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Leonor Fini, pseudonyme d’Eleonor Fini, née à Buenos Aires (Argentine) le (ou 1907 pour quelques sources) et morte à Aubervilliers le , est une artiste peintre surréaliste, graveuse, lithographe, décoratrice de théâtre et écrivaine française d'origine italienne.

Leonor Fini
Leonor Fini photographiée par Carl Van Vechten en 1936.
Naissance

Buenos Aires
Décès
(à 87 ans)
Aubervilliers
Sépulture
Cimetière de Saint-Dyé-sur-Loire (d)
Nom de naissance
Eleonor Fini
Nationalités
Argentine
Française
Activités
Peintre, scénographe, graveuse, designeuse, créatrice de bijoux, illustratrice, costumière, écrivaine
Représentée par
Artists Rights Society, Didier Ltd (d)
Lieux de travail
Mouvement
Surréalisme
Site web

Biographie



Enfance austro-hongroise et jeunesse italienne


Vue de Trieste.
Vue de Trieste.
Umberto Saba.
Umberto Saba.
La Chevauchée des Amazones, mosaïque d'Achille Funi et Leonor Fini.
La Chevauchée des Amazones, mosaïque d'Achille Funi et Leonor Fini.
Italo Svevo.
Italo Svevo.
Roberto Bazlen.
Roberto Bazlen.

Eleonor Fini naît du mariage d'Herminio Fini, riche homme d'affaires argentin, et de Malvina Braun, native de Trieste. La mésentente conjugale fait que, dix-huit mois après la naissance de l'enfant, sa mère Malvina, fuyant la vaste demeure de Buenos Aires, située sur une île dont Herminio Fini est propriétaire et emmenant sa fille, revient à Trieste, alors toujours située dans l'Empire austro-hongrois (la ville deviendra italienne en 1921)[1]. Eleonor Fini  les siens l'appellent « Lolò »  passe de la sorte son enfance (les tentatives de kidnappings répétées sans succès par son père afin de la ramener en Argentine contraignent à ce qu'on la travestisse en garçon pendant des années) et son adolescence auprès de sa mère et de sa famille maternelle.

Dans un milieu bourgeois très cultivé, elle est « enfant chouchoutée, mais impossible, renvoyée des écoles et se nourrissant des trésors de la bibliothèque familiale »[2] : son oncle Ernest Braun, restitue Valentina Zacca, « peut être considéré comme le pygmalion de son éducation artistique. Homme de grande culture, il détient un nombre de livres tellement grand qu'il construit dans sa maison une vraie bibliothèque où Eleonor goûte la philosophie du déguisement et l'ivresse du devenir et de l'apparence prêchée par Friedrich Nietzsche »[3].

Les influences viennoises et italiennes se télescopent à Trieste et elle acquiert de la sorte une culture cosmopolite, baigne dans les cercles littéraires et intellectuels d'avant-garde propres à la ville et empreints de la pensée de Sigmund Freud, fréquente ainsi Gillo Dorfles, Umberto Saba, Italo Svevo et Roberto Bazlen[4],[5], s'intéressant également aux « visions écorchées de Max Klinger ou de Gustav Klimt »[2]. Rejetant les études juridiques auxquelles sa famille la destinait, elle commence à peindre à l'âge de quinze ans, suit également pendant une courte période des cours d'art dramatique.

C'est dans son enfance[6],[7] que Leonor Fini puise les racines de sa personnalité en évoquant elle-même : « encore enfant, d'un jour à l'autre, j'ai découvert l'attrait des masques et des costumes. Se costumer, c'est l'instrument pour avoir la sensation d'un changement de dimension, d'espèce, d'espace. Se costumer, se travestir est un acte de créativité. Et cela s'applique à soi-même qui devient d'autres personnages ou son propre personnage. Il s'agit de s'inventer, d'être mué, d'être apparemment aussi changeant et multiple qu'on peut se sentir à l'intérieur de soi. C'est l'extériorisation en excès de fantasmes qu'on porte en soi, c'est une expression créatrice à l'état brut »[8].

