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Patrick Lanneau est un artiste peintre, dessinateur, lithographe et vidéaste français né à Tours le .

Patrick Lanneau
Patrick Lanneau en 2021.
Naissance

Tours
Nationalité
Française
Activité
artiste peintre, dessinateur, lithographe et vidéaste
Formation
École des beaux-arts de Tours, École des arts décoratifs de Nice
Maître
Mouvement
Figuration libre

Biographie



La formation, de Tours à Nice


Dolmen de la Grotte aux Fées, Saint-Antoine-du-Rocher
Dolmen de la Grotte aux Fées, Saint-Antoine-du-Rocher

Patrick Lanneau est, après une scolarité au lycée agricole de Fondettes (adolescent, il se destine à la viticulture en Touraine) et après avoir entamé des études de droit[1], élève de Paul Guimezanès à l'École des beaux-arts de Tours de 1971 à 1972 - époque où il est attiré par le proche village de Saint-Antoine-du-Rocher où ses nombreux dessins du dolmen de la Grotte aux Fées inspireront des libres variations qui, progressivement, aboutiront autour de 1980 à sa série majeure des Portiques - puis, de 1974 à 1978, élève de Noël Dolla et Jean-Claude Silbermann à l'École des arts décoratifs (villa Arson) de Nice[2].

Il est motivé dans cette dernière option en ce que la ville de Nice, rappelle Jean-Marc Réol, apparaît alors comme « le lieu d'une effervescence de l'art contemporain où, depuis le début des années 60, les protagonistes du Nouveau Réalisme, puis de Fluxus et de Supports/Surfaces, ont donné à la ville l'allure d'un laboratoire d'envergure internationale, ouvert sur les pratiques les plus expérimentales dans les domaines de l'objet, de la performance, de la peinture »[3]. Jean-Claude Silbermann se souviendra de Patrick Lanneau, « alors tout jeune peintre, habitant une chambre perchée au-dessus d'un sombre jardin, tentant de rivaliser en extase avec le ciel de Nice, apportant aux relations humaines une sorte de simplicité bienveillante dénuée de bruit comme d'ostentation »[4].


Nice, l'Atelier


8, rue Saint-Vincent, Nice
8, rue Saint-Vincent, Nice

Patrick Lanneau fait partie en février 1980, avec Denis Castellas, Gérald Thupinier, Claude Goiran, Frédéric Fenollabbate, Jean Borsotto, Jacques Chaumard, Sylvette Maurin et Gérard Serée (en), du collectif d'artistes qui fonde au n°8 de la rue Saint-Vincent à Nice - « Une sorte de hangar et en dessous deux grandes caves voûtées d'environ cent mètres carrés… Le lieu était très sombre et sans fenêtre, aussi travaillait-on à la lumière des néons. On perdait complètement la notion du temps, en ayant le même éclairage du matin au soir… »[4] - le groupe dit « L'Atelier »[5] auquel vont s'intéresser les galeristes Anne et Jean-Pierre Roger, puis Hélène Jourdan-Gassin à Nice, Catherine Macé à Cannes. Patrick Lanneau se souviendra : « là, j'ai fait des travaux en volume - bois et serpentins bombés de peinture fluo, avec aussi de la lumière noire, celle de la couleur en suspension -… C'étaient des expériences pour imaginer et visualiser ce que pourrait être une couleur en dehors du fait qu'elle est posée sur la toile. À partir de ces expériences j'ai réalisé des peintures et cette question me tracassera toujours »[4].

Dans son interview par Andy Warhol en février 1982, Ben rapporte avoir découvert à l'Atelier les premières peintures sur le thème des Portiques de Patrick Lanneau - Geneviève Breerette les appelle alors « mirages de temples ioniens »[6] - dont il affirme qu'« elles prennent le contrepied de l'épidémie Support/Surfaces », ajoutant : « c'est d'après moi Lanneau qui marque le pas sur les autres à Nice… Je défends toujours le nouveau dans une situation donnée et, en 1979, le travail de Lanneau apportait quelque chose »[7].

