1973.
  9. Bernard Dorival, Les peintres du vingtième siècle - Du cubisme à l'abstraction, 1914-1957, éditions Pierre Tisné, 1957, pp. 24-26, 156.
  10. Jacques Busse, « André Dunoyer de Segonzac », Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.4, pp. 867-869.
  11. « Dunoyer de Segonzac », Les Muses - Encyclopédie des arts, Grange Batelière, Paris, tome 6, pp. 1988-1989.
  12. François Murez. Tribune : Sauvegardons la maison et le jardin du peintre Dunoyer de Segonzac à Chaville. Connaissance des Arts, . Lire en ligne.
  13. « Chaville : bientôt une résidence dans le jardin du peintre André Dunoyer de Segonzac, les riverains excédés », sur leparisien.fr, .
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  15. Guillaume Gillet. Mon voisin Dunoyer de Ségonzac. Revue des Deux Mondes, novembre 2016, p. 342-352. Lire en ligne.
  16. Jean-Paul Goujon, Léon-Paul Fargue, collection « Biographies », Gallimard, 1997, p. 248.
  17. Pierre Cabanne, Le Midi des peintres, collection « Tout par l'image », Hachette, 1964, pp. 79-80.
  18. André Dunoyer de Segonzac, Le sport vu par un sympathisant, Académie des Beaux-Arts, novembre 1958.
  19. Hadrien Viraben, « L'image de la guerre dans L'Élan (1915-1916), un refoulement apparent », Les Cahiers de l'École du Louvre, 2013.
  20. André Salmon, « Le Salon », Montjoie !, 1914, no 3, pp. 21-28.
  21. André Dunoyer de Segonzac, « L'art au service de la guerre - Souvenirs d'un camoufleur (1915-1918) », Le Figaro, .
  22. Cécile Coutin, Tromper l'ennemi - L'invention du camouflage moderne en 1914-1918, éditions Pierre de Taillac, 2015.
  23. Galerie d'art Albright-Knox, "André Dunoyer de Segonzac" par Charles Despiau dans les collections.
  24. Amédée Ozenfant, « Les dessins de guerre d'André Dunoyer de Segonzac », L'Élan, no 2, .
  25. Laurence Bertrand Dorléac, L'art de la défaite, 1940-1944, Seuil, 1993.
  26. Limore Yagil, Au nom de l'art, 1933-1945 - Exils, solidarités et engagements, Fayard, 2015.
  27. Tamara Ostriakova, « Instrumentalisations de l'art - Notes de lecture : Werner Lange, Les artists français sous l'Occupation, éditions Dean, Saint-Petersbourg, 2017 », Marges, no 26, 2018.
  28. Michel Ciry, « 17 septembre - Dunoyer de Segonzac est mort ce matin… », Détruire la nuit - Journal 1974-1975, Plon, 1977, pp. 182-183.
  29. Cimetières de France et d’ailleurs – Saint-Tropez.
  30. Hans L.C. Jaffé, « Les dix-neuvième et vingtième siècles » dans, sous la direction de L.C. Jaffé, Le monde de la peinture des origines à nos jours, V.N.U. Books International, 1980, p. 346.
  31. Georges Charensol, « Dunoyer de Segonzac au musée Marmottan », Revue des Deux Mondes, avril 1985, pp. 450-455.
  32. Michel Charzat, André Dunoyer de Segonzac (1884-1974) - La force, la nature, l'amour de la vie, éditions Gourcuff Gradenigo, Montreuil, 2021.
  33. Claude Roger-Marx, Dunoyer de Segonzac - Soixante années de peinture, Galerie Durand-Ruel / imprimerie Busson, Paris, 1972.
  34. Aimée Lioré et Pierre Cailler, Catalogue de l'œuvre gravé de Dunoyer de Segonzac, 8 volumes, 1.595 numéros décrits, éditions Pierre Cailler, Genève, 1959.
  35. Fogg Art Museum, "Caricature de Paul Signac" dans les collections.
  36. Jean Melas Kyriazi, André Dunoyer de Segonzac, sa vie, son œuvre, Harmonies et couleurs, Lausanne, 1976, pp. 76-78.
  37. Eugène Rouir, L'estampe, valeur de placement, Guy Le Prat éditeur, Paris, 1970, p. 90.
  38. >Musée du Louvre, "Marcel Proust sur son lit de mort" dans les collections.
  39. Dictionnaire universel de la peinture, Le Robert, 1975, vol.2, pp. 278-279.
  40. Yves Brocard, « Dunoyer de Segonzac is back », Les soirées de Paris, .
  41. Robert Parenté, Dunoyer de Segonzac, témoin du sport; éditions Pedro Palaclos, 1995.
  42. « La semaine théâtrale », Le Monde artiste, .
  43. National Gallery of Victoria, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  44. Galerie d'art de Nouvelle-Galles du Sud, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  45. Musée des beaux-arts du Canada, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  46. University of Michigan Museum of Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  47. Julia May Boddewyn, « André Dunoyer de Segonzac at the Valentine Gallery », Valentine Gallery, 8 août 2021.
  48. Musée d'art Nelson-Atkins, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  49. Musée Hammer, "Fernande" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  50. Musée Hammer, '"Chêne-liège en hiver" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  51. Metropolitan Museum of Art, "Le bouquet" dans les collections.
  52. Metropolitan Museum of Art, "La bouteille de vin" dans les collections.
  53. Museum of Modern Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  54. Fred Jones Jr. Museum of Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  55. Philadelphia Museum of Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  56. Mildred Lane Kemper Art Museum, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  57. Musée des Beaux-Arts de San Francisco, "Le gros chêne à Chaville" dans les collections.
  58. Musée des Beaux-Arts de San Francisco, "Un puits ancien" dans les collections.