Généralement dite autodidacte, Nadia Pastorcich la restitue cependant comme introduite fort jeune dans le monde des artistes de Trieste, la disant élève d'Edmondo Passauro (1893-1969) et citant parmi ses tout premiers tableaux ses portraits des peintres Carlo Sbisà (1899-1964) et Arturo Nathan (it) (1891-1944)[9].

Elle quitte sa famille à 17 ans pour s'installer à Milan où se tient sa première exposition personnelle en 1929, révélant une peinture « s'astreignant à la discipline austère de l'art gothique et de la Renaissance italienne »[10], s'orientant ainsi vers le classicisme et la peinture tonale, à l'exemple de Carlo Carrà. Elle travaille avec Achille Funi à la mosaïque La Chevauchée des Amazones qui sera présentée en 1933 à la 5e Triennale se tenant au palazzo dell'Arte de Milan[11].


À la rencontre des surréalistes


Filippo De Pisis.
Filippo De Pisis.
L'hôtel de Marle, rue Payenne à Paris, où Leonor Fini s'installe en 1935.
L'hôtel de Marle, rue Payenne à Paris, où Leonor Fini s'installe en 1935.

Pour rejoindre le prince Lorenzo Lanza del Vasto, frère de Giuseppe (auteur du Pèlerinage aux sources), rencontré à Milan et dont elle est tombée amoureuse, Leonor Fini quitte en 1931 l'Italie pour Paris par le même train que Filippo De Pisis qui va l'introduire dans les salons de Robert de Montesquiou et d'Anna de Noailles et la mettre en relations avec Jules Supervielle, Giorgio de Chirico, Max Jacob, André Breton et les surréalistes[12]. Elle ne partage que brièvement la vie de Lorenzo Lanza del Vasto, s'en séparant au printemps 1932 pour André Pieyre de Mandiargues chez qui elle s'installe, dans un premier temps au 37, boulevard Saint-Germain où vit également Henri Cartier-Bresson, ami d'enfance de Mandiargues. Tous les trois visitent l'Italie du Nord lors de l'été 1932 et en 1933[13] : elle pose pour le Nu dont on ne voit pas le visage, photographié dans la mer par Cartier-Bresson en 1932, tandis que sur une autre photographie de Cartier-Bresson, en 1933, André Pieyre de Mandiargues, de dos, semble s'accoupler avec elle  dont on ne voit toujours pas le visage  dans la Méditerranée[14],[15].

La première exposition personnelle à Paris de Leonor Fini se tient en novembre- à la galerie Bonjean qu'à Paris dirige Christian Dior, l'œuvre maîtresse y étant Le Travesti à l'oiseau, portrait d'André Pieyre de Mandiargues avec qui, en 1935, elle s'installe à l'hôtel de Marle situé au 11, rue Payenne[13].

S'inspirant des théories surréalistes, elle expérimente les « dessins automatiques et métamorphiques ». Elle se lie d'amitié avec Georges Bataille, Victor Brauner, Man Ray, Paul Éluard et Max Ernst  avec qui elle connaît une liaison amoureuse[16]  sans jamais intégrer le groupe, n'ayant aucun goût, selon elle, pour les réunions ni les manifestes, ce qui lui vaut l'inimitié d'André Breton[17]. Si elle expose ces dessins avec les surréalistes à la galerie Les Quatre chemins à Paris et aux New Burlington Galleries à Londres, elle va explorer en solitaire un univers onirique mettant en scène des personnages aux yeux clos  des femmes le plus souvent  ou des jeunes gens androgynes, alanguis face à des sphinges protectrices, évoluant ou rêvant dans un climat de fête cérémonielle où l'érotisme flirte avec la cruauté[18]. Chez elle, la femme est sorcière ou prêtresse, belle et souveraine.


Les années de guerre


Salvador Dalí en 1939.
Salvador Dalí en 1939.
Maison de Max Ernst à Saint-Martin-d'Ardèche.
Maison de Max Ernst à Saint-Martin-d'Ardèche.
Alberto Moravia et Elsa Morante.
Alberto Moravia et Elsa Morante.

