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Le musée Ingres-Bourdelle, anciennement musée Ingres, est un musée d'art et d'archéologie installé dans l'ancien hôtel de ville, qui fut le palais épiscopal des évêques de Montauban, construit au XVIIe siècle en France.

Musée Ingres Bourdelle
Le musée vu du pont Vieux.
Informations générales
Type
Musée d'art
Ouverture
Surface
2 700 m²
Visiteurs par an
38 303 (2003)
67 810 (2004)
38 252 (2005)
43 093 (2006)
50 481 (2007)[1]
Site web
Collections
Collections
Jean Auguste Dominique Ingres
Antoine Bourdelle
Bâtiment
Architecte
Bernard Campmartin
Protection
 Classé MH (1910)
Localisation
Pays
 France
Commune
Adresse
19, rue de l'Hôtel-de-Ville
82000 Montauban
Coordonnées
44° 01′ 01″ N, 1° 21′ 06″ E
Géolocalisation sur la carte : Montauban
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France

Après un vaste chantier de rénovation et de modernisation, le musée Ingres-Bourdelle rouvre ses portes en . Seul musée consacré à Jean-Auguste-Dominique Ingres au monde, il abrite une importante collection de dessins, de peintures d'Ingres et de sculptures d'Antoine Bourdelle.


Historique



De la guerre de Cent Ans au XXe siècle


Alors que Montauban est aux mains des Anglais pendant la guerre de Cent Ans, le prince de Galles, Édouard Plantagenêt, décide la construction d'un château. Surnommé le Prince noir, il laissera son nom à la partie basse du musée qu'il a fait construire : la salle du Prince noir. Cité forte protestante pendant les guerres de religion, les huguenots renforcent les fortifications de la ville. Mais après la reprise de la ville par Richelieu, les fortifications sont abattues et le château détruit. Le site devient un terrain vague.

Peu de temps après, l’évêque Pierre de Bertier décide la construction d'un palais épiscopal de style classique sur les ruines de l'ancien château du Prince noir. L'édifice acquiert sa forme définitive avec en partie basse la salle médiévale du Prince Noir et en partie haute l'hôtel de style classique, le tout en brique, seul matériau disponible en abondance dans la cité montalbanaise. La construction du palais épiscopal va de pair avec la construction de la nouvelle cathédrale et vise à ré-instaurer durablement le catholicisme sur cette ancienne cité protestante[2].

Après la Révolution et la confiscation de l'hôtel épiscopal par les révolutionnaires, celui-ci devient l'hôtel de ville, puis est affecté à la fin du XIXe siècle à un musée. En effet, en 1851, Jean-Auguste-Dominique Ingres donna à la ville une partie de ses collections, copies, travaux d'élèves, vases grecs. La salle Ingres fut inaugurée en 1854. La mort d'Ingres le conduisit à l'enrichissement du musée constitué par le fonds d'atelier du peintre, notamment plusieurs milliers de dessins.

Le palais épiscopal fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [3].

Alors que la Seconde Guerre mondiale se prépare, un grand nombre d’œuvres quittent le musée du Louvre pour être cachées. C'est ainsi que le musée Ingres a servi temporairement de cachette pour La Joconde et un grand nombre d'œuvres du Louvre.

Un remaniement profond, conduit de 1951 à 1958, fit du musée Ingres un établissement moderne selon les conceptions de l'époque, et pourvu d'inventaires jusqu'alors inexistants.


XXIe siècle, le musée Ingres-Bourdelle


Agrandi, modernisé et digitalisé, le musée se déploie désormais sur 2 700 m2 avec de nouveaux espaces, une accessibilité renforcée, une nouvelle muséographie, un cabinet de conservation abritant les dessins d'Ingres, un étage entier consacré à l’œuvre d'Antoine Bourdelle, des salles pour les expositions temporaires. Le musée Ingres a profité de sa mue pour changer de nom et devenir le musée Ingres-Bourdelle, rendant ainsi hommage aux deux artistes que la ville a vus naître. Il existe d'autres lieux qui rendent également hommage à Antoine Bourdelle, tel que le Musée Bourdelle de Paris ou encore le Musée-jardin Bourdelle d'Égreville[4].