De cette même première période à l'Atelier, Mireille Kreitmann retient quant à elle en priorité la série des Ampoules d'où ressort une « préoccupation déjà évidente touchant à la lumière : les ampoules, génératrices d'énergie, nous indiquent de façon brutale le débordement des sens et la détermination du peintre à déborder les limites du tableau par une utilisation des couleurs et un geste impulsif qui se mêlent dans un chaos non encore maîtrisé à l'équilibre instable »[8].


Les Frigos de Paris


Les Frigos, quai de la Gare, Paris
Les Frigos, quai de la Gare, Paris

Incité à vivre à Paris par son exposition de 1984 à la Galerie Lucien Durand, au 19 rue Mazarine[9], dont il devient artiste permanent[10], Patrick Lanneau s'installe en 1985 aux Frigos, 91 quai de la Gare dans le 13e arrondissement pour y demeurer durant quinze années[11] : « des étages d'entrepôts frigorifiques désaffectés par la S.N.C.F. et investis par les artistes des années 80 : une ruche fin de siècle… » évoque Françoise Monnin à la suite d'une visite de l'atelier du peintre dont elle restitue ses sensations immédiates : « place au visible, et tout de suite une grande claque de couleurs intenses. Sur le mur du fond, une toile immense, dévorée par un rouge de camion de pompiers. Il y a aussi de l'orange et du rose, emmêlés à foison, incarnés… Ici une pyramide, là une étoile, un quartier d'orange aux allures de grande roue de fête foraine, un arête de poisson en hommage à Soutine peut-être, un sapin, une route en lacets géométriques, à moins qu'il ne s'agisse d'un éclair… De la lumière, le toupet méditerranéen des contrastes, celui de Matisse, la tranquillité en moins »[12].


L'Afrique


Bobo-Dioulasso
Bobo-Dioulasso

Les séjours de Patrick Lanneau en Afrique (L'Égypte fait suite à deux séjours à Dakar, le premier avec Sylvette Maurin dans un itinéraire passant par Bobo-Dioulasso où ils exposent ensemble, Ouagadougou et Bamako, le second dans le cadre d'une résidence soutenue par l'Association française d'action artistique) - « là bas, restitue Murielle Cachin, il dessine beaucoup et découvre un autre monde où se mêlent bonheur et misère, peau noire et abondance de couleurs : le jeune Lanneau est fasciné »[1] - initient ou confortent la présence récurrente dans ses œuvres des portiques, palmiers, sapins, pyramides, nuages, rochers et barrières. Sylvette Maurin confirmera : « à peine avions nous posé le pied à Bobo-Dioulasso, Patrick se mit à dessiner. Tout. Absolument tout. Et il captait avec une infinie justesse la majesté des hommes en grand boubou, la beauté et le port altier des femmes, leur canari sur la tête, la tendresse et l'émotion qui se dégageaient des enfants endormis. Les jaunes, les rouges, les bleus, le sollicitaient sans cesse »[4].


Approches de l'œuvre


Si Jean-Marc Réol voit en Patrick Lanneau le représentant du « retour à une figuration néo-expressionniste dans la mouvance de la Figuration libre du début des années 1980 »[3], Nadine Labédade observe que « ses premières peintures (1979-1985) mettent en scène des corps isolés ou en couples dans des paysages allusifs. La stridence des couleurs, la schématisation des formes et le travail de la matière picturale évoquent un univers onirique en apesanteur. Plus tard, Lanneau se consacre exclusivement au paysage qui devient de plus en plus évasif. La pratique du dessin, sur papier ou numérique, celle de la vidéo (Départ[13], La racine des branches), complètent cette recherche sur le paysage avec ses atmosphères et ses subtiles variations »[14].