La première exposition américaine personnelle de Leonor Fini a lieu en février-mars 1939 dans la même Julien Levy Gallery de New York qui, en 1936 lors du premier voyage de l'artiste aux États-Unis, l'accueillait pour une exposition partagée avec Max Ernst[19].

La Seconde Guerre mondiale la fait s'éloigner de Paris : elle passe une partie de l'été 1939 avec Max Ernst et Leonora Carrington dans leur maison de Saint-Martin-d'Ardèche, vit ensuite quelques mois à Arcachon avec André Pieyre de Mandiargues. Ils y côtoient Salvador Dalí et son épouse Gala, puis elle s'établit à Monte-Carlo en 1940, commençant à y peindre les portraits qui vont pendant plus de vingt ans constituer une part importante de son œuvre, avec ceux notamment de Jacques Audiberti, Jean Genet, Anna Magnani, Valentina Cortese, Enrico Colombotto Rosso (it), Mona von Bismarck, Maria Félix, Maria Casarès, Suzanne Flon, Alida Valli, Margot Fonteyn, Silvia Monfort, Meret Oppenheim, Eddy Brofferio, Jean Schlumberger, Marcel Jouhandeau, Jacques Dufilho, Roger Peyrefitte, Hector Bianciotti, Klaus Mann, Alberto Moravia, Luchino Visconti[17]. Sur une piste de danse de Monte-Carlo, elle fait la connaissance du diplomate italien Stanislao Lepri (1905-1980) qui devient immédiatement son compagnon, qu'elle peindra et avec qui elle part s'installer à Rome[20], s'y insérant dans l'entourage d'Elsa Morante, Alberto Moravia, Federico Fellini et l'assistant de ce dernier, Pier Paolo Pasolini.

Les premières contributions bibliophiliques de Leonor Fini datent de cette période monégasque et romaine, de même que ses toutes premières créations de décors et de costumes sont destinées à quatre pièces produites au Teatro Quirino de Rome. Elle ne cessera d'explorer ces deux univers que sont l'estampe d'une part, le théâtre, le ballet et l'opéra d'autre part, après la Libération et son retour à Paris.


L'ascension


Le palais Labia à Venise, théâtre du « bal du siècle ».
Le palais Labia à Venise, théâtre du « bal du siècle ».

De nombreux poètes, écrivains, peintres et critiques vont lui consacrer des monographies, essais, préfaces d'expositions ou poèmes dont Jean Cocteau, Giorgio De Chirico, Éluard, Ernst, Alberto Moravia… Quoique de façon parfois critique, des écrivains ou des peintres comme Ivan Chtcheglov, Roger Langlais ou Jacques Moreau dit Le Maréchal s'intéressent à certaines de ses œuvres, notamment ses paysages fantastiques. Stanislao Lepri, qu'elle encourage à peindre, la rejoint à Paris en 1950. Roger Peyrefitte restitue sa rencontre en 1951 avec l'écrivain polonais Constantin Jelenski en se revendiquant comme en étant à l'origine : « c'est moi qui ai été, sans le vouloir, l'artisan de cette rencontre. J'avais connu ce garçon à Rome puis, toujours à Rome, je l'ai présenté à Leonor et les voilà unis pour la vie »[21].

Nonza, le couvent Saint-François.
Nonza, le couvent Saint-François.
Leonor Fini.
Leonor Fini.
Saint-Dyé-sur-Loire.
Saint-Dyé-sur-Loire.

Leonor Fini séjourne souvent retirée du monde, mais non sans festivités : les grands bals costumés des années 1946-1953, où ses apparitions « en hibou royal, en félin gris ou en reine des enfers » sont spectaculaires, font d'elles une personnalité médiatique, lui valant entre autres en la couverture du magazine américain This Week où elle est photographiée portant un masque de hibou[16]. On relève son nom le , à côté de ceux de Jean Cocteau, Christian Dior, Orson Welles, Salvador et Gala Dalí, Barbara Hutton, Alexis de Redé, de l'Aga Khan et du marquis de Cuevas, parmi les 1 500 invités de Charles de Beistegui au mythique « Bal du siècle » du palais Labia de Venise[22]. Elle s'en explique : « se costumer, se travestir est un acte de créativité. Et cela s'applique à soi-même qui devient d'autres personnages ou son propre personnage. Il s'agit de s'inventer, d'être mué, d'être apparemment aussi changeant et multiple qu'on peut se sentir à l'intérieur de soi. C'est l'extériorisation en excès de fantasmes qu'on porte en soi, c'est une expression créatrice à l'état brut »[23].