Après 36 mois de travaux et un investissement de 13,1 millions d'euros, le musée Ingres-Bourdelle rouvre ses portes au public le . La rénovation est confiée à l'agence d'architecture Bach N'Guyen.

Le musée est agrandi par la restitution du 2e niveau du corps central, l'ouverture au public d'un pavillon du 3e niveau et la création d'un espace d'accueil dans la cour, augmentent les surfaces accessibles au public de plus de 700 m2, soit plus de 30% de surface supplémentaire.

Le musée devient plus accessible avec la création de deux ascenseurs afin de faciliter l'accessibilité et la circulation dans le musée des personnes et des œuvres. L'accueil des groupes a maintenant un espace dédié.

De nouveaux services et espaces sont proposés avec une salle de conférence-auditorium, un salon de thé et une librairie-boutique. Un cabinet d'arts graphiques ouvert au public permet de conserver les fonds graphiques du musée.

Les espaces d'expositions permanentes et temporaires ont été entièrement repensés et réaménagés pour mettre en valeur les œuvres exposées et offrir aux visiteurs un parcours plus fluide au milieu des collections.


Collections


4 500 dessins, 44 peintures[5], un violon, ainsi que ses collections personnelles et sa documentation, tel est le patrimoine du musée de Montauban autour d'Ingres. Installé dans un édifice classé aux monuments historiques au cœur de Montauban, le musée abrite le legs de Jean-Auguste-Dominique Ingres, l'enfant prodige du pays. Créé au début du XIXe siècle et consacré à Ingres à la suite du legs du maître en 1867, le musée rouvre ses portes après trois ans de travaux sur une collection allant bien au-delà des deux artistes dont il porte le nom.

Outre les œuvres d'Ingres et de Bourdelle, le musée possède également une collection de peintures de la Renaissance à l'époque moderne, autrefois collection des évêques de Montauban, et plusieurs pièces d'archéologie locale datant de l'Antiquité ou du Moyen Âge[6].


Sous-sols


Portrait de Stéphanie Van Parys assis - Antoine Bourdelle
Portrait de Stéphanie Van Parys assis - Antoine Bourdelle

Le premier sous-sol (niveau -1) rend hommage au sculpteur Antoine Bourdelle, représenté dans toutes ses périodes par des marbres, bronzes, plâtres, par des maquettes et œuvres achevées. Le musée de Montauban possède la plus importante collection d’œuvres de Bourdelle en région : 70 sculptures et une centaine de pièces graphiques[réf. souhaitée] permettent de parcourir toute l’œuvre de l'artiste, depuis ses débuts, illustrant ses premiers pas de jeune sculpteur à Montauban, Toulouse puis Paris jusqu'à la fin de sa carrière, autour d'un ensemble unique par sa richesse et diversité.


Salle du four

D'Antoine Bourdelle


Salle des portraits

D'Antoine Bourdelle


Salles de l’Héraclès


Collections archéologiques

Les sous-sols du musée, vestiges de la place forte du XIVe siècle, abritent d'importantes collections archéologiques ainsi que des objets liés à l'histoire locale depuis l'époque gallo-romaine.

La salle du prince noir (niveau -2) présente des collections archéologiques de vestiges gallo-romains et de reliquats d'architecture de la ville de Montauban. Christ aux liens (XVe au XVIe siècle) provenant de Montech ; statuette dite Vénus pudique ; chapiteau jumelé de l'abbaye de Grandselve (XIIe au XIIIe siècle) ; Carreaux de terre cuite des années 1280-1290, installés autour de la dalle funéraire en marbre de Guilhem Jauffre (mort en 1299) à l'abbaye de Belleperche, évêque de Bazas ; chapiteau de l'abbaye de Moissac ; Masque d'Hercule en pierre formant la clef d'un arc de triomphe élevé de 1701-1869 à l'entrée du Pont-Vieux à Montauban pour commémorer la paix de Ryswick (1697).


Rez-de-chaussée


Les salles du rez-de-chaussée sont consacrées aux espaces d'expositions temporaires qui débouchent sur la librairie-salon de thé-boutique du musée.