  59. National Gallery of Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  60. National Portrait Gallery, "Isadora Duncan" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  61. The Phillips Collection, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  62. Fondation Saint-John Perse, présentation des collections.
  63. « Antoinette Schulte à son chevalet », notice no 000DE012770, base Joconde, ministère français de la Culture.
  64. Musée de Grenoble, "Paysage de Saint-Tropez" dans les collections.
  65. Musée d'Art moderne André Malraux, La donation de la collection d'Édouard Senn, présentation de l'exposition, septembre 2009.
  66. Jacques Guignard, « À propos de la collection Frédéric Sabatier d'Espeyran : les livres d'art modernes dans les bibliothèques municipales », Bulletin des bibliothèques de France, décembre 1967.
  67. Françoise Mourgue-Molines, « La collection Sabatier d'Espeyran », L'Œil, juillet-août 1992, pp. 48-53.
  68. Gilles Guion de Vallerin, « La bibliophilie contemporaine : un pôle d'excellence à Montpellier », Bulletin des bibliothèques de France, février 1997.
  69. La Contemporaine, présentation des collections.
  70. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Personnages" dans les collections.
  71. Musée du Louvre, "Les Baliveaux et une vallée où l'on distingue des maisons" dans les collections.
  72. Centre Pompidou, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  73. Musée de l'abbaye de Saint-Claude, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  74. Musée des arts précieux Paul-Dupuy, "Le soldat blessé" dans les collections.
  75. Musée des arts précieux Paul-Dupuy, "Dans les tranchées" dans les collections.
  76. Hubert Landais (avant-propos) et Michel Hoog (introduction), Donation Pierre Jévy, éditions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1978, pp. 115-121.
  77. Musée d'Art de Hiroshima, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  78. Musée Artizon, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  79. Musée national de l'art occidental, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  80. Fitzwilliam Museum, "Nature morte" dans les collections.
  81. Fitzwilliam Museum, "Paysage aux toits rouges" dans les collections.
  82. British Museum, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  83. Royal Collection Trust, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  84. Institut Courtauld, "Nature morte aux œufs" dans les collections.
  85. Tate Modern, "Nature morte au chou" dans les collections.
  86. Tate Modern, "Nu au journal" dans les collections.
  87. Tate Modern, "La ferme dans la terre" dans les collections.
  88. Tate Modern, "La route de Grimaud" dans les collections.
  89. Ashmolean Museum, "L'écluse" dans les collections.
  90. Museo Nacional de Artes Visuales, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  91. Catalogue de la collection Paul Poiret, Hôtel Drouot, Paris, 18 novembre 1925.
  92. Claude Robert, commissaire-priseur, catalogue de l'atelier et de la collection André Villeboeuf, Hôtel Drouot, 17 mai 1982.
  93. « Critics evaluate Segonzac's art, which draws throngs in Paris », Art Digest TT, 19 août 1928.
  94. Michel Ciry, «  : vernissage de Segonzac à la galerie Charpentier », Le Temps des promesses - Journal 1942-1949, Plon, 1979, pp. 438-439.
  95. René-Jean, « Un magnifique ensemble résume l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac », Le Monde, 19 mai 1948.
  96. « André Dunoyer de Segonzac à la Bibliothèque nationale », Les Nouvelles littéraires, no 1608, 26 juin 1958.
  97. Yvon Taillandier, « Récapitulation de l'œuvre dessiné de Dunoyer de Segonzac », Connaissance des arts, n°78, août 1958, p. 83.
  98. Musée de l'Annonciade, André Dunoyer de Segonzac, un tropézien de cœur, présentation de l'exposition, 2021.
  99. « Dans l'intimité du peintre André Dunoyer de Segonzac au musée de l'Annonciade à Saint-Tropez », Var-matin, 27 novembre 2021.
  100. One arty minute, Société normande de peinture moderne.
  101. J.-M., « L'actualité », L'Art et les Artistes, tome I, 1920, p. 351.
  102. Collectif, Hommage de Villeneuve-sur-Lot à André Dunoyer de Segonzac et Charles Despiau, catalogue d'exposition, imprimerie Moulinié, 1972.
  103. Ville de Viroflay, Hommage aux artistes camoufleurs de 1914-1918, présentation de l'exposition (entretien avec Cécile Coutin), septembre 2018.
  104. Cariss Beaune, « André Dunoyer de Segonzac », sur universalis.fr (consulté le ).
  105. Francis Carco, « Dunoyer de Segonzac », Le Carnet des artistes, n°18, 1917.
  106. René-Jean, « A. Dunoyer de Segonzac et son œuvre », Les Peintres français nouveaux, n°11, N.R.F., 1022.
  107. Christian Zervos, « Dunoyer de Segonzac », L'Art d'aujourd'hui, printemps-été 1924.
  108. François Fosca, « Dunoyer de Segonzac », L'Amour de l'art, 1928, p. 225.
  109. Jean Alazard, « André Dunoyer de Segonzac », La Revue des Deux Mondes, no 7, avril 1953, pp. 481-488.
  110. René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, L'art et le monde moderne, Larousse, 1970, tome 2, p. 64.
  111. Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Les éditions Arts et Images du Monde, 1992, pp. 112-113.
  112. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1993, p. 362.
  113. Chilvers 2017.
  114. Musée national d'Art moderne, Marie Elisabeth Wrede dans les collections