Elle se réfugie cependant dans ses maisons de Seine-et-Marne (au 97, grande rue à Villevaudé), de Corse (au couvent Saint-François près de Nonza qu'elle découvrira en 1956, où elle s'installe et où elle revient ensuite peindre chaque été[24]), du Loir-et-Cher (la propriété de Saint-Dyé-sur-Loire dont elle fera l'acquisition en 1972), étant également reçue chez Lise Deharme à Montfort-en-Chalosse. S'installant au 8, rue La Vrillière en 1960[25], elle partagera sa vie et son atelier avec Stanislao Lepri et Constantin Jelenski, dans une relation à trois qui demeurera toute leur vie durant.

Leonor Fini peint alors beaucoup, une large part de chacune de ses journées la trouvant devant son chevalet, pour paradoxalement ne présenter chaque année au public qu'un très petit nombre de toiles, en même temps qu'elle s'investit fortement dans la bibliophilie par la gravure et la lithographie. De 1950 à 1995, on segmente sa création picturale en différents thèmes ou périodes : Les gardiennes et L'époque minérale (1950-1960), Les grands chapeaux de clarté, Les trains, Les belles dames sans merci (1960-1970), Les jeux de vertige et Les cérémonies (1970-1980), la période dite « nocturne », Les fables, Les passagers et Les somnambules (1980-1995)[17]. Mais elle voue également une adoration aux chats et ce n'est pas sans lyrisme qu'elle se confie sur leur présence permanente dans sa vie : « comme ces statues baroques qui représentent le fleuve égyptien envahi de putti, ses confluents, j'ai le privilège, dès que je m'allonge, de devenir le Nil des chats »[26]. Elle exécute ainsi de nombreux tableaux, dessins, aquarelles et estampes en hommage aux chats, publiant même en 1977 un livre entièrement consacré à sa passion pour les félidés, Miroir des chats, où elle confirme : « je peins les visages des chats comme ceux des humains, sans les ennuyer en les faisant poser. Et ce sont eux ma forme préférée »[27],[28],[29].

Jacques Busse et Christophe Dorny, analysant l'ensemble de l'œuvre, voient à le rattacher incontestablement et intégralement au surréalisme, à l'encontre du désaveu de celui-ci par l'artiste : « quoi ou qui qu'elle peigne, c'est toujours le reflet du plus profond d'elle-même qu'elle y guette, avide et anxieuse de cette interrogation du miroir qui la traque quand elle croit le fuir », Leonor Fini elle-même confiant pour sa part que « l'important, c'est la perte de conscience, le naufrage heureux de soi. Le va-et-vient d'une balançoire commence par l'euphorie et le rire pour devenir absence et vertige, d'où la difficulté de l'arrêter : l'attraction du vide »[30].

Leonor Fini meurt le dans un hôpital de la banlieue parisienne[31],[32], sans jamais avoir cessé de peindre et d'écrire[19], faisant la demande ultime à ses héritiers de ne vendre son appartement qu'après la mort du dernier de ses 17 chats : « après elle, ils coulèrent une existence paisible dans le décor où ils avaient été heureux en compagnie de celle qui sut si bien les immortaliser »[33]. Dans son article nécrologique, The Times évoque alors « sa beauté physique, son art érotique et ses légions d’amoureux dont les noms se lisent comme un appel des talents littéraires et artistiques de cette brillante époque »[34]. Elle repose avec Stanislao Lepri et Constantin Jelenski au cimetière de Saint-Dyé-sur-Loire[35].