Dans son approche de la Figuration libre, en 1982, Pierre Cabanne souligne « les perceptions plus sensibles de Lanneau » qu'il oppose ainsi, en même temps que Denis Castellas, à « la violence d'expression, insolente et braillarde, de Robert Combas, de Rémi Blanchard, d'Hervé di Rosa ou du groupe "En Avant comme Avant" »[15].

Grand Palais, Paris
Grand Palais, Paris

C'est pour sa part dès 1983 - année où Patrick Lanneau se trouve parmi les membres de « L'Atelier » niçois qui, au Grand Palais à Paris, marquent le Salon de la Jeune Peinture de leur participation « jeune et humaniste »[16] - que Gérard Xuriguera situe l'artiste, avec notamment Pierre Buraglio, Dominique Thiolat, Lionel Godart, Tony Soulié, Marcel Alocco, Christian Sorg, Christian Bonnefoi, Pierrette Bloch, Denis Castellas, Jean Mazeaufroid, Jean-Paul Huftier et Laura Lamiel, parmi les figures émergentes qui s'inscrivent dans le renouveau de l'art abstrait en obéissant « à des pulsions et à des savoirs qui ne sont plus symboliques, puisqu'ils entendent démonter les mécanismes de la peinture, où l'idéologie n'interfère peut-être plus, où les sentiers tortueux de la théorie ne sont peut-être plus aussi contraignants, mais tous ont conscience d'appartenir à une génération qui a eu le mérite de poser des questions nécessaires et essentielles à l'objet de leur représentation »[17].

Observant en 1990 que l'histoire de la peinture est bien connue de l'artiste, Mireille Kreitmann suggère que « l'idée avouée de Lanneau est de retrouver le mystère de la peinture et de renouer avec le spirituel… Il se réfère au Quattrocento, il comprend la lumière chez Rembrandt et le lien des espaces chez Picasso. Il a le sens aigu du baroque dans sa façon de pénétrer l'espace en profondeur, de suggérer le mouvement »[8].


Retour à Nice


Berre-les-Alpes
Berre-les-Alpes
Peillon
Peillon
Centre international de Valbonne, Sophia Antipolis
Centre international de Valbonne, Sophia Antipolis

L'exposition de Patrick Lanneau à la Galerie Françoise Vigna en mai 2000 marque son retour dans la région niçoise. « Des couleurs, des rythmes, et une matière en pleine expression "peinte" » y observe Michel Gaudet qui perçoit chez l'artiste une « science des tonalités chaudes ou froides, une sensualité et une sensibilité dont Henri Matisse assortissait la texture », pour conclure que « la vue absorbe une incandescence telle que le bleu, le jaune ou toute autre couleur chante en majeur »[18].

Installé successivement à Berre-les-Alpes et à Peillon, Patrick Lanneau enseigne à l'école municipale d'arts plastiques (villa Thiole) de Nice jusqu'en 2016, effectuant également des interventions en arts plastiques à l'École supérieure d'arts plastiques de Monaco (pavillon Bosio) en 2000-2001, au Centre international de Valbonne de Sophia Antipolis de 2001 à 2003 et à la Fondation Lenval de Nice en 2004.

Dans cette période plus récente, constate France Delville, il met à profit le « travail solitaire pour apprivoiser les toiles achevées avec le temps, et, de cette vue d'ensemble, se dégagent de nouveaux mouvements dans les nombreux espaces d'un même tableau, plus fluides, plus immatériels comme la transparence de l'air et de l'eau »[19]. Lors de l'exposition Sur la piste des éléments en 2012 au château de Carros (les toiles de Patrick Lanneau s'y confrontent aux sculptures et installations de Frédérique Nalbandian, amie enseignante elle aussi à la villa Thiole), l'artiste confie : « je ne sais toujours pas comment la couleur existe vraiment, la matière encore moins. L'acte de peindre est une tentative pour comprendre comment la lumière, la couleur pénètrent en nous, pour nous renseigner sur le monde »[20]. Placé au seuil de cette même exposition, un texte de Sophie Braganti, commissaire, avertit : « pas de mysticisme manifeste mais une présence implicite du sacré, de l'esprit, d'un ailleurs ici bas. Quelque chose de fort qui nous guide, indépendant de notre volonté. Dans une sorte de silence en mouvement. Une douce brutalité. une éloquente absence tellement humaine »[21].