Du au  : exposition Constellation Ingres Bourdelle, 33 œuvres, peintures et sculptures, ont été choisies dans les collections nationales autour de Jean-Dominique Ingres et Antoine Bourdelle.


Premier étage : Peintures du XIXe


Les salles du premier étage présentent des œuvres d'Ingres et celles de son époque. On y trouve de grandes compositions révélant l'influence de l'Antiquité et de Raphaël sur son art, mais aussi des œuvres de jeunesse, réalisées dans l'atelier de David ou à l'Académie de France à Rome dont il fut pensionnaire, puis directeur. Quelques études peintes et de célèbres portraits comme celui de Madame Gonse, complètent l'évocation de la longue carrière de l'artiste. Parmi les élèves d'Ingres qui suivent cette présentation, on note l'hommage rendu à Armand Cambon, peintre et ami d'Ingres, collectionneur passionné d'Orient et surtout premier directeur du musée de Montauban. Les dessins du maître, pour leur part, sont présentés par roulement au deuxième niveau, dans des meubles à tiroirs dont les tons de bois chêne composent un cabinet d'arts graphiques permettant des rapprochements avec des objets provenant des collections d'antiques d'Ingres. S'il existe plusieurs lieux consacrés à Bourdelle  dont le musée Bourdelle à Paris ou encore le jardin-musée départemental Bourdelle d'Égreville , le musée montalbanais est l'unique musée au monde consacré à l’œuvre d'Ingres. Il possède le fonds de dessins d'Ingres le plus important au monde et la plus vaste collection de peintures du maître, après le musée du Louvre.


La salle des romantiques


La salle Cambon

D'Armand Cambon peintre français, né et mort à Montauban. Exécuteur testamentaire d'Ingres.

La Salle des élèves d'Ingres

Ornant le dessus de cheminée un tableau d'Armand Cambon, Portrait d'Ingres à l'âge de soixante-dix-neuf ans d'après l'autoportrait de conservé au Fogg Art Museum de Cambridge.

Eugène Amaury-Duval né à Montrouge le , mort à Paris le , est un peintre français; Amaury-Duval est l'un des premiers élèves à être admis dans l'atelier de Jean-Auguste-Dominique Ingres.

Hippolyte Flandrin peintre français représentatif du mouvement néo-classique. Après avoir obtenu le premier grand prix de Rome de peinture en 1832, élève de Jean-Auguste-Dominique Ingres.

Paul Flandrin né à Lyon le et mort à Paris 6e le .Il est le frère d'Auguste Flandrin et d'Hippolyte Flandrin tous trois peintres. il est l'époux d'Aline Desgoffe (°v.1835), en 1852, fille du peintre Alexandre Desgoffe.

Jean-Léon Gérôme né à Vesoul le et mort à Paris le , est un peintre et sculpteur français, membre de l'Académie des beaux-arts. Il composa des scènes orientalistes, mythologiques, historiques et religieuses.

Raymond Balze peintre et pastelliste français, né à Rome le , mort à Paris, le . Il prit part à la décoration de l'hôtel de ville de Paris commandée à son maître Ingres.

Paul Balze né le à Rome et mort à Paris le , peintre et copiste d'art français.Paul Balze a rencontré Ingres pendant son séjour romain.

Alexandre Desgoffe né à Paris le , mort dans la même ville le , est un peintre entré en 1828, dans l'atelier d'Ingres. Peintre paysagiste, il est l'un des premiers à aller peindre le site de Barbizon, avant 1830.

Paul Jourdy né le à Dijon et mort le à Paris est un peintre français, élève de Guillaume Guillon Lethière et de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Paul Jourdy obtient le 2e prix de Rome en 1828 et le prix de Rome en 18341. Il expose des portraits et des peintures d'histoire au Salon de 1831 à 1853.


La chambre de l'évêque

Cette salle précédé d'une antichambre est exclusivement réservée à Ingres et particulièrement à ses collections personnelles. La plupart des œuvres proviennent de son legs de 1867.