Postérité


Saisies par les grands photographes, de Henri Cartier-Bresson à Cecil Beaton, les images qui demeurent de l'artiste la restituent, dans son quotidien, perpétuellement costumée, déguisée. On lit sous sa plume : « on me dit : vous auriez dû être actrice. Non. Pour moi, seule l'inévitable théâtralité de la vie m'intéresse »[23]. Pour Valentine Vacca, « le seul et unique intérêt de Leonor Fini fut donc la théâtralité de la vie, réputée selon elle inévitable et pour ce motif orchestrée dans le cours de sa continue spectacularisation du soi »[3].

« Mutante, elle aura joué avec les genres, du féminin au masculin, de la femme au félin, de l'humain au végétal. Autant de marques distinctives qui ont donné l'adjectif de finien »[36].


Œuvres



Peinture


 La Peinture et l'Architecture (avant 1939 ? ), deux hst marouflée sur bois (171 x 70 cm); numéros 81 et 82 du catalogue dela vente aux enchères publiques à Paris-Drouot  du 28/06/1993 (reprod.);

Mobilier : armoire anthromorphe peinte, aux deux vantaux ornés de figures fantastiques mi-femmes / mi-oiseaux réunies par leur chevelure, conçue avec les panneaux précités pour la 1ère exposition du marchand d'art Léo Castelli place Vendôme à Paris avant 1939, qui comprenait une armoire de Max Ernst et une table de Meret Oppenheim (n°88 du catalogue - reprod. coul. en couverture); ce meuble est reproduit dans une photographie de George Hoyningen Huene représentant l'artiste en robe de Schiaparelli (1/09/1939), qui fut également publiée la même année par Harper's Bazaar New-York.


Vitrail



Contributions bibliophiliques


Edgar Allan Poe.
Edgar Allan Poe.
Charles Baudelaire.
Charles Baudelaire.
Marcel Schwob.
Marcel Schwob.
Rachilde.
Rachilde.
Comtesse de Ségur.
Comtesse de Ségur.
Oskar Panizza.
Oskar Panizza.
Gérard de Nerval.
Gérard de Nerval.

Décor et costume de scène


Luigi Pirandello.
Luigi Pirandello.
Ernő Dohnányi.
Ernő Dohnányi.
Gian Carlo Menotti.
Gian Carlo Menotti.
Jean Genet.
Jean Genet.

Costume pour le cinéma


Marcello Mastroianni dans Huit et demi.
Marcello Mastroianni dans Huit et demi.

Décor de téléfilm



Design et art graphique


Le château Mouton Rothschild à Pauillac.
Le château Mouton Rothschild à Pauillac.

Publications (avec ou sans illustrations de l'artiste)



Correspondance



Expositions



Expositions personnelles


Palais des beaux-arts de Bruxelles.
Palais des beaux-arts de Bruxelles.
Casino de Knokke-le Zoute.
Casino de Knokke-le Zoute.
Musée d'Art de Fukuoka.
Musée d'Art de Fukuoka.
Palais de la Méditerranée, Nice.
Palais de la Méditerranée, Nice.
Château de Vascœuil.
Château de Vascœuil.
Casino-Kursaal, Ostende.
Casino-Kursaal, Ostende.
Musée Ingres, Montauban.
Musée Ingres, Montauban.
Museum Villa Stuck, Munich.
Museum Villa Stuck, Munich.
Maison Fompeyrouse, Cordes-sur-Ciel.
Maison Fompeyrouse, Cordes-sur-Ciel.
Nagoya City Art Museum.
Nagoya City Art Museum.
Musée de l'érotisme, New York.
Musée de l'érotisme, New York.

Expositions collectives



Réception critique et témoignages


Jean Cocteau.
Jean Cocteau.
Roger Peyrefitte.
Roger Peyrefitte.

Récompenses et distinctions



Hommages



Voirie


Jardin de l'Hôtel-Salé - Léonor-Fini à Paris.
Jardin de l'Hôtel-Salé - Léonor-Fini à Paris.

Haute couture



Musique de chambre



Numismatique



Iconographie



Collections publiques



Belgique



Canada



États-Unis



France



Italie



Japon



Pologne



Royaume-Uni



Suisse



Collections particulières


West Dean House (en).
West Dean House (en).