Annexes



Bibliographie


 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.


Presse



Radiophonie



Filmographie



Iconographie



Liens externes



На других языках


[de] André Dunoyer de Segonzac

André Dunoyer de Segonzac (* 7. Juli 1884 in Boussy-Saint-Antoine, Département Seine-et-Oise; † 17. September 1974 in Paris) war ein französischer Maler, Grafiker und Illustrator. Er gehört zu den bedeutenden Vertretern der realistischen Malerei zwischen den Kriegen und der abstrakten Druckgrafik, insbesondere nach dem Zweiten Weltkrieg.

[en] André Dunoyer de Segonzac

André Dunoyer de Segonzac (7 July 1884 – 17 September 1974) was a French painter and graphic artist.
- [fr] André Dunoyer de Segonzac

[it] André Dunoyer de Segonzac

André Dunoyer de Segonzac (Boussy-Saint-Antoine, 7 luglio 1884 – Parigi, 17 settembre 1974) è stato un pittore, incisore e illustratore francese.

[ru] Сегонзак, Андре де

Андре Дюнуайе де Сегонзак (фр. André Dunoyer de Segonzaс; 7 июля 1884, Бусси-Сент-Антуан, Эссонна — 17 сентября 1974, Париж) — французский художник, график и иллюстратор. Являлся одним из крупнейших представителей реалистической живописи во Франции в период между двумя мировыми войнами.



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