Pieter Pourbus né à Gouda en 1523 et mort à Bruges le , était un peintre, dessinateur, ingénieur et cartographe flamand de la Renaissance flamande, actif à Bruges au XVIe siècle ; très connu pour ses portraits.

Vittore Carpaccio né vers 1465 à Venise (Italie) et mort en 1525 ou 1526 à Capo d'Istria, de son vrai nom Scarpazza ou Scarpaccia, est un peintre italien narratif de l'école vénitienne, émule de Gentile Bellini et de Lazzaro Bastiani.

Roelandt Savery né à Courtrai en 1576 et enterré le à Utrecht, est un peintre flamand de la Renaissance. Il est l'un des premiers artistes à avoir figuré le « portrait » d'un animal isolé et semble bien être le créateur des bouquets comme genre de peinture en 1603.

Jean Ranc né à Montpellier le et mort à Madrid le , est un peintre français, principalement portraitiste de la cour d'Espagne; il laisse aussi quelques tableaux animaliers.

Auteurs anonymes

Claude Lefèbvre baptisé le à Fontainebleau et mort le à Paris, est un peintre et graveur français, connu pour ses portraits.

Jean Lemaire (Dammartin-en-Goële, 1598 - Gaillon, 1659) est un peintre français du XVIIe siècle, spécialiste du paysage archéologique.

Eustache Le Sueur né à Paris le et mort à Paris le , est un peintre et dessinateur français de style baroque, considéré comme l'un des fondateurs de la peinture française classique.

Gaspard Dughet né à Rome le et mort le dans la même ville, est un peintre français de l'époque baroque actif à Rome, spécialisé dans les paysages de la tendance classique.

François-Xavier Fabre né à Montpellier le et mort dans la même ville le , baron en 18281, est un peintre français du mouvement néo-classique.

Jan Van Eyck né vers 1390 peut-être à Maaseik et mort à Bruges le , est un peintre né dans les territoires soumis à l'autorité du prince-évêque de Liège Jean de Bavière (1390-1417), qui devient son protecteur. Il est célèbre pour ses portraits d’un naturalisme minutieux.


Salle Ingres


Salle Ingres intime


Collection de dessins

Les 4 507 dessins d'Ingres, exposés par roulement constituent l'une des plus grandes richesses du musée.


Collections d'antiques

Cette collection a été rassemblée du vivant d'Ingres. Il cherchait à se confronter aux modèles antiques originaux, fondamentaux pour son apprentissage. Parmi ces antiques, 54 vases grecs, acquis à Rome pour la plupart, ont une place prépondérante. Le peintre conservait une série de marbres parmi lesquels se distinguent l’Éro d'après Lysippe, la Tête d'Antinoüs, la Tête d'Éros du type Centocelle.


Second étage


Le second étage est consacré aux peintures des XIVe, XVe et XVIe siècles des écoles italiennes et du nord (Titien, Giovanni Battista Piazzetta, Tiepolo, Bartholomeus Spranger), puis des écoles françaises et étrangères du XVIIe siècle (Charles Le Brun, Pierre Mignard, Jacob Jordaens, Anton Van Dyck et Albert Cuyp). Une section présente l'art du XVIIIe siècle de François Boucher à Jacques-Louis David.