Références


  1. Femmes peintres, Leonor Fini.
  2. >Philippe Mathonnet, « Leonor Fini entre grâce et profondeurs », Le Temps, 24 avril 2001.
  3. (it) Valentina Vacca, L'arte del tra(s)vestire in Leonor Fini. Un percorso nella costumica scenica tra Roma e Parigi, Université Paris-Ouest La Défense, 22 avril 2015.
  4. (en) Valentina Vacca, « Leonor Fini: a unique case of well-rounded artist », Interdisciplinary Italy, 17 novembre 2016.
  5. (it) Instituto italiano di cultura, Bruxelles, Leonor Fini - Memorie Triestine, novembre 2017.
  6. Enfance dont des documents photographiques seront présentés lors de l'exposition Leonor Fini, l'Italienne de Paris au musée Revoltella de Trieste en 2009
  7. Musée Revoltella, Leonor Fini, l'Italienne de Paris, présentation de l'exposition, juillet 2009.
  8. Leonor Fini, Le livre de Leonor Fini. Peintures, dessins, écrits, notes de Leonor Fini, La Guilde du livre, Éditions Clairefontaine, 1975, p.41.
  9. (en) Nadia Pastorcich, « Leonor Fini : Life of an emblematic woman », Centoparole, 25 juillet 2016].
  10. Les Muses, encyclopédie des arts, Grange Batelière, 1972, vol.7, pp.2218-2220.
  11. Your own guide, Achille Funi - La Chevauchée des Amazones.
  12. Georges Férou, « La sulfureuse Leonor Fini », L'Humanité, 2 février 2008.
  13. Vincent Giroud, « Leonor Fini et Mandiargues, un roman inachevé », Non-Fiction, 22 mars 2011
  14. Perceval, Leonor Fini et André Pieyre de Mandiargues, 2/3, 25 février 2015.
  15. Michel Guerrin, « Cartier-Bresson, le photographe décisif », interview, Le Monde, 27 avril 2003.
  16. (en) Sarah Kent, « Leonor Fini : surreal thing », The Telegraph, 30 septembre 2009.
  17. Frédéric Ballester, Leonor Fini. Portraits, Cannes, Éditions de La Malmaison, 2002.
  18. Agnès de La Baumelle, « Leonor Fini », in Le Dictionnaire universel des créatrices, Éditions des Femmes, 2013.
  19. Giorgiana Colville, Scandaleusement d'elles. Trente quatre femmes surréalistes, Paris, Éditions Jean-Michel Place, 1999, pp.100-109.
  20. Weinstein Gallery, Leonor Fini, réalisme irréel.
  21. Roger Peyrefille, Propos secrets, Albin Michel, 1977, pp.122-123.
  22. Armelle Héliot, « Les grands bals de l'après-guerre : munificence et charité bien ordonnée », Le Figaro, 28 juillet 2017.
  23. José Alvarez (dir.), Le livre de Leonor Fini. Peintures, dessins, écrits, notes de Leonor Fini, Éditions Clairefontaine, 1975, pp.32-41.
  24. Lina Mistretta, « Leonor Fini. Bastia », L'Œil, 25 juin 2014.
  25. Plaque commémorative « Leonor Fini », 8 rue La Vrillière, Paris, sur djibnet.com.
  26. Histoires et légendes du chat, préface de Leonor Fini, Tchou, 1992 (lire en ligne).
  27. « Leonor Fini et ses dix-sept chats, source d'inspiration inépuisable », Micetto, 15 septembre 2015.
  28. Montmartre secret, Leonor Fini, chats, tableaux (1), 13 octobre 2011.
  29. Montmartre secret, Leonor Fini, chats, tableaux (2), 15 octobre 2011.
  30. Jacques Busse et Christophe Dorny, Dictionnaire Bénézit, Grûnd, 1999, vol.5, pp.466-467.
  31. « matchID - Moteur de recherche des décès », sur deces.matchid.io (consulté le )
  32. (it) Ulderico Munzi et Emilio Tadini, « Addio a Leonor Fini, furia italiana del surrealismo », Corriere della Sera, 20 janvier 1996.
  33. La Tribu des gatos, Les amis des gatos : Leonor Fini.