Œuvres



Estampes



Contributions bibliophiliques


Michel Butor
Michel Butor
Gilles Lades
Gilles Lades

Tondi (peintures)



Sculptures


Les sculptures de Patrick Lanneau, bronzes de petits formats (années 1990), reprennent les signes récurrents de son œuvre peint : portiques, étoiles, rochers, formes pyramidales et courbes[21].


Couverture de presse


Dans son éditorial de Télérama n°2137 du 26 décembre 1990, sous le titre « L'espoir malgré tout », Marc Lecarpentier annonce l'exposition Pour Télérama de Patrick Lanneau au mois de janvier suivant chez Area à Paris et donne sens, dans la perspective d'une guerre imminente qui est alors installée dans les esprits, au choix par l'hebdomadaire d'une toile de Patrick Lanneau pour sa page de couverture Bonne année : « l'œuvre de Patrick Lanneau qui ouvre avec Télérama l'année nouvelle évoque sans emphase le monde tourmenté dans lequel il faut bien se mouvoir. Au bout du chemin accidenté, 1991 explose en volutes inquiétantes, mais lumineuses, comme s'il fallait toujours partager nos existences entre l'angoisse et la joie »[22].


Vidéos



Expositions



Expositions personnelles


Grange de Meslay, Parçay-Meslay, 1973
Grange de Meslay, Parçay-Meslay, 1973
Musée d'Art moderne de la ville de Paris, 1981
Musée d'Art moderne de la ville de Paris, 1981
Hippodrome de Douai, 1993
Hippodrome de Douai, 1993
Maison des arts et loisirs, Laon, 1994
Maison des arts et loisirs, Laon, 1994

Expositions collectives


Musée d'Art et d'Industrie de Saint-Étienne, 1980
Musée d'Art et d'Industrie de Saint-Étienne, 1980
Église des Célestins, Avignon, 1981
Église des Célestins, Avignon, 1981
Musée des Beaux-Arts de Tours, 1981
Musée des Beaux-Arts de Tours, 1981
Musée cantonal des beaux-arts de Lausanne, 1984
Musée cantonal des beaux-arts de Lausanne, 1984
Acropolis, Nice, 1985
Acropolis, Nice, 1985
Musée des Beaux-Arts de Nice, 1990
Musée des Beaux-Arts de Nice, 1990
Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, 1991
Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, 1991
Ludwig Forum für Internationale Kunst, Aix-la-Chapelle, 1993
Ludwig Forum für Internationale Kunst, Aix-la-Chapelle, 1993
Église Saint-Germain-l'Écossais d'Amiens, 1998
Église Saint-Germain-l'Écossais d'Amiens, 1998
Orangerie du Luxembourg, Paris, 2002
Orangerie du Luxembourg, Paris, 2002
Château de Carros, 2012
Château de Carros, 2012
Musée d'Art de Toulon, 2015
Musée d'Art de Toulon, 2015
Chapelle de l'Observance, Draguignan, 2018
Chapelle de l'Observance, Draguignan, 2018
Abbaye Saint-Pierre de Brantôme, 2022
Abbaye Saint-Pierre de Brantôme, 2022

Citations



Dits de Patrick Lanneau



Réception critique


Alin Avila
Alin Avila
Sophie Braganti
Sophie Braganti
Ben
Ben

Collections publiques



Belgique



France



Lettonie



Pays-Bas



Suisse



Collections privées


Christa Murken (de)
Christa Murken (de)