Joueurs de tric-trac par Christoffel Jacobsz van der Laemen artiste-peintre flamand, né à Bruxelles en 1606 et mort à Anvers le [51].
Joueurs de cartes par Antonie Palamedesz est un peintre néerlandais du siècle d'or. Il est connu pour ses peintures de portraits et de scènes de genre[52].
Silène et les quatre saisons œuvre réalisée dans l'atelier de Jacob Jordaens assez tardivement après 1640. On reconnaît la main de Jordaens dans le sonneur de trompe et la vieille femme ; les autres figures sont probablement dues à des collaborateurs [60].
Le penseur ou Faune en méditation [61].
Tête de FauneFragment d'une composition mythologique détruite : 'seul reste d'un tableau représentant Jupiter et la nymphe Antiope, détruit par Serine peintre de Toulouse à cause de la nudité des personnages. Cette tête est faite d'après un modèle familier à Jordaens qu'on retrouve dans divers tableaux du maître [62].
Saint Jérôme pénitent huile sur bois de Frans Pourbus l'Ancien pour le distinguer de son fils Frans Pourbus le Jeune, également peintre, né à Bruges en 1545 et mort à Anvers le , tous deux peintres flamands [68].
Saint Jérôme lisant attribué à José de Ribera[69].
Saint Jérôme dans sa cellule de Philippe Gautard peintre français du XVIe siècle né à Pezenas[70].
Fillette au capucin d'après Jean-Baptiste Greuze [86].
Portrait de Louis XV enfant d'après Hyacinthe Rigaud [87].
Pastorale par François Boucher peintre français, représentatif du style rococo [88].
Marine par Henry d'Arles peintre français connu pour ses marines et des scènes mythologiques, élève de Jean-Joseph Kapeller et de Claude Joseph Vernet[89].
Sainte-Famille par Jean Valette-Penot peintre montalbanais du XVIIIe siècle spécialisée dans les trompe-l’œil[90].
Bélisaire [92].
Cornélie mère des Gracques[93].