  34. (en) « Her physical beauty, her erotic art and her legions of lovers whose names read like a roll call of the literary and artistic talents of that brilliant age », Spaightwood Galleries, Leonor Fini.
  35. Landru cimetières, Le cimetière de Saint-Dyé-sur-Loire.
  36. Espérance Giral, « Les étranges passages de Leonor Fini », La Dépêche, 16 août 2001
  37. Marie-Thérèse Eiselé, « Les vitraux de l'ancienne église abbatiale Saint-Nabor », Cahier du pays naborien, n°18
  38. Andrea Oberhuber et Caroline Hogue, « "Le Poids d'un oiseau" de Lise Deharme et Leonor Fini : le poids d'une revenante », Le Livre surréaliste au féminin
  39. Christian Karoutzos, « L'Apocalypse de Saint-Jean », Galerie d'art KC
  40. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz. Estampes et livres d'artistes, Paris, BnF, 1992.
  41. (en) Schiaparelli Paris, Schiaparelli and the artists : Leonor Fini.
  42. Musée des arts décoratifs de Paris, Lendemain de fête, papier peint, création Leonor Fini.
  43. Château Mouton Rothschild, Millésime 1952, Leonor Fini.
  44. Perceval, « Il était une fois le féminin : Leonor Fini et André Pieyre de Mandiargues, 3/3 », Cherchez la femme, 2 mars 2015.
  45. « Les expositions à voir à Paris - Leonor Fini : femmes de rêve et matière de pierres précieuses », Connaissance des arts, n°85, mars 1959, p. 33.
  46. Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, p. 311.
  47. Galeries Minsky et Patrick Fourtin, Leonor Fini, œuvres majeures, 2014
  48. Galerie Minsky, Leonor Fini - Cherchez la femme, 2016
  49. Joseph Nechvatal, « The unclassifiable art of Leonor Fini, a true bohemian », Hyper Allergic, 13 janvier 2016
  50. « Leonor Fini : les premières années à Paris », Germain Pire, septembre 2017
  51. Galerie Minsky, Leonor Fini. Œuvres des années 1930, 2017
  52. Galerie Minsky, Leonor Fini - Portraits intimes, dossier de presse, 2018
  53. « Leonor Fini : les lettres à André Pieyre de Mandiargues », Le Figaro, 6 décembre 2010
  54. Institut français de Suède, Leonor Fini. Pourquoi pas ?, présentation de l'exposition, 2014
  55. Musée de Bastia, Vacances d'artistes. 1956, Leonor Fini à Monza, présentation de l'exposition, 2014
  56. « Dans la magie de Leonor Fini », Connaissance des arts, 28 novembre 2014.
  57. « Saint-Dyé : une exposition et un hommage à Leonor Fini », La Nouvelle République, 28 juin 2016
  58. Musée de l'Hospice Saint-Roch, Leonor Fini. Dessins et gravures, présentation de l'exposition, 2019
  59. Musée de l'érotisme, Theater of desire, 1930-1990
  60. (en) Daniel McDermon, « Sex, surrealism, and de Sade : the forgotten artist Leonor Fini », The New York Times, 6 novembre 2018.
  61. (en) Museum of Sex, Leonor Fini's erotic theater, 2019.
  62. « Les personnages fantastiques de Leonor Fini », La Nouvelle République, 1er mars 2019.
  63. Musée de l'Hospice Saint-Roch, Issoudun, Leonor Fini, présentation de l'exposition, mars 2019.
  64. Bernard Léchot, « L'univers mystérieux et artificiel de Leonor Fini », Swissinfo, 27 avril 2001.
  65. Bibliothèques-médiathèques de Metz, Et maintenant, aux fesses !, présentation de l'exposition, 2014
  66. (en) Claire Mead, « Dreamers awake à White Cube Bermondsey », Archives of Women Artists, 8 septembre 2017.
  67. « La Combraille à tire d'ailes - Pour s'envoler sur tous les tableaux », La Montagne, 16 août 2020