Allemagne



France


Ben
Ben

Luxembourg



Références


  1. Murielle Cachin, « Éric de Tarragon, Patrick Lanneau - Manoir de Cologny, deux jeunes peintres », Tribune Rives-Lac, mars 1996.
  2. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.8, p. 254.
  3. Jean-Marc Réol, « Regards », Exposition Hélène Jourdan-Gassin - Regard sur une collection, dossier de presse, vile de Nice, p. 8
  4. Alin Avila (préface), Patrick Lanneau, Sophie Braganti, Olivier Céna, Gilles Gontier, Sylvette Maurin, Alain Pusel et Jean-Claude Silbermann, Patrick Lanneau - Peintures 1979-1993, éditions Ramsay, 1993.
  5. Xavier Girard, « L'Atelier », Art press, n°52, octobre 1981.
  6. Geneviève Breerette, « Jeunes artistes français à l'ARC - Violence et pluie d'étoiles », Le Monde, 12 décembre 1981.
  7. Serge Panarotto, Ben, Warhol et la Figuration libre, 10 juin 2017
  8. Mireille Kreitmann, Patrick Lanneau, éditions de la Maison des Arts de Créteil, 1990.
  9. Pierre Cabanne, « L'un invente un théâtre, l'autre parodie le mythe », Le Matin, 28 mars 1984, et « Çà se passe rive gauche », France-Soir, 31 mars 1984.
  10. Guy Boyer, « Décès du marchand d'art contemporain Lucien Durand », Connaissance des arts, 29 décembre 2020
  11. Olivier Céna (texte) et Fabrice Deguy (photos), Les artistes du 91 quai de la Gare, Schnepp éditeur, 1994.
  12. Françoise Monnin, « Le seigneur Lanneau », Muséart, n°21, juin 1992, pp. 107-108.
  13. Patrick Lanneau, Départ, vidéo, 2005, visionner en ligne (source : YouTube ; durée : 6'23")
  14. Frac Centre-Val de Loire, Patrick Lanneau dans les collections
  15. Pierre Cabanne, « Les années 80 », L'art du vingtième siècle, éditions Aimery Somogy, 1982, p. 287.
  16. Francis Parent et Raymond Perrot, Le salon de la Jeune Peinture - Une histoire, 1850-1953, éditions Jeune Peinture / Imprimeurs libres, 1983, p. 231.
  17. Gérard Xuriguera, Regard sur la peinture contemporaine - La création picturale de 1945 à nos jours, Arted, 1983, p. 230.
  18. Michel Gaudet, « Les jardins de Lanneau », Patriote Côte d'Azur, juin 2000.
  19. France Delville, « Chapitre 56 (Part.II) - Sur la piste des éléments », Art Côte d'Azur, 2012
  20. France Delville, « Chapitre 56 (part.III) - Sur la piste des éléments », Art Côte d'Azur, 2012
  21. France Delville, « Chapitre 56 (Part.I) - Sur la piste des éléments », Art Côte d'Azur, 2012
  22. Marc Lecarpentier, « Edito - L'espoir malgré tout », Télérama, n°2137, 26 décembre 1990, p. 5.
  23. Ni dehors ni dedans, vidéo, visionner en ligne (source : YouTube ; durée : 7'40")
  24. Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001, p. 704.
  25. Pierre Imbert, « Patrick Lanneau : sous le soleil… pas exactement », La Nouvelle République du Centre-Ouest, octobre 1984.
  26. Olivier Céna, « Intérieur nuit - Patrick Lanneau à la Maison des Arts de Créteil », Télérama, n°2126, 10 octobre 1990.
  27. Olivier Céna, « Patrick Lanneau », Passerelles - Magazine du C.A.C. d'Annecy, n°15, février 1995.
  28. Claude Canova, « Patrick Lanneau expose », Le Dauphiné libéré, 16 février 1991.
  29. Stéphane Doncque, « Superbe exposition de Patrick Lanneau au C.A.C. de Bonlieu », L'Essor savoyard, 22 février 1991.
  30. Marielle Ernould-Gandouet, « Patrick Lanneau - Dix ans de parcours », L'Œil, n°442, juin 1992.