Dessins et études



Notes et références


  1. Veille Info Tourisme, p. 130
  2. Association des amis du musée Ingres.
  3. Notice no PA00095805, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  4. « Accueil », sur Musée-Jardin Bourdelle (consulté le )
  5. Musées Occitanie, « Musée Ingres Bourdelle » , sur Musées Occitanie (consulté le )
  6. musées de Midi-Pyrénées, le musée Ingres.
  7. Notice no 06070001117, base Joconde, ministère français de la Culture
  8. Notice no 06070001122, base Joconde, ministère français de la Culture
  9. Notice no 06070001108, base Joconde, ministère français de la Culture
  10. Notice no 06070001100, base Joconde, ministère français de la Culture
  11. Notice no 06070001104, base Joconde, ministère français de la Culture
  12. Notice no 06070001106, base Joconde, ministère français de la Culture
  13. Notice no 06070001145, base Joconde, ministère français de la Culture
  14. Notice no 0607000116, base Joconde, ministère français de la Culture
  15. Notice no 06070001164, base Joconde, ministère français de la Culture
  16. Notice no 06070001169, base Joconde, ministère français de la Culture
  17. Notice no 06070001168, base Joconde, ministère français de la Culture
  18. Notice no 06070001166, base Joconde, ministère français de la Culture Notice no 06070001167, base Joconde, ministère français de la Culture
  19. Notice no 06070001170, base Joconde, ministère français de la Culture
  20. Notice no 06070001186, base Joconde, ministère français de la Culture
  21. Notice no 06070001187, base Joconde, ministère français de la Culture
  22. Notice no 06070001191, base Joconde, ministère français de la Culture
  23. Notice no 06070001193, base Joconde, ministère français de la Culture
  24. Notice no 06070001152, base Joconde, ministère français de la Culture
  25. Notice no 06070001204, base Joconde, ministère français de la Culture
  26. Notice no 06070001200, base Joconde, ministère français de la Culture
  27. Notice no 06070001201, base Joconde, ministère français de la Culture
  28. Notice no 06070001208, base Joconde, ministère français de la Culture
  29. Notice no 06070001207, base Joconde, ministère français de la Culture
  30. Notice no 06070001209, base Joconde, ministère français de la Culture
  31. Notice no 06070001206, base Joconde, ministère français de la Culture
  32. Musée Midi-Pyrénées : “Étude pour la République”.
  33. Notice no 06070000194, base Joconde, ministère français de la Culture
  34. Notice no 06070000345, base Joconde, ministère français de la Culture
  35. Notice no 06070001405, base Joconde, ministère français de la Culture
  36. Notice no 00000055181, base Joconde, ministère français de la Culture
  37. Base Joconde
  38. Notice no 06070001296, base Joconde, ministère français de la Culture
  39. Notice no 06070003919, base Joconde, ministère français de la Culture
  40. Notice no 06070003921, base Joconde, ministère français de la Culture
  41. Notice no 06070004421, base Joconde, ministère français de la Culture
  42. Notice no 06070007320, base Joconde, ministère français de la Culture
  43. Notice no 06070029329, base Joconde, ministère français de la Culture
  44. Notice no 06070001402, base Joconde, ministère français de la Culture
  45. Notice no 00000055158, base Joconde, ministère français de la Culture
  46. Notice no 06070001137, base Joconde, ministère français de la Culture
  47. Notice no Joconde06070000313, base Joconde, ministère français de la Culture
  48. Notice no 06070000044, base Joconde, ministère français de la Culture
  49. Notice no 06070000256, base Joconde, ministère français de la Culture
  50. Notice no 06070000290, base Joconde, ministère français de la Culture
  51. Notice no 06070000144, base Joconde, ministère français de la Culture
  52. Notice no 06070000180, base Joconde, ministère français de la Culture
  53. Notice no 06070000056, base Joconde, ministère français de la Culture
  54. Notice no 06070000262, base Joconde, ministère français de la Culture
  55. Notice no 06070000111, base Joconde, ministère français de la Culture
  56. Notice no 06070000054, base Joconde, ministère français de la Culture
  57. Notice no 06070000254, base Joconde, ministère français de la Culture
  58. Notice no 06070000118, base Joconde, ministère français de la Culture
  59. Notice no 06070000086, base Joconde, ministère français de la Culture
  60. Notice no 06070000137, base Joconde, ministère français de la Culture
  61. Notice no 06070000139, base Joconde, ministère français de la Culture
  62. Notice no 06070000138, base Joconde, ministère français de la Culture
  63. Notice no 06070000083, base Joconde, ministère français de la Culture
  64. Notice no 06070000318, base Joconde, ministère français de la Culture
  65. Notice no 06070000173, base Joconde, ministère français de la Culture
  66. Notice no 06070000258, base Joconde, ministère français de la Culture
  67. Notice no 06070000238, base Joconde, ministère français de la Culture
  68. Notice no 06070000208, base Joconde, ministère français de la Culture
  69. Notice no 06070000233, base Joconde, ministère français de la Culture
  70. Notice no 06070000124, base Joconde, ministère français de la Culture
  71. Notice no 06070000067, base Joconde, ministère français de la Culture
  72. Notice no 06070000273, base Joconde, ministère français de la Culture
  73. Notice no 06070000077, base Joconde, ministère français de la Culture
  74. Notice no 00000055174, base Joconde, ministère français de la Culture
  75. Notice no 06070000369, base Joconde, ministère français de la Culture
  76. Notice no 06070000185, base Joconde, ministère français de la Culture
  77. Base Rose Valland
  78. Notice no 06070000146, base Joconde, ministère français de la Culture
  79. Notice no 06070000061, base Joconde, ministère français de la Culture
  80. Notice no 06070000165, base Joconde, ministère français de la Culture
  81. Base rose Valland
  82. Notice no 06070000120, base Joconde, ministère français de la Culture
  83. Notice no 06070000282, base Joconde, ministère français de la Culture
  84. Notice no 06070000281, base Joconde, ministère français de la Culture
  85. Notice no 06070000135, base Joconde, ministère français de la Culture
  86. Notice no 06070000128, base Joconde, ministère français de la Culture
  87. Notice no 06070000235, base Joconde, ministère français de la Culture
  88. Notice no 06070000064, base Joconde, ministère français de la Culture
  89. Notice no 06070000141, base Joconde, ministère français de la Culture
  90. Notice no 06070000275, base Joconde, ministère français de la Culture
  91. Notice no 06070000123, base Joconde, ministère français de la Culture
  92. Notice no 06070000188, base Joconde, ministère français de la Culture
  93. Notice no 06070000189, base Joconde, ministère français de la Culture
  94. Notice no 06070000088, base Joconde, ministère français de la Culture
  95. Notice no 06070000102, base Joconde, ministère français de la Culture
  96. Notice no 06070001380, base Joconde, ministère français de la Culture
  97. Notice no 06070008275, base Joconde, ministère français de la Culture
  98. Notice no 06070007977, base Joconde, ministère français de la Culture

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