  68. Jean Cassou, Leonor Fini, Paris, Éditions Galerie Jacques Bonjean, 1932.
  69. André Pierre de Mandiargues, Masques de Leonor Fini, Éditions André Bonne, 1951.
  70. Jean Cocteau, Leonor Fini, Venise, Éditions Palazzo Reale, 1951.
  71. Patrick Waldberg, Le Surréalisme, Éditions d'art Albert Skira, Genève, 1962, pp.111-115.
  72. Jean Claude Dedieu, Léonor Fini. Fêtes secrètes, dessins, éditions du Regard, 1978.
  73. Jacques Audiberti, Leonor Fini, Paris, Hervas, 1990.
  74. (en) Ara H. Merjian, « Surrealist women », Art in America, 1er décembre 2018.
  75. « Haute couture : Dior célèbre la peintre surréaliste Leonor Fini », France-Info, 23 janvier 2018.
  76. Dior artistic director Maria Grazia Chiuri presents her haute-couture collection inspired by surrealist painter Leonor Fini, reportage, source : YouTube, visionner en ligne (durée : 0'55").
  77. Simon Corley, « Lucien Guérinel : "Le déjeuner de soleil" », ConcertoNet, 9 février 2011.
  78. Monnaie de Paris, Leonor Fini, médaille de Riccardo Scarpa.
  79. Nicoletta Colombo, Découverte du visage de Leonor Fini dans le "Portrait féminin" d'Achille Funi, musée Revoltella, 24 décembre 2008.
  80. (it) Eva, « Un mystère révélé au musée Revoltella : Achille Funi et Leonor Fini », Mondo del gusto, 3 janvier 2009.
  81. (it) « Leonor est la fille dans le portrait de Funi », Il Piccolo, 4 janvier 2009.
  82. Musée Robert Tatin, l'allée des géants.
  83. Site Leonor Fini, Les photographies de Leonor Fini.
  84. Musée royal d'art moderne à Bruxelles, Leonor Fini dans les collections.
  85. Musée de l'Hospice Saint-Roch, Le salon de Leonor Fini
  86. Éric Biétry-Rivierre, « En 2008, l'art féminin aura la cote », Le Figaro, 2 janvier 2008.
  87. « Quand Leonor Fini faisait salon », La Nouvelle République, 31 décembre 2011.
  88. France Fougère, « Une femme insolite : Leonor Fini telle que l'a connue René Vigo », cercle René-Vigo, 7 mai 2011.
  89. Collection Peggy Guggenheim, Leonor Fini.
  90. West Dean College, West Dean Collection
  91. Art Expo, La collection Kesauri.
  92. [PDF] L'Huillier, Paris, Collection Hector Pascual, hôtel Drouot, 16 octobre 2015.

Annexes



Bibliographie



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[de] Leonor Fini

Leonor Fini (* 30. August 1907 in Buenos Aires; † 18. Januar 1996 in Paris) war eine italienische surrealistische Malerin.[1]

[en] Leonor Fini

Leonor Fini (30 August 1907 – 18 January 1996) was an Argentinian born Italian surrealist painter, designer, illustrator, and author, known for her depictions of powerful and erotic women.[1]

[es] Leonor Fini

Leonor Fini[1] (Buenos Aires, Argentina, 30 de agosto de 1907[2]-París, Francia, 18 de enero de 1996[3]) fue una artista y pintora surrealista argentina.[4][5]
- [fr] Leonor Fini

[it] Leonor Fini

Leonor Fini (Buenos Aires, 30 agosto 1907 – Parigi, 18 gennaio 1996) è stata una pittrice, scenografa, costumista, scrittrice, illustratrice e disegnatrice italiana.

[ru] Фини, Леонор

Леонор Фини (фр. Leonor Fini; 30 августа 1908 (1908-08-30), Буэнос-Айрес — 18 января 1996, Париж) — аргентинская художница-сюрреалист, дизайнер, иллюстратор и автор, известная своими изображениями влиятельных и эротичных женщин[11].



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