  31. Julie Carpentier, « Patrick Lanneau », Dernières Nouvelles d'Alsace, 2 avril 1991.
  32. Christian Bontzolakis, « Poser la couleur », Jardin des modes, juin-juillet 1992.
  33. Isabel Haddad, « Patrick Lanneau - Sur les chemins de la lumière », Artension, n°33, été 1992.
  34. « Patrick Lanneau, la Conciergerie Gounod », L'art de Nice, 6 novembre 2015
  35. Galerie Eva Vautier, Patrick Lanneau, présentation de l'exposition, 2016
  36. Marc Sanchez, « La création à Nice, 1952-1980 », Nice à Berlin, éditions DAAD, Berlin, 1980.
  37. Musée d'Art et d'Industrie de Saint-Étienne, Après le classicisme, présentation de l'exposition, 1980
  38. Fondation Cartier pour l'art contemporain, Sur les murs, présentation de l'exposition, 1986
  39. Sylvie Montoire, « Badoit : l'art au menu », Télérama, mars 1991.
  40. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz - Estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992, p. 246.
  41. Axel et Christa Murken, Romantik in der Kunst der Gegenwart - Sammlung Murken, Wienand Verlag, Cologne, 1993.
  42. Harry Bellet, « Découvertes - Quelques beaux restes », Le Monde, 24 mars 1994, p. 15.
  43. Paris Art, Hélène Jourdan-Gassin - Regard sur une collection, avril 2008
  44. Renaud Ferrari, « Les collections du MAMAC à la Galerie des Ponchettes », Nice-Premium, 7 novembre 2011
  45. « Lieu d'art : la Maison des arts de Carcès cultive les arts », Art Côte-d'Azur, 2012
  46. Centre d'art contemporain du château de Carros, Sur la piste des éléments - Patrick Lanneau, Frédérique Nalbandian, présentation de l'exposition, 2012
  47. Sophie Braganti, « Frédérique Nalbandian, Patrick Lanneau - Sur la piste des éléments : dialogues, correspondances et asymétries », Visualimage, 12 juillet 2012
  48. CirCa, Seize artistes, années 89, présentation de l'exposition, 2013
  49. Musée d'Art de Toulon, Délices d'artistes, présentation de l'exposition, 2015
  50. Pôle arts plastiques de la ville de Six-Fours-les-Plages, Une partie du fonds du musée d'Art de Toulon à la batterie du Cap Nègre, 24 juillet 2016
  51. Galerie Circa, Autour de l'Afrique, présentation de l'exposition, 2016
  52. Le 109, Ben et ses invités, présentation de l'exposition, 2019
  53. Centre international d'art contemporain du château de Carros, Sortir de sa réserve, présentation de l'exposition, 2020
  54. Maison Max-Ernst, Quatre peintures de grand format de la collection du Pin perdu, annonce de l'exposition, 3 juillet 2021
  55. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, p. 518.
  56. Ben, « Il est trop tard », News letter, 25 octobre 2017.
  57. Musée de l'hospice Saint-Roch, Patrick Lanneau dans les collections
  58. Musée d'Art moderne de la ville de Paris, Patrick Lanneau dans les collections
  59. Sophie Braganti, « Patrick Lanneau », Mes textes sur des artistes et des expositions, 16 août 2019
  60. C.H.U. de Nice, direction de la communication, culture, documentation, Culture et actions artistiques au C.H.U. de Nice, juillet 2015, p. 16
  61. De Baecque et Associés, catalogue de la collection Anne Roger, Marseille, 19 novembre 2014.

Annexes



Bibliographie



Radiophonie



Liens externes





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